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Accepter son handicap : j'aime ni le mot, ni le concept. Personnellement, c'est en partant du principe qu'il était inacceptable que j'ai commencé à le dépasser
Faire accepter son handicap : là aussi je trouve que l'on est bien mal préparé car l'optique est mauvaise. Peut-être qu'un jour on pourra le "faire accepter", mais dans l'immédiat il faut surtout "l'imposer" aux autres. Si on savait dès le départ, que c'est une lutte de tous les instants avec des des éléments extérieurs (villes inadaptées, incivisme global, exclusion professionnelle ...), on gagnerait du temps et on se découragerait moins vite.
Quitte à prendre une approche psycho-sociologique, autant prendre les précautions d'usage avant de dire que c'est de la faute du CRF !!!
Ce problème d'accessibilité
Selon le modèle : un handicapé>un crf>une personne ressource.Le personnel médical du crf, en toute connaissance de vos capacités physiques et psychologiques et une personne ressource de haut niveau spécialisée dans le domaine de l'apprendre
je sens que j'ai besoin de me réadapter
Personnellement, moi, ça ne me dirait rien du tout si on me proposait de faire régulièrement un séjour dans un CRF
Ne t'inquiètes pas Sylvia, on ne peut pas te garder contre ton gré (sauf pour certains cas évidemment), tu as juste une décharge à signer et tu es libre, heuresement d'ailleurs, ça serait grave si l'on imposait une hospi aux gens ...
Serais-je donc la seule à avoir "globalement" un bon souvenir de mon séjour en rééducation ?...
ce n'est pas facile tous les jours et que les contraintes sont nombreuses (matérielles, personnelles, budgétaires ....), ce qui n'empêche pas le respect que l'on se doit d'apporter aux personnes soignée