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Messages - seppel
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« le: 30 novembre 2011 à 12:38:28 »
Bonjour, trop trop mauvaise oui La compagnie californienne de biotechnologie Geron a annoncé le 14 novembre qu’elle mettait fin à son essai clinique, sur l’homme, d’un traitement utilisant une lignée de cellules souches embryonnaires humaines (lignée GRNOPC1). Initié en octobre 2010, cet essai était destiné à des patients paralysés à la suite de lésions totales de la moelle épinière. Le 20 octobre dernier, elle annonçait que 4 patients avaient déjà été traités et qu’ils ne présentaient aucune complication. Un coût trop important L’interruption de cet essai, un an après son lancement ultra médiatisé, marque l’abandon, par Geron, de l’ensemble de ses recherches sur les cellules souches embryonnaires humaines (CSEh). La société avait pourtant axé toute sa publicité sur ce secteur, déployant de nombreux efforts pour obtenir le droit de démarrer cet essai. Dans son communiqué, elle justifie l’arrêt de l’essai par son coût trop élevé. Une déclaration étonnante car la compagnie a reçu un soutien de 25 millions de dollars offerts par le Californian Institute for Regenerative Medicine (CIRM) le 5 mai 2011. Malgré cet appui, la compagnie n’a rien gagné à travailler sur les CSEh et ses pertes l’ont conduite à se séparer de 38% de ses employés. Cherchant à revendre ses activités sur les cellules souches, elle veut désormais consacrer ses ressources à la phase 2 de ses essais cliniques sur deux produits anticancéreux. The Street, site d’actualité financière, dépeint la situation de Geron de façon caustique : " l’infâme réputation de Geron comme leveur de fonds en série, dont la seule réussite est d’avoir laissé les investisseurs payer les pots cassés, pourrait définitivement ternir l’ensemble du champ de recherche sur les cellules souches embryonnaires aux yeux de Wall Street". Absence d’efficacitéL’argument financier ne suffit pas à expliquer la décision de Geron : si les essais de phase I visent à tester la tolérance du traitement et non ses effets, la compagnie devait toutefois attendre un minimum de résultats. Ceux-ci ont manqué, ce qui explique la chute de la valeur en bourse de Geron. En France, le Dr Marc Peschanski, directeur du laboratoire I-Stem, a déploré l’arrêt de cet essai donnant selon lui " un mauvais signal aux investisseurs et aux pouvoirs publics sur l’état des travaux sur les cellules souches [...] [dont le] potentiel est encore très important". Pour le Pr. Alain Privat, de l’Institut de neurosciences de Montpellier, les difficultés financières ne sont qu’un prétexte: " Geron aurait facilement trouvé des financements supplémentaires si son traitement avait montré qu'il était capable d'apporter des améliorations à l'état des patients atteints à la moelle épinière. Je pense plutôt que le traitement a été arrêté, soit par manque d'efficacité, soit pour des problèmes de rejets ou de sûreté pour les patients". Recherche sur les cellules souches embryonnaires : désillusion ?L’interruption de l’essai de Geron porte un coup à la recherche sur les CSEh : il semble désormais que celle-ci ne conduira pas à des traitements miracles comme l’ont fait miroiter certains de ses promoteurs. A défaut de résultats, la confiance dans les CSEh pour développer des thérapies s’érode. Au vu des bons résultats de récentes recherches sur les cellules souches adultes, le magazine New Scientist annonce un revirement : les cellules souches adultes " ouvrent- elles la voie sur le plan clinique? Absolument. Il y a par exemple près de 200 essais en cours dans le monde utilisant des cellules souches mésenchymateuses [...]. En termes de nombre et de potentiel commercial, ils sont loin devant". Le Quotidien du Médecin (Stéphanie Hasendahl) 15/11/11 - Presswatch.com 16/11/11 - AFP 15/11/11 - Gènéthique 16/11/11
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« le: 27 octobre 2010 à 13:06:01 »
Bonjour, Ca fait des lustres que je ne suis plus intervenu, Je viens de lire ce post datant de 2006, Mon fils qui est para a également ces problèmes, et il compte se faire opérer début décembre. La scintigraphie a révélé que ces ossifications s'étaient stabilisées, normal ça fait maintenant sept ans que ça dure... Le médecin lui a dit qu'après l'opération il aurait droit à une cure d'antibiotiques, anti-inflammatoires, et en prime rééducation d'un mois minimum. Ca me fait un peu flipper tout ça ... Personnellement je ne suis pas trop favorable à l'opération, et je cherche éventuellement un témoignage d'une personne qui a déjà passé par là. Quelqu'un peut-il me (dé)conseiller , pour ou contre l'opération ? Quels peuvent être les points positifs et/ou les risques de se faire opérer ? Merci d'avance. Jean-Michel
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« le: 23 mars 2009 à 16:35:32 »
Merci Arnaud, mais c'est quoi la nouveauté ? si nouveauté il y a ??? ça fait quelques années qu'on parle d'un essai clinique de Schwab ... il me semblait qu'un essai de phase 1 est en cours ou peut être même terminé, en sait-on plus sur les premieres annonces de résultats ?
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« le: 02 janvier 2009 à 21:31:56 »
Bonne Année et Très Bonne Santé à toutes et à tous ... Espérant comme beucoup d'entre vous que cette nouvelle année soit riche en nouveautés, en découvertes, et surtout en essais cliniques...
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« le: 27 novembre 2008 à 13:35:57 »
Merci Thierry pour cette info, je pense (et j'espère) que ça pourrait être une des solutions les plus prometteuses, avec les cellules IPS, sans formation de tumeur, sans rejet immunitaire ... en tous cas j'y crois ...
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« le: 03 novembre 2008 à 12:46:36 »
Merci DLP pour le renseignement, mais pourrais-tu nous préciser ce que c'était cette poudre stp ? Merci d'avance. JM
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« le: 24 juillet 2008 à 12:50:53 »
Des cellules souches adultes pour les lésions de la moelle Des chercheurs du Massachusetts Institut of Technology viennent d'identifier des cellules souches adultes qui pourraient permettre de traiter les lésions de la moelle épinière.
En cas d'atteinte à la moelle, ces cellules semblent capables de proliférer et de migrer vers le site lésé. Elles se différencieraient alors en cellules capables de combler la brèche, mais aussi en oligodendrocytes, des cellules qui produisent de la myéline. © genethique.org
Désolé mais je n'en sais pas plus pour l'instant ... mais ça ne saurait tarder , on en saura surement plus prochainement. @+ Jean-Michel
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« le: 30 mai 2008 à 13:28:08 »
Bonjour tous, C'est sûr que le Miami Project to Cure Paralysis est une référence aux US et sûrement au niveau mondial, mais au fait c'est pour les aigus ou les chroniques cet essai clinique ??? Merci d'avance. @+ JM
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« le: 19 mai 2008 à 13:15:27 »
Chez mon fils ça tient à peine 3 mois, puis obligé de refaire une injection. Il en attendait tellement de cette toxine, et finalement il est assez déçu ... Mais chaque cas est différent et ça peut très bien marcher pour d'autres ... @+ JM
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« le: 29 janvier 2008 à 20:06:18 »
Je te rejoins entièrement Christian, j'ai aussi déjà donné dans ce domaine Les "laissez moi votre numéro, on vous rappelle" et tous les autres je connais ... C'est quand même assez désolant tout ça. Bonne soirée, Salut. JM
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« le: 29 janvier 2008 à 12:59:24 »
Mention "besoin d'accompagnement" ou "tierce personne"
Cette mention peut être portée sur la carte d'invalidité, si elle est attribuée :
*
à un enfant ouvrant droit au complément d'allocation pour enfant handicapé, de la troisième à la sixième catégorie, *
à un adulte bénéficiaire d'une "aide humaine" dans le cadre de la prestation de compensation, *
à un adulte bénéficiaire de la majoration pour tierce personne (MTP) accordée à certains titulaires de la pension d'invalidité ou de la pension de vieillesse qui est versée à sa suite, *
à un adulte bénéficiaire d'une majoration de la rente accident du travail ou maladie professionnelle, pour assistance d'une tierce personne.
Bonjour, Juste pour info, mon fils n'est dans aucun de ces cas (ni enfant, ne touche pas de prestation de compensation, ni de MTP, ni de majoration de rente accident ou maladie professionnelle), et pourtant cette mention figure bien sur sa carte d'invalidité. Elle a été renouvelée en 2006. Vriament bizarre toutes ces conditions administratives ... A quoi donnent droit exactement toutes ces mentions "TIERCE PERSONNE" et "Station debout pénible", mis à part la gratuité des voyages SNCF pour l'accompagnateur ? Quelqu'un sait-il ? Merci d'avance Jean-Michel
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« le: 11 janvier 2008 à 14:32:22 »
Des cellules embryonnaires sans détruire l'embryon. D'où l'intérêt de continuer aussi la recherche sur les cellules souches embryonnaires ... Dans une étude parue jeudi dans la revue Stem Cell, des scientifiques ont annoncé avoir mis au point une technique qui permettrait de créer des cellules souches embryonnaires humaines sans détruire l'embryon. Les chercheurs ont extrait une cellule d'un embryon créé par fécondation in vitro et y ont inséré une protéine appelée laminine pour qu'elle préserve la pluripotence (c'est à dire la capacité à se différencier en n'importe quel tissu du corps humain) de cette cellule. Selon les chercheurs, cette manipulation n'aurait pas affecté l'embryon qui se serait développé normalement. © genethique.org @+
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« le: 23 décembre 2007 à 17:39:23 »
JOYEUX NOEL et bonnes fêtes de fin d'année à toutes et à tous. :noel: :noel: En espérant que 2008 soit un excellent millésime :boing:, voire même un très grand cru, :ok: (je parle du domaine que nous connaissons tous ici), Ce serait formidable ... Amicalement Jean-Michel.
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« le: 22 décembre 2007 à 15:53:39 »
Merci à vous tous qui avez pensé à moi, super sympa de votre part ... eh oui une de plus au compteur ... A mon tour de te souhaiter, Marie-Noëlle, un très bon anniversaire, et hop A un jour près on aurait pu trinquer ensemble
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« le: 07 décembre 2007 à 13:16:38 »
Vers la fin de la recherche sur les cellules souches embryonnaires ?
Le magazine La Vie consacre un dossier spécial aux cellules souches. Il revient notamment sur la découverte des Prs Yamanaka et Thomson qui ont obtenu, à partir de cellules de peau humaine, des cellules souches dotées du même potentiel que les cellules souches embryonnaires. Cette découverte est vraiment révolutionnaire explique Grégory Katz, professeur de bioéthique à l'Essec : "car les chercheurs ont réussi à inverser le processus naturel de développement cellulaire". Il devient maintenant possible de créer des lignées cellulaires pour chaque individu, à partir de ses propres cellules reprogrammées : des "cellules médicaments " sur mesure. Cette découverte ouvre des perspectives pour de nombreuses applications. Elle pourrait permettre, par exemple, de régénérer des tissus par autogreffes pour des maladies telles que Parkinson ou Alzheimer. Autre exemple pour les personnes diabétiques, il suffirait de greffer des cellules souches dans le pancréas pour lui permettre de produire de nouveau de l'insuline.
Comme pour le sang de cordon, il faudrait créer des bio-banques pour récolter de la peau, de la graisse ou du sang.
Pour beaucoup de chercheurs, cette découverte marque un coup de frein à la recherche sur l'embryon mais, d'autres chercheurs comme John de Vos (CHU de Montpellier) qui travaille sur les cellules souches embryonnaires, expliquent que "pour savoir si les cellules ainsi obtenues ont les mêmes capacités que les embryonnaires il faudra bien continuer à travailler sur l'embryon".
Le magazine La Vie rappelle que les cellules souches embryonnaires sont obtenues à partir de la destruction de l'embryon, au cinquième jour de son développement. Aucune application thérapeutique n'a été obtenue avec ces cellules alors que d'importants succès thérapeutiques ont été obtenus avec les cellules souches adultes, dans le traitement des affections cancéreuses, sanguines ou de grands brûlés.
Ces récentes découvertes devraient aussi modifier les axes de recherche du Téléthon, premier financeur en France de la recherche sur l'embryon. "La piste ouverte par le Pr Yamanaka mérite d'être explorée", souligne Serge Braun, directeur scientifique de l'Association française contre les myopathies (AFM). "Mais cela ne veut pas dire qu'il faille abandonner les autres voies. Il est trop tôt pour en tirer des conséquences", ajoute t-il. "Les moyens financiers alloués à la recherche n'étant pas extensibles, il faudra cependant faire des choix et fixer des priorités", explique La Vie.
Au niveau éthique, l'Eglise affirme qu'avec cette découverte "les progrès médicaux et le respect de la vie humaine ne sont plus en conflit". "Tous les humanistes ne peuvent que se réjouir de cette découverte, une énorme victoire contre le scientisme qui considère l'embryon humain comme un simple matériau", conclut Grégory Katz.
Le Pr Mc Guckin, de l'université de Newcastle, vient d'annoncer la création avec la Fondation Jérôme Lejeune de Novussanguis, un réseau international de recherche regroupant plusieurs laboratoires, travaillant sur les cellules souches de sang de cordon. L'objectif est d'encourager une médecine régénératrice "responsable". "Avec les cellules souches de sang de cordon, nous parviendrons à trouver des thérapeutiques pour de nombreuses maladies", affirme le Pr McGuckin.
Rappelons qu'en 2005 le Pr McGuckin et son collaborateur français Nico Forraz ont démontré, pour la première fois, l'existence de cellules pluripotentes dans le sang de cordon. Ce groupe de cellules souches ont un profil similaire aux cellules souches embryonnaires et ont la propriété de former différents types de tissus : tissu sanguin, nerveux ou hépatique. En 2005 et 2006, le professeur McGukin a publié d'autres résultats dont la première création d'un mini foie en 3 dimensions à partir de cellules du sang de cordon. © genethique.org
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« le: 07 décembre 2007 à 13:15:48 »
Le financement des banques de sang de cordon
Actuellement, la France est sous-équipée en matière de greffons de sang de cordon ombilical : "notre pays ne compte que quelques 6000 unités de sang de cordon, conservées dans un lieu de stockage à Annemasse et dans deux banques à Besançon et Bordeaux", explique Marie-Thérèse Hermange. Bien que deux nouvelles banques doivent bientôt ouvrir à Marseille et Paris, la France reste très en retard par rapport à l'Italie ou l'Espagne où sont conservées entre 14 000 et 16 000 unités. La France devrait détenir 50 000 greffons de sang de cordon. En 2006, elle a importé 53% de ceux qu'elle a utilisés pour un coût unitaire de 15 000 à 25 000 euros. Constituer un stock plus important représente donc un coût non négligeable.
Différents systèmes de prise en charge existent selon les pays. Le système par financement public prévoit la mise à disposition de tous les échantillons au plan international, pour offrir la plus grande diversité de typage et de compatibilité. Le système privé prévoit que chaque famille finance la conservation du sang de cordon de son enfant pour son usage. Enfin, un système mixte prévoit que chaque famille finance la conservation du sang de cordon en incluant leurs caractéristiques dans une banque de données publique. Si l'on a besoin de ce sang pour un autre malade, il est prévu de demander aux familles l'autorisation de l'utiliser et de la rembourser de ses frais. La France aujourd'hui n'autorise que les banques publiques. © genethique.org
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« le: 07 décembre 2007 à 13:14:33 »
Les perspectives révolutionnaires des cellules souches adultes.
Le quotidien Les Echos revient sur les dernières découvertes concernant les cellules souches adultes. Il rappelle que le 21 novembre dernier, des équipes de chercheurs japonais et américains ont réussi à reprogrammer des cellules adultes de peau en cellules souches ayant les mêmes capacités que les cellules souches embryonnaires (cf. Synthèse de presse du 21/11/07 ).
Les Echos rappellent que seules les cellules souches adultes sont utilisées aujourd'hui dans des traitements et ouvrent des perspectives prometteuses pour l'avenir. Ces avancées ont été présentées lors du colloque organisé le 22 novembre dernier au Sénat par Marie-Thérèse Hermange, sénateur de Paris et membre du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), dont l'objectif était "de proposer un tour d'horizon complet des acquis et des promesses des cellules souches non embryonnaires pour nourrir sa réflexion en vue de la révision des lois de bioéthique" (cf. Synthèse de presse du 23/11/07).
Aujourd'hui des patients atteints de maladies du système hématopoïétique, de maladies héréditaires et de certains déficits immunitaires peuvent être soignés, non seulement à partir de cellules souches adultes issus de la moelle osseuse mais aussi du sang de cordon ombilical. Lors du colloque, Eliane Glückman, spécialiste de ce type de greffe, a montré tous les avantages des cellules de sang de cordon pour soigner les adultes aussi bien que les jeunes. D'où l'importance des banques de sang de cordon. Par ailleurs, Krystina Domanska-Janik, directrice du département neurale à l'académie polonaise des sciences de Varsovie, vient de faire de nouvelles découvertes sur l'utilisation du sang de cordon comme source de production de neurones.
Nico Forraz, chercheur au laboratoire de médecine régénératrice du Pr Colin McGuckin à Newcastle, spécialisé dans l'obtention de différents types de tissus biologiques à partir de cellules souches de sang de cordon, est également intervenu au cours de ce colloque : "outre les applications thérapeutiques, ces différents tissus pourraient aussi servir à l'industrie pharmaceutique pour tester des médicaments en développement".
Enfin, des cellules souches adultes présentes dans la peau ou les os peuvent aussi servir en médecine régénératrice. C'est la source sur laquelle travaille Martijn Van Griensven, directeur adjoint à l'institut Ludwig Bolzmann pour la traumatologie à Vienne. Un autre chercheur, Michèle Martin; travaille sur les kératinocites souches, des cellules issues de la peau dont le potentiel est aujourd'hui utilisé pour soigner les grands brûlés. © genethique.org
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« le: 27 novembre 2007 à 13:26:55 »
Bonjour, Je trouve que vous n'êtes pas très bavard (je parle de ceux qui étaient à la journée). Le fait que personne ne veuille raconter me donne plutôt une impression négative, ou je me trompe ? Comme beaucoup d'autres personnes je n'ai malheureusement pas eu la chance de pouvoir venir à cette journée, mais serait-il possible, et en attendant un résumé plus complet, d'avoir votre ressenti (pour ceux qui y étaient). Quoi de neuf au sujet de ces "thérapies nouvelles" , sur ce "Panorama des voies de recherche" , sur les cellules OEG et autres. Qu'en est-il sorti de ces débats entre professionnels et blessés médulaires. Allez-y , lâchez-vous svp, on aimerait bien savoir... Merci d'avance. Jean-Michel
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« le: 26 octobre 2007 à 15:39:36 »
Des cellules souches adipeuses et stomacales Selon une étude, parue dans l'Experimental Neurology, l'équipe du Dr Paul Kingham (Center for Tissue Regeneration - Manchester - Royaume-Uni) a isolé des cellules souches de tissus graisseux d'animaux adultes. Les chercheurs ont ensuite réussi à transformer ces cellules graisseuses en cellules nerveuses. Ils espèrent pouvoir utiliser ces cellules pour réparer des membres et des organes abîmés. Par ailleurs, des chercheurs de la Clinique orthopédique universitaire d'Heidelberg ont identifié un facteur de croissance favorisant la transformation de cellules souches adipeuses, prélevées par liposuccion, en cellules cartilagineuses. Enfin, des chercheurs du Medical School de l'Université du Michigan, viennent de prouver l'existence de cellules souches stomacales, à partir de l'étude d'estomacs de souris. "Avant ces travaux, nous savions que des cellules souches existaient dans l'estomac, mais nous n'avions pas les moyens de les identifier précisément. Il n'existait pas de marqueur ou de tag efficace", explique Deborah Gumucio, biologiste et co-auteur de l'étude paru dans Gastroenterology. Les recherches menées sur ces cellules stomacales devraient permettre de mieux comprendre les cancers de l'estomac, par exemple, et peut-être, un jour, d'envisager des solutions thérapeutiques. © genethique.org @+
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« le: 11 octobre 2007 à 13:49:59 »
Des cellules souches embryonnaires humaines pour tester les médicaments Trois groupes pharmaceutiques, leaders sur le marché européen, se sont associés avec le gouvernement britannique afin d’étudier l’utilisation des cellules souches embryonnaires pour tester leurs médicaments. GlaxoSmithKline, Astrazeneca et Roche ont chacun investi 100 000 livres, le gouvernement britannique 750 000 livres, pour créer un consortium baptisé Stem Cells for Safer Medicine
Ce consortium est chargé de mettre en place le recours aux cellules souches embryonnaires humaines pour dépister les éventuels effets secondaires des nouveaux médicaments, avant les essais cliniques.
Cette démarche aura pour corollaire de diminuer le recours aux animaux dans les tests de médicaments… © genethique.org
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« le: 11 octobre 2007 à 12:44:21 »
Bonjour, Espérons que ça marchera aussi pour les blessures médulaires :
SEP: Un anticorps stimulant la remyélinisation et un produit neuroprotecteur prometteurs chez l'animal WASHINGTON, 10 octobre 2007 (APM) - Un anticorps obtenu par génie génétique a permis de réparer la myéline dans un modèle animal de sclérose en plaques (SEP), tandis qu'un produit par voie orale a montré des propriétés neuroprotectrices dans un modèle de névrite optique, selon deux études présentées au congrès de l'American Neurological Association (ANA) qui se tient cette semaine à Washington.
La première étude a été rapportée par des chercheurs de la Mayo Clinic. "Cet anticorps est le premier réactif connu conçu pour induire une réparation (de la myéline) en agissant au sein du système nerveux central, au niveau des lésions présentes sur les cellules responsables de la synthèse de la myéline", souligne l'établissement dans un communiqué diffusé mardi.
La réparation de la myéline est un phénomène physiologique mais dans la SEP et d'autres pathologies touchant la myéline, ce processus est soit très ralenti, soit totalement défaillant, rappellent les chercheurs dans le communiqué.
Avec cet anticorps produit par génie génétique à partir d'une seule cellule, ils ont obtenu une remyélinisation avec une seule dose d'au moins 25 µg/kg, avec un plateau après cinq semaines.
La méthylprednisolone, qui est souvent administrée dans le traitement de la SEP, ne perturbait pas l'action remyélinisante de l'anticorps.
Ces résultats, "très prometteurs", pourraient conduire à de nouveaux traitements, espèrent les chercheurs de la Mayo Clinic, indiquant que l'évaluation chez l'animal se poursuit.
La seconde étude a été rapportée par la société américaine Sirtris Pharmaceutical qui développe le SRT501, une formulation orale du resvératrol, polyphénol alimentaire d'origine végétale. Ce produit active le SIRT1, une enzyme de la famille des sirtuines qui interviennent notamment dans le vieillissement chez les mammifères et dans les fonctions mitochondriales.
Sirtris a testé le SRT501 dans un modèle animal de névrite optique qui est l'un des premiers signes de SEP et qui a été associé à une fonction mitochondriale réduite, explique le laboratoire dans un communiqué.
"C'est la première fois qu'un activateur oral de la SIRT1 a démontré un effet neuroprotecteur", commente l'un des auteurs. Chez les animaux traités, la perte des cellules ganglionnaires de la rétine était réduite et la fonction axonale préservée.
Le SRT501 est actuellement en phase II dans le diabète de type 2, ajoute Sirtris.
ld/cd/APM redaction@apmnews.com
LDKJ9002 10/10/2007 17:01 SNC @+ Jean-Michel
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« le: 25 septembre 2007 à 12:58:56 »
TITRE : L'efficacité de la neurostimulation dans la douleur neuropathique chronique confirmée dans une étude randomisée
WASHINGTON, 24 septembre 2007 (APM) - Une neurostimulation au niveau de la moelle épinière s'est montrée significativement supérieure à une prise en charge médicale conventionnelle pour le soulagement des douleurs neuropathiques chroniques, dans une étude randomisée comparative.
L'étude PROCESS, publiée dans la revue Pain, est "la plus importante étude contrôlée jamais réalisée" sur la neurostimulation dans cette indication, se félicite dans un communiqué le laboratoire Medtronic, qui a développé cette méthode de traitement.
L'étude a inclus 100 patients présentant des douleurs neuropathiques invalidantes des jambes et du dos, liées à une compression d'un nerf spinal, persistantes après au moins une intervention sur le rachis, et qui n'étaient pas candidats à une autre intervention. Ils ont été randomisés entre la stimulation de la moelle épinière ou une prise en charge conventionnelle par médicaments, blocs nerveux, stéroïdes, rééducation ou chiropraxie.
A six mois, 48% des patients neurostimulés présentaient un soulagement d'au moins 50% des douleurs dans les jambes, comparé à 9% des patients du groupe contrôle.
Il y avait également une amélioration des douleurs dans le dos, de la capacité fonctionnelle et de la qualité de vie.
Entre six mois et un an, cinq patients neurostimulés sont passés à une autre prise en charge. A l'inverse, 32 patients du groupe contrôle sont passés à une neurostimulation.
Krishna Kumar de l'hôpital général de Regina (Canada) et ses collègues indiquent que sur un an, 32% des patients stimulés ont présenté une complication liée au dispositif. Il s'agissait principalement de migrations de l'électrode et d'infections.
fb/cb/APM redaction@apmnews.com
FBKIK003 24/09/2007 19:17 SNC
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« le: 06 septembre 2007 à 12:49:10 »
RECHERCHE EMBRYON CLONAGE CELLULES SOUCHES GB
La HFEA va autoriser au cas par cas les recherches impliquant des embryons hybrides homme-animal
LONDRES, 5 septembre 2007 (APM) - L'autorité britannique chargée du contrôle des activités d'aide médicale à la procréation (AMP) et des recherches sur l'embryon, la Human Fertilisation and Embryology Authority (HFEA), a décidé mercredi qu'elle pouvait autoriser des recherches impliquant la création d'embryons hybrides homme-animal.
La HFEA a lancé en début d'année une consultation publique sur cette question, après que deux équipes de chercheurs lui ont demandé l'autorisation d'utiliser des ovocytes animaux pour le transfert nucléaire visant à créer des lignées de cellules souches embryonnaires humaines, une solution qui permettrait de pallier la pénurie d'ovocytes humains pour la recherche sur le clonage thérapeutique, rappelle-t-on.
Dans un communiqué, la HFEA indique qu'après avoir examiné tous les éléments, elle avait décidé qu'il n'y avait "pas de raison fondamentale d'empêcher la recherche sur les hybrides cytoplasmiques", mais que l'opinion publique est généralement opposée à ces recherches à moins qu'elles soient très étroitement régulées et qu'elles soient très susceptibles d'engendrer des progrès scientifiques ou médicaux.
L'autorité réglementaire précise qu'il "ne s'agit pas d'un feu vert total" mais de la "reconnaissance que ce domaine de recherche peut, avec prudence et examen minutieux, être autorisé".
"Des équipes de recherche individuelles" devraient pouvoir mettre en oeuvre de tels projets de recherche "si elles peuvent démontrer à un comité d'autorisation de la HFEA que leur projet prévu est à la fois nécessaire et souhaitable" et qu'elles répondent à tous les standards requis par la HFEA pour toute recherche sur l'embryon, indique l'agence.
La HFEA précise qu'un comité d'autorisation va dès maintenant examiner les deux premiers projets déposés, l'un par le King's College de Londres et l'autre par l'université de Newcastle, et qu'elle espère donner sa décision en novembre.
cd/cb/APM redaction@apmnews.com
CDKI5004 05/09/2007 18:52 ACTU
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« le: 31 juillet 2007 à 15:21:45 »
Promesses du sang de cordon ombilical et blocages en France Source de cellules pluripotentes Le sang de cordon, présent dans le cordon ombilical qui relie le nourrisson au placenta, peut être prélevé après la naissance, sans contrainte pour l’enfant ni pour sa mère. Plus de cent millions d’enfants naissent chaque année dans le monde, ce qui représente une quantité considérable de cellules souches disponibles, couvrant une grande variété de types tissulaires. Le sang de cordon est généralement incinéré après la naissance alors qu’il représente une source éthique de cellules souches pluripotentes pour la majorité de la population mondiale. Son stockage, par congélation, est facile et sa disponibilité plus grande que celle des cellules souches issues de la moelle osseuse. Contrairement aux cellules souches embryonnaires qui nécessitent la destruction de l’embryon, le recueil du sang placentaire est un acte totalement éthique et accessible à tous qui ouvre de grandes perspectives thérapeutiques. Les perspectives thérapeutiques Le sang de cordon contient un groupe de cellules souches très rares et très immatures qui ont la capacité exceptionnelle de former plusieurs types de tissus. Le Professeur Colin McGuckin, de l'Université de Newcastle a été le premier au monde à avoir démontré (en 2005) l’existence de cellules pluripotentes dans le sang de cordon, c’est-à-dire qui ont la propriété de se transformer en de nombreux tissus différents. Cette équipe parvient à créer du foie, mais aussi du tissu nerveux, du tissu de pancréas, des vaisseaux sanguins, à partir de ces cellules extraites du sang de cordon. Elle a aussi utilisé ces cellules souches pour régénérer du tissu de cornée humaine. Le 24 octobre 2006, le Pr. McGuckin a publié d'autres résultats étonnants : la création pour la première fois d’un mini foie en 3 dimensions et il y a quelques semaines, en juin 2007, son équipe publie dans Cell Proliferation un article montrant qu’elle a réussi à créer des tissus humains produisant de l’insuline. Les greffes de sang de cordon ombilical sont utilisées depuis plus de vingt ans pour le traitement de maladies sanguines telles que les leucémies ou les drépanocytoses. Mais elles ne le sont pas seulement pour les maladies liées au système sanguin ou immunitaire (bébé bulle) : elles le sont aussi pour des pathologies touchant la moelle osseuse, le système nerveux ou le métabolisme, comme le diabète juvénile ou la cornée humaine. Le sang de cordon est ainsi utilisé pour traiter plus de 85 maladies, dont récemment la maladie de Krabbe, une maladie génétique touchant le développement du système nerveux. S’agissant de la reconstitution des cellules du foie, les applications sont nombreuses, notamment pour les entreprises pharmaceutiques qui veulent tester l’impact de leurs médicaments sur le foie, sans avoir recours à l’animal de laboratoire. Pourtant, certains chercheurs continuent à nier l’efficacité thérapeutique des cellules de sang de cordon, à l’instar de Marc Peschanski, directeur du laboratoire de l’Inserm d’Evry, qui, cofinancé par l’Association française contre les myopathies (AFM), travaille sur les cellules embryonnaires et affirme que « les cellules de sang de cordon n’ont pas apporté la preuve de leur efficacité dans le domaine de la médecine régénérative »1. Pénurie, retard et préjudice Conformément à l’avis rendu par le Comité consultatif national d’éthique le 12 décembre 2002, les autorités françaises refusent les banques privées au nom des principes de solidarité, de gratuité et d’anonymat du don or, aujourd’hui, la France ne compte que 2 banques publiques de sang de cordon, à Bordeaux et à Besançon. Entre 1994 et 2005, les hôpitaux ont importé 63% des greffons alors que ces derniers coûtent dix fois plus cher (20 000 euros) que s’ils avaient été conservés en France. Comment justifier que, dans ce contexte de pénurie de dons, plus de 2000 cordons ombilicaux soient détruits chaque jour ? La France ne dispose que de 5800 unités de sang placentaire disponibles, (ce qui la classe au 16è rang mondial, derrière la république tchèque), il en faudrait dix fois plus pour répondre à toutes les demandes. L’Agence de biomédecine vient de décider d’allouer un budget de 575 000 euros pour disposer, d’ici trois ans, d’un stock de 10 000 unités placentaires. Cela semble dérisoire comparé à d’autres pays : ainsi, la Suède a débloqué 2 millions d’euros pour dépasser les 250 000 unités (pour 9 millions d’habitants). Selon certains juristes, ce retard pourrait un jour être assimilé à un préjudice par les patients qui pourraient alors attaquer les médecins coupables de ne pas leur avoir permis de bénéficier de cette technique. Les banques de sang de cordon sont un maillon indispensable pour les progrès de la médecine régénérative. Comme le conclut le journaliste de La Vie, qui vient de consacrer un article passionnant à cette question1, « la généralisation de la collecte de sang de cordon ne peut relever que d’une volonté politique ». Aux Etats-Unis, par exemple, le Congrès a voté 265 millions de dollars pour développer un réseau de banques publiques à travers le pays… Dans d'autres pays, comme en Angleterre, se développent des modèles intéressants de banque, comme celui de la Virgin Health Bank, semi privée-publique (cf. Gènéthique n°90, juin 2007). Pour se développer, cette recherche nécessite un travail de concertation entre les gouvernements, les milieux médicaux, les industriels et le grand public. 1. L. Grzybowski , Sang de cordon : l’étrange omerta, La Vie, 5 juillet 2007 © www.genethique.org @+
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« le: 23 juillet 2007 à 13:40:42 »
Les cellules de sang de cordon au secours du diabète insulino-dépendant De l’insuline avec le sang de cordon D’après une étude menée par les équipes du Pr Colin McGuckin (Newcastle Center for Cord Blood, Newcastle University) et du Pr Larry Denner (Stark Diabete Center, University of Texas Medical Branch), il est possible de créer des cellules productrices d’insuline à partir de cellules souches de sang de cordon. Ces résultats ouvrent des perspectives nouvelles pour le traitement du diabète insulino-dépendant (ou diabète de type 1), maladie due à la destruction des cellules du pancréas qui assurent la synthèse de l’hormone régulatrice de la concentration du sucre dans le sang. Dans cette étude publiée dans Cell Proliferation de juin 2007¹, les chercheurs expliquent avoir réussi à transformer des cellules souches de sang de cordon en cellules productrices d’insuline en 21 jours. Quels espoirs thérapeutiques ? Ces travaux pourraient permettre de remplacer les greffes de fragments de tissus pancréatiques contenant des cellules de Langerhans productrices d’insuline. Nico Forraz, co-auteur de l’étude précise "pour les personnes souffrant de diabète de type 1, nous envisageons d’utiliser les cellules souches pour créer des cellules sécrétant de l’insuline, mais aussi les cellules immunitaires présentes dans le sang de cordon, qui pourraient permettre de "calmer" les racines auto-immunes de cette affection qui détruit des régions du tissu pancréatique". Les banques de sang de cordon Si l'intérêt thérapeutique de ces études se confirme, la nécessité d'obtenir des unités de sang de cordon en quantité va très vite s'imposer. En France, les autorités sanitaires et éthiques sont opposées à la mise en place de banques de sang de cordon privées. Pour le Comité consultatif national d’éthique (CCNE), la constitution de banques privées pour un usage strictement autologue du sang de cordon est contraire au principe de solidarité de notre système de santé. En 2002, le CCNE recommandait donc aux pouvoirs publics de promouvoir un important développement des banques publiques de sang de cordon à destinée essentiellement allogénique². La situation française En janvier 2006, la France possédait 5 150 unités stockées de sang de cordon, ce qui ne la plaçait qu'au 16e rang mondial en nombre d'unités par habitant. Aujourd'hui, en juin 2007, 5 800 unités de sang de cordon sont conservées dans les banques publiques françaises. Pour être au même niveau que nos voisins européens, notre stock devrait s'élever à 50 000. Or sur les quatre établissements hospitaliers faisant œuvre de banques publiques, deux ont dû arrêter pour des raisons financières. Il ne reste plus aujourd’hui que deux banques de sang de cordon, à Bordeaux et à Besançon, celle de l’hôpital Saint Louis à Paris, devant être à nouveau opérationnelle d’ici peu. Ce retard est tempéré par la qualité des greffons français pour lequel la France s'affiche dans le "peloton de tête". Ainsi, l'enjeu de la France pour rester dans la compétitivité internationale est d'augmenter la taille de sa banque, tout en conservant l'excellente qualité de ses greffons. Un retard à rattraper d’urgence L’étude qui vient d’être publiée devrait contribuer à rappeler l’urgence qu’il y a, dans notre pays, à développer la conservation par congélation du sang de cordon ombilical. "Dans chaque sang de cordon, il est possible d’obtenir environ 500 000 cellules souches", rappelle Nico Forraz de l’Institut des Cellules souches de l’Université de Newcastle. Avec 120 millions d’enfants qui naissent chaque année dans le monde, les cellules souches de sang de cordon seront prédominantes dans la recherche sur les thérapies cellulaires. La Virgin Health Bank Sir Richard Branson, fondateur et président de Virgin, a annoncé, en janvier 2007, la création d’un nouveau modèle de banque de sang de cordon. La Virgin Health Bank sera la première banque de ce type à la fois privée et publique. Moyennant la somme d’environ 2 270 euros, les parents qui le souhaitent pourront faire conserver le sang de cordon de leur enfant pendant 20 ans. Financée par ses clients et ses investisseurs, la Virgin Health Bank donnera, gratuitement, 80% de chaque prélèvement à une banque publique. Les 20% restants resteront la propriété exclusive de la famille. Par ailleurs, Sir Richard Branson s’est engagé à reverser tous les bénéfices perçus par le groupe Virgin à la recherche sur les cellules souches adultes. 1. Directed Engineering of umbilical cord blood stem cells to produce C-peptide and Insuline ; L. Denner, Y. Bodenburg, J. G. Zhao, M. Howe, J. Cappo, R. G. Tilton, J. A. Copland, N. Forraz, C. McGuckin, R. Urban (2007); Cell Proliferation 40 (3), 367-380. 2. Avis de l’Académie nationale de médecine du 19 novembre 2002 et avis du CCNE du 12 décembre 2002. © www.genethique.org
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