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Sujets - krevette
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« le: 17 janvier 2012 à 23:14:09 »
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« le: 18 mars 2009 à 23:27:25 »
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« le: 18 décembre 2008 à 00:06:03 »
Un anxiolytique accélère la repousse axonale Des travaux de l'équipe Inserm UMR 788 (hôpital du Kremlin-Bicêtre) ont permis de montrer, sur un modèle animal, qu'un anxiolytique (l'étifoxine) pouvait accélérer la régénération axonale. D'après Le Quotidien du Médecin, le domaine des lésions des nerfs périphériques et des neuropathies périphériques est pauvre en ressources thérapeutiques. Cette découverte pourrait donc représenter une voie de recherche intéressante. Quotidien du Médecin [Le] , 16/12/2008
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« le: 07 janvier 2008 à 22:35:38 »
PARIS (AFP) - Des expérimentations sur des souris montrent pour la première fois, selon des chercheurs, que le système nerveux central peut rétablir un câblage entre le cerveau et les nerfs qui contrôlent le mouvement, par l'intermédaire de petits réseaux nerveux.
Cette surprenante découverte pourrait un jour ouvrir la voie à de nouveaux traitements pour des personnes blessées à la moelle et permettre de trouver des applications pour aider les gens qui souffrent des séquelles (paralysies) d'attaques cérébrales ou encore de sclérose en plaques, avancent les auteurs dont les travaux paraissent lundi dans la revue "Nature Medicine".
D'après le neurobiologiste Michael Sofroniew, responsable de l'étude réalisée par l'université de Californie à Los Angeles (UCLA), des nerfs courts peuvent créer des voies de dérivation, des détours, pour contourner l'obstacle (la lésion) qui bloque la voie principale de l'influx nerveux.
Au cours de leurs expériences, les chercheurs ont coupé la moitié des longues fibres nerveuses en différents endroits et à différents moments, en épargnant le centre de la moelle épinière, où se trouvent des séries de réseaux nerveux courts connectés entre eux.
La plupart des souris ont recouvré la capacité à se déplacer dans les huit semaines, certes plus lentement et avec moins d'assurance. Quand ils ont coupé le centre de la moelle, les rongeurs se sont retrouvés à nouveau paralysés.
Cela montre que le système nerveux a re-routé les messages nécessaires aux mouvements du cerveau à la moelle épinière via ces petits réseaux nerveux.
Reste aux chercheurs de l'UCLA à démontrer qu'on puisse espérer trouver là une application aux humains.
source : http://fr.news.yahoo.com/afp/20080107/thl-medecine-recherche-96993ab_1.html
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« le: 12 novembre 2007 à 21:33:04 »
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« le: 26 octobre 2007 à 19:31:55 »
Fondation internationale du handicap L'association pour adultes et jeunes handicapés (Apajh), l'association des paralysés de France, et une association gérant des établissements pour handicapés (Fegapei), vont annoncer la création d'une fondation internationale destinée à récolter des fonds pour la recherche appliquée. Présidée par le généticien Axel Kahn, cette fondation entend également devenir un groupe de pression. Elle créera un observatoire des pratiques en France, et pourrait financer des projets encourageant les handicapés à fonder des entreprises. Actuellement, la France compte cinq millions de personnes souffrant d'une déficience mentale, sensorielle ou physique. Le Pèlerin, 25/10, Libération, 26/10
pas sur que la solution ca soit de multiplier les structures !
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« le: 03 septembre 2007 à 22:00:44 »
Puces et neurones contre maladies et handicaps Des chercheurs canadiens projettent de marier des neurones à des puces électroniques. La première application envisagée de ces "neuropuces" est l'étude des maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Parkinson. Ces cobayes artificiels pourraient aussi être utilisés pour tester de nouveaux médicaments. L'on peut également imaginer qu'ils pourraient permettre de redonner, à une personne rendue paraplégique par un accident, l'usage de ses membres. Implantés dans son cerveau, ils serviraient de support à la croissance du tissu neuronal sain, restaurant la partie lésée. Le Monde, 03/09
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« le: 13 août 2007 à 22:40:12 »
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« le: 03 mai 2007 à 23:47:59 »
Ed Boyden, du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et Karl Deisseroth, de l'université de Stanford, ont découvert une protéine baptisée NpRH qui inhibe les neurones lorsqu'elle est activée par la lumière. Grâce à cette protéine, les chercheurs pourront stimuler ou inhiber des groupes très précis de réseaux neuronaux avec un simple rayon lumineux. Elle permettra de remplacer les électrodes. "C'est la meilleure chose qui soit arrivée aux neurosciences depuis longtemps" a déclaré Carl Petresen, de l'Institut de neurosciences de l'Ecole polytechnique de Lausanne. Courrier International, 03/05
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« le: 10 novembre 2006 à 22:13:29 »
Placée sous le thème "Ouvrons nos portes à toutes les compétences", la 10e Semaine pour l'emploi des personnes handicapées, organisée par L'ADAPT, se déroulera du 13 au 19 novembre 2006. Elle a pour objectif de favoriser la rencontre entre personnes handicapées, recruteurs et organismes qui agissent en faveur de l'insertion. ... http://www.semaine-emploi-handicap.com/
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« le: 07 juin 2006 à 23:57:29 »
Le défi perpétuel des essais cliniques
Les Échos consacrent un large dossier aux essais cliniques, lesquels s’avèrent de plus en plus lourds et coûteux, le tout sur fond de quelques scandales particulièrement pénalisants pour l’industrie pharmaceutique. « Non seulement l’efficacité doit être plus clairement établie, mais on doit réaliser plus d’essais avec davantage de patients, dans un plus grand nombre de centres, de différents continents, explique ainsi Jacques Theurillat, numéro deux de Serono. Et cela d’autant plus que les molécules sont plus innovantes ». Ces essais représentent en effet une part croissante du budget des laboratoires : entre 200 et 400 millions de dollars pour une molécule (30 % pour la partie recherche, 15 % pour la phase 2 et au moins 50 % pour la phase 3) et 1 milliard de dollars en intégrant les molécules qui ont échoué. Jacques Demotes, coordinateur du réseau de recherche Ecrin, évoque de son côté la technique des biomarqueurs exploitables dans les essais : le dosage de ces substances biochimiques secrétées dans l’organisme peut être utilisé comme indicateur de l’évolution de la maladie mais aussi de l’efficacité des molécules. Ensuite seulement interviennent les tests sur l’homme pour vérifier l’innocuité (phase 1) puis l’efficacité (phase 2), intégrant toute une batterie de garde-fous rendus nécessaires pour protéger les cobayes volontaires. En France, les études de phase 4 sont souvent réalisées par les industriels en partenariat avec les hôpitaux et l’Inserm, notamment dans le cadre de comparaisons de stratégies thérapeutiques et avec l’appui du réseau Ecrin. signalent. Enfin, Les Échos rappèlent l’ambition de consulter les patients pour mieux les impliquer dans la recherche clinique. Les promoteurs d’essais auraient en effet tout à gagner à associer précocement les patients à leurs recherches.
Les Échos, 07/06
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« le: 27 décembre 2005 à 22:40:05 »
Biotechnologies, le retard français
« La France a raté le virage des biotechnologies », s’émeut Valeurs Actuelles. Premier producteur européen de médicaments, l’Hexagone n’exploite que six sites de bio-production de taille industrielle, dont trois battent pavillon Sanofi-Aventis. Les investissements européens en biotechnologie sont réalisés, de préférence, en Irlande et en Suisse. Pour Alain Clergeot, président de Chugai Pharma France, le risque est grand que de nombreux départs en retraite, dans le secteur de l’industrie pharmaceutique, ne soient pas remplacés. En outre, le gouvernement vient de durcir les pénalités infligées aux laboratoires lorsque la progression des ventes de médicaments remboursés par la Sécurité sociale dépasse son objectif de croissance, soit 1 % pour 2005, 2006 et 2007. Enfin, la contribution des laboratoires pharmaceutiques au plan de financement de la Sécurité sociale s’alourdit et atteint désormais 3 milliards d’euros, selon le Syndicat des entreprises du médicament. no comment ...
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« le: 02 août 2005 à 14:43:40 »
Art 14 : les médecins ne doivent pas divulguer dans les milieux médicaux un procédé nouveau de diagnostic ou de traitement insuffisament éprouvé sans accompagner leur communication des reserves qui s'imposent. Ils ne doivent pas faire une telle divulgation dans le public non médical.
Bah c'est ptet pour ca qu'il n'y a personne du corps médical qui s'exprime ici !!
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« le: 17 juin 2005 à 22:44:33 »
Bonjour,
un post juste par curiosité , pour savoir si vous croyez que des traitements seront accessible pour les personnes atteintes aujourd'hui ?
Ou est ce que vous croyez que la recherche sera valable pour les prochaines generation (ds 10 ou 15 ans) , parce que je suis sur qu'il y a 20 ans (début de la recherche) ; c'est ce que les chercheurs disaient déja , alors ca se trouve dans 15 ans on nous dira encore ca !!
pluch !
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« le: 29 mai 2005 à 16:40:20 »
une nouvelle trouvée sous yahoo !! MARSEILLE (AFP) - L'avenir de la chirurgie plastique se joue dans les laboratoires de biotechnologie : on y cultive de la peau et des nerfs, ces morceaux du puzzle humain que les praticiens tentent de reconstruire chaque jour dans leurs hôpitaux. "Ces deux axes de recherche fondamentale sont les plus prometteurs en chirurgie réparatrice", affirme le Pr Guy Magalon, chef de service de chirurgie plastique de la Conception (Marseille) et hôte du 16e Congrès de la société européenne de cette spécialité médicale, qui se tient jusqu'à samedi dans la cité phocéenne. "L'idée est d'aller plus loin dans la reconstruction avec, en ligne de mire, de permettre à des accidentés de retrouver ce qu'ils ont perdu, autant que faire ce peut", avance le Pr Magalon.
Actuellement, en prélevant de la peau d'un patient, on peut en multiplier les cellules et fabriquer de l'épiderme. Par ailleurs, il existe des dermes (couches profondes de la peau) artificiels, souvent en collagène.
"On n'arrive pas à faire adhérer l'épiderme au derme: on n'a donc pas encore une vraie peau de remplacement à proposer", explique-t-il. Or ces tissus-là seront surtout intéressants pour les grands brûlés sur lesquels on ne peut plus prélever de peau.
Pour fabriquer des tissus nerveux, "on travaille sur des cellules du plafond de la muqueuse nasale, que l'on peut prélever sans danger. Mises en culture, on peut en obtenir plusieurs millions en trois semaines", raconte le praticien.
Au-delà de leur région d'origine, ces cellules nerveuses pourraient servir pour une réparation du cerveau, au niveau de la moelle épinière ou des nerfs périphériques des membres.
Selon lui, un essai clinique est en cours en Australie sur des patients tétraplégiques à la suite d'un traumatisme ayant atteint la moelle épinière.
Dans l'attente de ces tissus disponibles à volonté, les chirurgiens plastiques pratiquent la reconstruction en utilisant le patient lui-même.
....
http://fr.news.yahoo.com/050528/202/4fsvg.html
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« le: 02 mai 2005 à 01:18:53 »
Bonjour, je ne sais pas si vous connaissez cette association de chercheurs : http://www.neurosciences.asso.fr/ , mais ils organisent un colloque sur Lille au mois de mai. Je joins une lettre d'information du second semestre 2004. Il y a notamment un article sur "Régénération axonale et moelle épinière " : Un accident traumatique ou vasculaire affectant la moelle épinière ou le cerveau peut engendrer des lésions axonales dont les conséquences, irréversibles, sont dramatiques pour les sujets atteints. En effet, à l’inverse du système nerveux périphérique, les neurones centraux sont généralement dans l’incapacité de régénérer un axone lésé. Pourquoi ? L’absence de régénération est-elle le fait des neurones eux-mêmes, ou de leur environnement neuroglial ? Quels sont les facteurs permissifs ou inhibiteurs qui gouvernent ces propriétés différentes ? Et comment l’identification de tels facteurs laisse entrevoir à terme de nouvelles options thérapeutiques. Isabelle Dusart, Alain Chédotal et Jean-Chrétien Norreel nous dressent un panorama des avancées récentes et des différentes approches technologiques dans un domaine de recherche particulièrement dynamique.
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« le: 30 avril 2005 à 10:28:24 »
bonjour, reprise d'un post paru sur carecure : traduction grossiere : "c'est paru dans un journal norvégien aujourd'hui
Les scientifques d'un hôpital d'Oslo on pélevé les cellules souches de la moelle oseuse d'un "etudiant" et l'on implanté dans la moelle épiniére d'un poulet pour trouver un reméde pour les lesions de le ME , ALS et la maladie de Parkinson"
=========================== :arrow: TEXTE ORIGINAL EN ANGLAIS ===========================
"This is written in the norwegian newspaper today.
The scientists in hospital in Oslo are taking bonemarrow stemcells out of student and put it in the spinal cord of chickens to try to find a cure for SCI, MS, ALS and Parkinsons desease."
http://www.aftenposten.no/fakta/innsikt/article1028072.ece"
PS : si il y en a qui parle norvégien et qui ont le courage de traduire !!
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« le: 25 avril 2005 à 15:45:50 »
"Parmi les plus virulents contradicteurs du « procédé Suaw » : Alain Privat, directeur de recherche à l’Inserm. Ce procédé avait fait parlé de lui le 18 mars 2000, après que le Pr Rabischong eut implanté, dans l’organisme d’un patient paralysé, une puce et des électrodes agissant sur les muscles et les nerfs. Le patient était alors parvenu à se lever et à se déplacer à l’aide d’un déambulateur. Alain Privat juge l’expérience « très choquante [car] n’y a pas eu d’étude clinique sérieuse sur les mammifères ». Bernard Bussel (hôpital Raymond-Poincaré, Garches) proteste à son tour : « Aux États-Unis et en Allemagne, on a arrêté d’explorer cet axe de recherche, car les patients n’appréciaient pas leur démarche et les fils cassaient trop souvent »."
La Croix, 25/04
PS : kler que le docteur Privat aurait d'abord equipé ses souris qui lui auraient dit :" moi j'aime pas trop ma démarche"
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« le: 16 avril 2005 à 14:43:34 »
Bonjour voici un article sur une nouvelle voie de recherche , paru sur le site d'une télévision américaine d'Indianapolis: Traduction approximative ! Indianapolis - une nouvelle entreprise a été annoncée jeudi qui pourrait révolutionner le traitement des personnes paralysées par des lésions du cordon médullaire. Cette nouvelle montre que Indiana est en train de prendre la tete dans le domaine des nouvelles biotechnologies .
Brandon Ingram a été ejecté dd'une voiture en 2002 et perdit l'usage de ses jambes. Grace à un dispositif éléctrique qui emet une intensité similaire a celle d'un "embryon", Ingram retrouve de la sensibilité et une motricité. Il déclare avoir quelques sensations et peut marcher en utilisant des cannes.
Le docteur Richard Borgens , un professeur travaillant dans le domaine du biomédical est l'inventeur du dispositif testé par Ingram et 9 autres personnes. Ce dispositif est appelé OFS , grosso modo stimulateur de courant alternatif.
Docteur Borgens a decouvert qu'un faible courant électrique peut provoquer une regéneration du tissu nerveux. " Le systéme emet un courant électrique au niveau de la lésion. Ce champs électrique aprés avoir été testé 20 ans sur des animaux a montré qu'il provoqué une régénération des fibres nerveuses qui s'allongent doucement autour de la lésion et réalisent de nouvelles connections" declare t'il.
Docteur Borgens a concus ce dispositif dans son laboratoire et l'a essayé sur des animaux tels des chiens qui avaient perduent l'usage de leurs pattes arriéres mais c'est lorsque le docteur Scott Shapiro un neurorchirurgien de l'université d'Indiana implanta dix de ces dispositifs chez l'etre humain que le système commença a retenir l'attention. Non seulement c'etait sans danger déclara Shapiro mais cela permis la récupératon de sensibilité ( sur des touchers légers et des piqures légéres) en dessous du niveau de lésion. Il y eut des récupération motrices mais elles etaient moins flagrantes que les recupérations sensitives" déclara t'il.
Cette histoire comporte une autre partie qui met en jeu une ancienne star du foot Purdue qui devint un homme d'affaire.
Mark Porney a conclu un accord avec Purdue et le docteur Borgens pour commercialiser l'OFS. Nous sommes bien une société de l'Indiana et le il y aura des emplois la ou nous nous installerons.
L'étude initiale était menée par l'assemblée générale de l'Indiana et des associations carritatives qui disposaient d'un accord spécial.
En tant que directeur médical Carney a dit qu'il reconnaissait l'importance du traitement à la fois en terme d'amélioration de la qualité de vie et en terme de perspectives économiques pour l'industrie de la santé.
L'importance se situe à deux niveaux declara Carney parceque la plupart des patients touchés par ces lésions catastrophiques ont entre 20 ans et 30 ans et nécessitent des soins pour le reste de leurs vies. Les couts de traitement peuvent atteindre 650 000 dollars ds la premiére année et 120 000 les années suivantes.Si l'on raisonne en perte de salaire et de productivité la dépense totale approche facilement 3 millions.
L'OFS pourrait être disponible à partir de 2008.
Aucun des patients impliquaient ds l'étude ne fut capable de remarcher mais leur qualité de vie s'améliora grace a l'utilisation de l'OFS. "Dans notre étude l'OFS fut retiré chirurgicalement aprés 15 semaines et les patients furent suivient pendant un an avec des tests pour évaluer leurs récupérations sensorielles. Certains patients qui n'avaient aucune sensation en dessous du niveau de la lésion avant l'implantation de l'OFS retrouvérent une sensibilitée quasi normal sur certains zones aprés avoir suivient l'étude clinique de plus certains patients regagnérent la sensibilité et des fonction moteurs . Mais celles ci étaient insuffisantes pour se tenir debout sans assistance" déclara Shapiro.
Pour info (Dr. Shapiro est joignable via le bureau des relations publiques de l'université d'Indiana au 317-274-7722. Dr. Borgens est joignable via le centre de recherche sur la Paralysie de Purdue au 765-494-7600.)
Les cadres d'Andara sont maintenant entrain d'engager du personnel supplémentaire et de mettre en place leur projet commercial.
Plusieurs endroits en Indiana sont à l'étude par Andara pour installer les bureaux et le laboratoire."
=========================== :arrow: TEXTE ORIGINAL EN ANGLAIS ===========================
Indianapolis – A new business venture was announced Thursday which could revolutionize treatment for people with paralyzing spinal cord injuries. The news is another indication that Indiana is taking the lead in biotechnology.
Brandon Ingram was thrown from a car in 2002, and lost the use of his legs. Thanks to an electrical device which emits a charge similar to one in an embryo, Ingram is regaining sensation and movement. He says he now has some feeling and can use braces to walk.
Dr. Richard Borgens, a professor of biomedical engineering, is the inventor of the device tested by Ingram and nine others. It's called an OFS, or oscillating field stimulator.
Dr. Borgens discovered that a weak electrical current can regenerate nerve tissue. “It puts an electrical field over the injury. That electrical field, through 20 years of animal testing, has been shown to produce regeneration of nerve fibers to go slightly in and around the injury and make new connections,” he said. Dr. Borgens refined the device in his lab and tried it on animals like daschunds which had lost the use of their legs. But it was when Dr. Scott Shapiro, a neurosurgeon at IU, implanted ten of the devices in humans, the device began to get serious attention.
Not only was it safe, said Shapiro, but “it was most effective in recovery of sensory function, light touch and pin prick below the level of injury. Motor function was there. It wasn't as robust as the sensory recovery,” he said.
There's another part to this story, and it has to do with a former Purdue football star who's turned into a businessman. Mark Carney has reached an agreement with Purdue and Dr. Borgens to market the OFS. “We absolutely are an Indiana company and while we're still working out exactly where we're going to be located, there will be jobs,” said Carney, Andara Life Science.
The initial study was supported by a special appropriation by the Indiana General Assembly and charitable gifts.
As a health-care executive, Carney said he recognizes the significance of the treatment from both a quality-of-life standpoint and health-care industry cost perspective.
"Its importance is twofold," Carney said. "Because most of these patients suffer these catastrophic injuries while in their 20s and require care for the rest of their lives, treatment costs can approach $650,000 in the first year and $120,000 every year thereafter. When you factor in lost wages, fringes and productivity, the overall expense can easily approach $3 million."
The OFS could be available to the public by 2008.
None of the patients involved in the study were able to walk, but their quality of life improved by using the oscillating field stimulator. "In our study, the OFS was surgically removed at 15 weeks, and patients were followed for one year and tested to evaluate their sensory recovery. Some patients who had no sensation below the level of their injury prior to the implantation of the OFS found their sensation in certain areas almost back to normal following the clinical study regiment. In addition, some patients did regain sensation and motor function in their lower extremities but not enough to stand unassisted,” said Shapiro.
Andara executives are now in the process of hiring additional members of the management team and implementing the business plan that has been developed. Several locations in Indiana are under consideration by Andara for office and laboratory space."
http://www.wishtv.com/Global/story.asp?S=3213410&nav=0Ra7YgwM
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« le: 03 mars 2005 à 18:38:44 »
Le Brésil donne le feu vert aux cellules souches d'embryons et aux OGM 03/03 17:52 Le Congrès brésilien a adopté un projet de loi controversé sur la "biosécurité", qui autorise et réglemente l'utilisation de cellules souches provenant d'embryons pour la recherche et le traitement médical, ainsi que la recherche, la culture et la commercialisation d'OGM.
Le projet, en discussion depuis 1995, a été approuvé mercredi soir par 352 députés. 60 ont voté contre et un député s'est abstenu. Il avait été modifié par le Sénat en octobre et devait revenir devant les députés pour être définitivement adopté.
Le texte sur les cellules souches, approuvé en dépit des vives protestations de l'Eglise, précise que ne pourront être utilisées que les cellules souches d'embryons congelés depuis au moins trois ans, produites "in vitro". Le clonage humain reste interdit.
Le ministre brésilien des Sciences et Technologie, Eduardo Campos, s'est félicité de cette "victoire de la science, un nouvel espoir pour les cinq millions de Brésiliens qui attendaient ces recherches".
Des dizaines de malades en chaise roulante ont suivi le vote du fond de la salle de la Chambre des Députés. Ils ont salué l'approbation de la loi par des cris, des applaudissements et des pleurs.
"Nous avons attendu longtemps et ce n'est que maintenant que nous avons réussi à faire changer les choses dans la tête des parlementaires", a déclaré Carolina Sanches, 32 ans, clouée sur un fauteuil roulant depuis onze ans.
La veille, le gouvernement du président Luiz Inacio Lula da Silva avait demandé aux députés d'approuver l'utilisation des cellules souches d'embryons, alléguant du "droit fondamental des Brésiliens à avoir accès aux technologies les plus avancées pour le traitement de maladies".
L'Eglise catholique s'est opposée jusqu'au dernier moment au projet de loi qu'elle considère comme une atteinte à la vie humaine.
"Nous rejetons fermement la production d'embryons ou l'utilisation d'embryons déjà existants, aussi bien pour la recherche que pour l'éventuelle production de tissus et organes", avait affirmé le chef de l'Eglise catholique brésilienne, le cardinal Geraldo Majella Agnelo, dans une lettre ouverte aux députés.
Le député Salvador Zimbaldi, du Parti Travailliste Brésilien (PTB, droite, opposition), a annoncé qu'il ferait appel auprès du Suprême Tribunal Fédéral (STF, la plus haute de justice au Brésil) estimant la loi "inconstitutionnelle", tandis que la député du Parti des Travailleurs (PT, au pouvoir), Telma de Souza, s'est félicitée de cette "soirée mémorable pour le Parlement".
La libéralisation des OGM a été fêtée par de nombreux députés liés au secteur de l'agro-alimentaire et déploré par les écologistes qui essuient une sérieuse défaite.
La nouvelle loi augmente les attributions de la Commission Technique nationale de Bio-sécurité (CTN-Bio), comme le voulait l'agrobusiness et élimine le pouvoir de veto d'organismes liés aux ministères de l'Environnement et de la Santé.
Les écologistes et Greenpeace accusent Lula d'avoir "cédé" au lobby de l'agroalimentaire en dépit de ses engagements internationaux puisque le Brésil est signataire de la Convention de la Biodiversité. De plus, la Constitution brésilienne stipule la réalisation d'études scientifiques avant d'autoriser les OGM dans le pays.
C'est aussi "un manque de respect" envers les Brésiliens dont 80% s'opposent aux OGM, selon eux."
AFP http://actu.voila.fr/Depeche/depeche_science_050303165204.z0f1htx9.html
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« le: 02 mars 2005 à 15:10:01 »
Bonjour,
ce n'est pas vraiment de la recherche sur les LME , mais plus une info generale :
"Les Échos tracent les contours d’un « business qui se cherche », celui des cellules souches. Des équipementiers spécialisés font leur apparition. 90 % des programmes de recherche portent aujourd’hui sur ces cellules souches embryonnaires humaines. Marc Hunyadi, auteur de « Je est un clone », soulève la question éthique : l’« instrumentalisation banalisée de l’être humain ». Le quotidien rappelle que Matignon vient d’autoriser l’importation, la conservation et l’utilisation de cellules souches à des fins thérapeutiques. L’équipe du professeur Marc Peschanski (Inserm) a été la première à en bénéficier. "
Les Échos, 02/03
Mais je suis pas abonne aux echos , alors je ne sais pas si ils disent quelque chose sur les cellules souches adultes.
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