Auteur Sujet: Cellules souches et R&D  (Lu 269809 fois)

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #253 le: 06 avril 2009 à 22:38:59 »
Je n'arrive pas à lire la vidéo  :angry:

Hors ligne christophe1

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #252 le: 06 avril 2009 à 10:49:12 »
a voir pendant encore 5 jours sur le site france2
http://programmes.france2.fr/science-2/index.php?page=article&numsite=2291&id_article=5591&id_rubrique=2294
regarder vers la 30eme minutes.
toujours le comité bioétique qui freine la recherche
pourtant galilé a bien dit que la terre est ronde!

Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #251 le: 27 mars 2009 à 13:58:19 »

Programmation de cellules de la peau en cellules souches sans virus

WASHINGTON (AFP) — Des chercheurs américains sont parvenus à créer des cellules souches pluripotentes, ressemblant aux cellules embryonnaires, en reprogrammant des cellules ordinaires de la peau sans utiliser de virus et ce pour la première fois, selon des travaux publiés jeudi.

Cette avancée permet d'éliminer un problème clé de sûreté quant à l'utilisation potentielle à des fins thérapeutiques de ces cellules, quasi-similaires aux cellules souches embryonnaires.

Elles peuvent potentiellement devenir 220 types de cellules du corps, cardiaques, pulmonaires ou nerveuses, et présentent la possibilité d'avoir le même potentiel thérapeutique que les cellules souches embryonnaires sans la controverse éthique et religieuse puisque pouvant être créées sans détruire un embryon humain.

"Nous pensons que c'est la première fois que des cellules souches humaines pluripotentes induites ont été créées sans aucun vecteur viral", déclare James Thomson, chercheur à l'Université du Wisconsin (nord) et principal auteur de cette recherche parue dans la revue américaine Science datée du 27 mars.

Cela signifie que ces cellules souches présentent un risque nettement moindre de provoquer des tumeurs ou de bloquer le fonctionnement de certains gènes, ajoute-t-il.

Ce chercheur avait été le premier à obtenir des cultures de cellules souches embryonnaires humaines en 1998. En 2007, il avait co-découvert une technique permettant de reprogrammer des cellules adultes de la peau en cellules souches pluripotentes, à savoir capables comme les cellules souches embryonnaires de devenir n'importe quelles cellules du corps.

Cette nouvelle méthode utilise comme vecteur un plasmide --et non un virus-- pour transporter les gènes nécessaires à la reprogrammation des cellules adultes de la peau.

En outre, le plasmide --une molécule d'ADN distincte de l'ADN du chromosome et capable de réplication autonome-- et les gènes qu'il transporte, n'entrent pas dans le génome des cellules souches induites, expliquent les auteurs de ces travaux.

Les cellules souches pluripotentes obtenues par cette méthode d'induction sont "remarquablement similaires aux cellules souches embryonnaires et montrent la même capacité à proliférer indéfiniment dans des cultures et de se diversifier pour devenir tous les types de cellules du corps humain", explique James Thomson.

"La récente découverte que les cellules adultes pouvaient être reprogrammées en cellules pluripotentes ressemblant à des cellules souches embryonnaires ouvre un énorme potentiel pour la médecine régénératrice", relève Marion Zatz des Instituts nationaux américains de la santé (NIH) qui a en partie financé la recherche.

"Les premières méthodes d'induction présentaient des risques importants pour des utilisations thérapeutiques de ces cellules pluripotentes et la dernière découverte de l'équipe de James Thomson (...) est une avancée majeure vers une utilisation clinique sûre de ces cellules souches reprogrammées", ajoute-t-elle.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iGA9pM1zkxbXQzj_ho5RRYR-0FGA

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Hors ligne TDelrieu

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #250 le: 10 mars 2009 à 18:13:02 »
Non, rien pour le moment...  :huh:

Hors ligne munoz

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #249 le: 10 mars 2009 à 16:15:41 »
bonjour,
je voudrait savoir si quelqun a des nouvelles sur le traitement des neuropeptide
merçi

Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #248 le: 10 mars 2009 à 14:23:04 »

Un autre article :

Cellules souches embryonnaires: incontournables pour décoder les maladies

WASHINGTON (AFP) — La recherche sur les cellules souches embryonnaires est jugée incontournable pour faire avancer la connaissance sur le mécanisme des maladies, selon la majorité de la communauté scientifique et médicale américaine soulagée de la levée des restrictions sur ces études.

"La recherche sur les cellules souches embryonnaires donne à la science biomédicale la capacité de démonter les mécanismes des maladies", explique le Dr Curt Civin, directeur du Centre de biologie des cellules souches à l'Université du Maryland (est), qualifiant de "grand jour" la décision de M. Obama.

Le président américain a signé lundi un décret revenant sur l'interdiction décidée en 2001 par son prédécesseur George W. Bush d'utiliser des fonds fédéraux pour financer des recherches sur de nouvelles lignées de cellules souches embryonnaires.

"Les cellules souches embryonnaires contiennent le logiciel de la vie... c'est fascinant", poursuit le Dr Civin, un des pionniers de ces recherches.

"Si nous savions comment chaque cellule dans le corps décide de devenir telle ou telle autre cellule, de ne pas se reproduire ou de ne pas se différencier comme les cellules cancéreuses... nous pourrions comprendre le mécanisme d'un grand nombre de maladies et trouver les moyens de les traiter ou de les prévenir", explique-t-il à l'AFP.

Les cellules souches embryonnaires ont la capacité de devenir n'importe quelles cellules du corps, cardiaques, pancréatiques ou cérébrales.

Elles pourraient potentiellement remplacer des cellules détruites du muscle cardiaque, du pancréas pour traiter le diabète ou nerveuses pour traiter la maladie de Parkinson ou restaurer la conductivité nerveuse dans la moelle épinière de personnes paralysées à la suite d'un accident.

Le Dr Cevin souligne que dans le cadre du plan de relance de M. Obama, dix milliards de dollars seront disponibles pour la recherche médicale dès septembre.

Pour le Dr Harold Varmus, directeur des conseillers pour la science et la technologie de la Maison Blanche, il faut "identifier le type de cellules souches pouvant le mieux être utilisées pour des thérapies à base cellulaire".

"Les cellules souches dérivées d'un embryon humain paraissent être les candidats les plus prometteurs mais il y a d'autres moyens de produire des cellules souches ressemblant aux cellules embryonnaires, dont les cellules souches adultes dites pluripotentes induites", a-t-il ajouté, interrogé sur CNN.

"Il s'agit de déterminer si ces cellules peuvent se substituer aux cellules souches embryonnaires humaines", a souligné le Dr Varmus, prix Nobel de médecine.

Ce décret "peut ouvrir la voie à des avancées médicales considérables pour traiter des maladies incurables jusqu'à présent", s'est réjoui le Dr Joshua Hare de l'Université de Miami (Floride, sud-est).

Le Dr Robert Lanza indique pour sa part que sa société, Advanced Cell Technology, à Worcester (Massachusetts, nord-est), "envisage de demander dès cet été son aval à l'Agence américaine des médicaments (FDA) pour un essai clinique d'une thérapie basée sur des cellules souches embryonnaires afin d'empêcher la cécité".

La levée de ces restrictions "ouvre une nouvelle ère dans la recherche sur les cellules souches", déclare-t-il dans un entretien à l'AFP.

"On ne peut pas imaginer combien de recherches importantes ont été bloquées à cause de ces restrictions", ajoute ce chercheur.

Le Dr Michael West, PDG de Biotime en Californie (ouest), estime que le potentiel médical des cellules embryonnaires permettra d'éviter une énorme crise budgétaire liée au vieillissement des "baby-boomers", en permettant de prévenir nombre de maladies ou de les traiter à moindres coûts

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jAc7u3bOWqLLtuyh5EYzZNDVZdRA

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Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #247 le: 10 mars 2009 à 14:20:09 »

Voilà c'est signé !


Barack Obama autorise l'Etat à financer les recherches sur les cellules souches

Le président américain Barack Obama a, lundi 9 mars, signé un décret autorisant le financement fédéral des recherches sur les cellules souches embryonnaires humaines. Il a ainsi levé les restrictions imposées dans ce domaine depuis 2001 par son prédécesseur, George Bush. Cette décision répond à un engagement pris durant la campagne électorale. Elle est justifiée, selon le nouveau président américain, par les perspectives désormais offertes par l'utilisation de ces cellules dans le traitement de maladies dégénératives aujourd'hui incurables.


Lors de la cérémonie organisée à l'occasion de la signature de ce décret, M. Obama a affirmé sa volonté de rompre avec son prédécesseur dans le domaine des sciences comme dans d'autres. Il estime indispensable de protéger l'activité scientifique de considérations idéologiques qui s'opposeraient à son développement. Le décret prévoit une période de quatre mois durant laquelle les instituts nationaux américains de la santé devront élaborer de nouvelles règles sur le financement par l'Etat de chercheurs travaillant dans ce domaine.

Déterminé à regagner le terrain perdu dans la compétition internationale, M. Obama a souligné que ces recherches devraient être menées dans un cadre réglementé. "Nous ne tolérerons pas les abus. Nous veillerons à ce que notre gouvernement n'ouvre jamais la porte au clonage pour la reproduction humaine", a-t-il déclaré. Proche des milieux religieux, M. Bush s'était opposé à ce que des fonds publics alimentent de telles recherches.

L'ancien locataire de la Maison Blanche avait, par deux fois, usé de son droit de veto contre des projets de loi visant à soutenir, à l'échelon fédéral, le développement de ces recherches qui imposent la destruction d'embryons humains dans les premiers jours qui suivent leur conception par fécondation in vitro.

Les républicains restent d'ailleurs fidèles à cette position. "Je soutiens pleinement la recherche sur les cellules souches mais je m'oppose à une recherche financée par l'argent des contribuables qui implique la destruction de vies humaines, et des millions d'Américains pensent comme moi", a déclaré le chef de file des républicains à la Chambre des représentants, John Boehner.

De nombreuses personnalités de la communauté scientifique et médicale américaine se sont eux vivement réjoui de la décision, rappelant les applications potentielles des recherches dans ce domaine. "Les cellules souches embryonnaires contiennent le logiciel de la vie, c'est fascinant, a ainsi déclaré à l'Agence France-Presse le docteur Curt Civin, directeur du centre de biologie des cellules souches à l'université du Maryland. Si nous savions comment chaque cellule dans le corps décide de devenir telle ou telle autre cellule, de ne pas se reproduire ou de ne pas se différencier comme les cellules cancéreuses, nous pourrions comprendre le mécanisme d'un grand nombre de maladies et trouver les moyens de les traiter ou de les prévenir."

Ces perspectives de thérapies suscitent l'enthousiasme des chercheurs américains qui veulent acquérir une position dominante dans de domaine. "Je pense que les patients du monde entier vont nous remercier et nous prier de travailler plus vite, plus fort en mettant toute notre compétence au service de nouveaux traitements", a ainsi déclaré Doug Melton, codirecteur de l'institut d'Harvard spécialisé dans ces recherches et père de deux enfants atteints d'un diabète qui pourrait peut-être être traité grâce aux cellules souches.

Le professeur Harold Varmus, prix Nobel de médecine et directeur des conseillers pour la science et la technologie de la Maison Blanche, a toutefois rappelé que de nombreuses questions restent à résoudre. "Les cellules souches dérivées d'un embryon humain paraissent être les candidats les plus prometteurs mais il y a d'autres moyens de produire des cellules souches ressemblant aux cellules embryonnaires, dont les cellules souches adultes dites "pluripotentes induites"", a-t-il expliqué. Il faut, selon lui, identifier le type de cellules souches pouvant le mieux être utilisé pour des thérapies cellulaires.

La décision de Barack Obama n'a pas surpris la communauté scientifique internationale. Une initiative de la Food and Drug Administration (FDA) prise au lendemain de la cérémonie d'investiture du président laissait présager la levée de l'interdiction du financement fédéral de ces recherches. La FDA avait ainsi annoncé, fin janvier, qu'elle autorisait le premier essai clinique américain mené à partir de cellules dérivées de cellules souches embryonnaires humaines.

Un feu vert avait été accordé à la société californienne de biotechnologies Geron, qui a demandé à mener un essai clinique de phase I concernant une dizaine de personnes frappées de paraplégie à la suite d'un traumatisme ayant provoqué des lésions importantes de la moelle épinière. Cet essai pourrait commencer cet été. Ce choix avait un peu surpris les spécialistes qui pensaient que le premier feu vert américain concernerait des pathologies comme l'infarctus du myocarde et le diabète pour lesquelles des recherches sont actuellement menées, notamment en Europe.

Car les Américains, malgré l'absence de fonds publics, n'ont jamais délaissé le terrain. " Plusieurs équipes américaines de renommée internationale mènent déjà des travaux grâce à des financements provenant de certains Etats, d'universités, de fondations ou du privé. Le feu vert présidentiel va, en revanche, fort heureusement permettre d'en finir avec la pression politique qui pesait sur les membres de ces équipes", estime pour sa part Marc Peschanski (Istem, Généthon), qui dirige l'une des plus importantes équipes françaises investies dans ce domaine.

Pour Hervé Chneiweiss, rédacteur en chef de la revue franco-québécoise Médecine/Sciences, cette décision s'inscrit dans un contexte général de nouveaux engagements du gouvernement américain en faveur de la recherche. "Le plan de relance voté le 13 février comprenait 21,5 milliards de dollars pour la recherche sur le budget 2009 dont 10 milliards pour les Instituts nationaux américains qui vont s'ajouter à une base de 29,6 milliards. La nouvelle donne américaine risque d'être à l'origine de l'une des plus dramatiques fuites des cerveaux que l'on n'ait jamais vues."

http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/03/10/barack-obama-autorise-l-etat-a-financer-les-recherches-sur-les-cellules-souches_1165926_3244.html

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Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #246 le: 09 mars 2009 à 13:19:40 »

Un autre article sur le sujet :


Cellules souches: Obama réjouit les chercheurs, inquiète les conservateurs

WASHINGTON (AFP) — Le président américain Barack Obama devait autoriser aujourd'hui, lundi le financement par l'Etat de la recherche sur les cellules souches embryonnaires, interdit par George W. Bush pendant huit ans, un revirement qui réjouit les chercheurs mais inquiète les conservateurs.

Conformément à ses promesses électorales, M. Obama signera lors d'une cérémonie à la Maison Blanche un décret qui revient sur la politique de son prédécesseur en matière bioéthique, a indiqué l'administration.

Depuis le 9 août 2001, le financement public de la recherche sur ces cellules obtenues à partir de l'embryon humain est interdit. A moins de travailler avec des fonds privés, les chercheurs n'ont pas pu produire de nouvelles lignées de cellules souches.

Or ces cellules souches ont un potentiel énorme pour guérir ou traiter des maladies. Etant à l'origine de toutes les autres cellules, les scientifiques pensent pouvoir les transformer en n'importe quelle cellule du corps, pour remplacer des cellules endommagées ou malades et permettre la reconstitution de tissus ou d'organes.

Elles constituent ainsi le meilleur espoir de la médecine régénératrice pour des pathologies comme le diabète, la maladie de Parkinson ou la paralysie des blessés de la moelle épinière.

Mais la recherche est controversée, car il faut détruire des embryons humains viables aux tous premiers jours de leurs développement pour en extraire ces cellules pluripotentes. Les conservateurs religieux considèrent cela comme un meurtre.

Les embryons utilisés sont des blastocystes surnuméraires laissés par des couples dans des cliniques pratiquant la fécondation in vitro.

La communauté scientifique, qui a souvent montré son inquiétude sur le fait que la recherche américaine, privée de centaines de millions de dollars de fonds publics, avait pris du retard en la matière, a déjà salué avec enthousiasme et soulagement le changement de politique.

"Le président Obama débarrasse les fonds pour la recherche de la politique et l'idéologie", a déclaré à l'AFP Irving Weissman, directeur de l'Institut des Biologies de Cellules Souches et de Médecine Régénératrice de Stanford, regroupant plusieurs laboratoires qui ont poursuivi ces dernières années leurs recherches notamment grâce à des fonds de l'Etat de Californie.

"Il n'était pas dans la tradition des Américains d'interdire, pour des raisons idéologiques, un type de recherche biomédicale porteur de tant de promesses pour comprendre et soigner des maladies", a encore noté le scientifique.

La fondation Christopher and Dana Reeve, créée par l'acteur paralysé dans une chute de cheval et décédé il y a 4 ans, s'est également réjouie du prochain décret: "en ôtant la politique de la science, le président Obama a libéré les chercheurs qui vont explorer ces remarquables cellules souches, apprendre d'elles et développer de possibles thérapies efficaces", a indiqué le président de la fondation Peter Wilderotter sur son site.

Dans les rangs des conservateurs religieux, l'initiative est qualifiée "de décret meurtrier". "Cette nouvelle (...) est une gifle à la figure des Américains qui croient à la dignité de la vie humaine", s'est indigné Tony Perkins, président de l'organisation conservatrice Family Research Council.

Le chef de la minorité républicaine à la Chambre des représentants, John Boehner, a déploré vendredi que "l'argent du contribuable (...) serve à détruire d'innocentes vies humaines".

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gTbZVkeWrp0knvCHFa-LJVhN7_CA

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LOULOU17

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #245 le: 07 mars 2009 à 14:42:52 »
super Arnaud bonne nouvelle merci

Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #244 le: 07 mars 2009 à 13:47:57 »

Obama va permettre le financement public des recherches sur les cellules-souches

Le président des Etats-unis, Barack Obama, reviendra, lundi 9 mars, sur les restrictions imposées par son prédécesseur George W. Bush au financement par l'Etat fédéral de la recherche sur les cellules-souches obtenues à partir de l'embryon humain, a assuré vendredi un responsable de son administration.

Les cellules-souches embryonnaires sont la source de tous les tissus et organes de l'organisme. Pour beaucoup, les cellules-souches obtenues à partir de l'embryon humain représentent le meilleur espoir de recréer artificiellement des organes ou tissus fonctionnels parfaitement compatibles avec les patients souffrant de pathologies comme le diabète, la maladie de Parkinson ou la paralysie due aux atteintes de la moelle épinière.

Mais M. Bush, allié aux groupes religieux et conservateurs américains pour lesquels la vie commence à la conception, avait interdit peu après son accession à la présidence en 2001 tout financement de l'Etat fédéral à la recherche sur les cellules-souches de l'embryon.

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2009/03/06/barack-obama-va-permettre-le-financement-public-des-recherches-sur-les-cellules-souches_1164771_3222.html

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Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #243 le: 03 mars 2009 à 14:37:55 »

Un autre article sur le sujet /

Une percée majeure dans la recherche sur les cellules souches

Canada - Le Dr Nagy de l’hôpital Mount Sinaï de Toronto a découvert une nouvelle façon de créer des cellules souches, accélérant ainsi cette technologie et ouvrant la route à de nouvelles approches pour la médecine régénérative.

Le Dr Nagy a trouvé un moyen de créer des cellules souches pluripotentes (c'est-à-dire capables de se développer en divers autres types de cellules), sans perturber les gènes sains. Sa méthode ne requiert pas de virus, utilisés par d'autres techniques pour transporter les gènes nécessaires afin de reprogrammer les cellules différenciées en cellules souches.

Cette méthode surmonte donc un obstacle majeur pour l’avenir de thérapies sûres et personnalisées à base de cellules souches, pour l'Homme. Le Dr Nagy se confie : "Nous espérons que ces cellules souches formeront la base de traitements contre de nombreuses maladies et pathologies considérées comme incurables. Cette nouvelle méthode ne requiert pas d’embryons comme point de départ et pourrait être utilisée pour créer des cellules à partir de nombreux tissus adultes comme la peau du patient."

Le Dr Nagy avait déjà créé, en 2005, la première lignée de cellules souches embryonnaires, à partir d’embryons que des couples, ayant suivi un traitement pour la fertilité, ne désiraient plus conserver. Sa découverte laisse espérer des traitements pour les blessures de la moelle épinière, la dégénération maculaire liée à l’âge (DMLA), les diabètes ou la maladie de Parkinson.

http://www.maxisciences.com/cellule-souche/une-percee-majeure-dans-la-recherche-sur-les-cellules-souches_art1057.html

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Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #242 le: 03 mars 2009 à 14:32:40 »

Cellules Souches : Importante percée canadienne

Des scientifiques torontois ont réussi à perfectionner une technique de transformation de cellules humaines en cellules souches. Cette percée rapproche le rêve d'une médecine régénérative de la réalité, estiment les chercheurs de l'hôpital du Mont Sinaï de Toronto.

L'étude, publiée dans le journal scientifique Nature dimanche dernier, décrit comment ils sont parvenus à reprogrammer des cellules adultes, issues par exemple d'un morceau de peau, en cellules souches. À l'image de celles issues d'embryons, ces cellules sont « pluripotentes », c'est-à-dire qu'elles peuvent se transformer en de nombreuses autres cellules du corps humain.


L'ADN d'un papillon plutôt qu'un virus

La capacité de transformer des cellules de peau en cellules souches n'est pas nouvelle, mais il fallait jusqu'à présent recourir à des virus pour y amener quatre gènes nécessaires à l'activation des cellules. Selon Andras Nagy, l'un des auteurs de l'étude, cette façon de faire pouvait endommager l'ADN de la cellule et entraîner ainsi des conséquences imprévues, telles que des cancers.

L'équipe du Dr. Nagy a contourné ce problème en utilisant un extrait d'ADN d'un papillon qui fournit les gènes nécessaires pour reprogrammer les cellules. Une fois la transformation enclenchée, cet extrait d'ADN peut être enlevé sans laisser de trace.

Cette avancée s'appuie sur les travaux du Dr Keisuke Kaji, de l'Université d'Édimbourg, dont les résultats sont aussi publiés dans la revue Nature.


Réparer des organes

« Le véritable espoir est que ces cellules puissent être utilisées pour réparer des tissus endommagés ou régénérer des zones endommagées par une maladie », ajoute le chercheur. Des cellules productrices d'insuline pourraient être implantées chez une personne diabétique, par exemple. Idem pour des cellules productrices de dopamine dans le cerveau, afin d'éviter la maladie de Parkinson.

À terme, les scientifiques espèrent utiliser les cellules souches pour réparer la moelle épinière ou des organes comme le coeur, le foie et les reins. Étant donné que les cellules souches proviendraient du patient, celui-ci n'aurait pas besoin de prendre des médicaments antirejet tout au long de sa vie.

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2009/03/02/001-cellules-souches-toronto.shtml

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Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #241 le: 16 février 2009 à 15:08:43 »

Barack Obama va débloquer la recherche sur les cellules-souches

Le président américain Barack Obama prendra sous peu un décret levant l'interdiction des recherches sur les cellules-souches décidée par son prédécesseur George W. Bush, a déclaré dimanche l'un de ses principaux conseillers.

"Je pense que nous agirons bientôt sur cette question. Le président étudie cela en ce moment même", a déclaré David Axelrod sur Fox News.

En 2001, Bush avait limité le financement fédéral de la recherche sur les cellules-souches aux lignées de cellules souches d'embryons humains qui existaient déjà.

Il s'agissait là d'un geste envers ses partisans des milieux conservateurs chrétiens, pour qui la recherche sur les cellules souches embryonnaires est de nature à détruire la vie potentielle parce qu'il faut extraire les cellules d'embryons humains.

Les scientifiques font valoir que cette recherche peut produire à terme des moyens curatifs pour des affections aussi différentes que la maladie de Parkinson, le diabète, les maladies cardiaques ou les lésions de la moelle épinière.

Obama s'était engagé à lever le veto de Bush au cours de sa campagne présidentielle. Dans son discours d'investiture du 20 janvier, il avait exprimé l'intention de redonner à la science la place qui lui correspond dans la société américaine.

La Food and Drug Administration (FDA) a ouvert la voie le mois dernier à un premier essai clinique visant à déterminer si des cellules souches embryonnaires humaines permettent de régénérer en toute sécurité le tissu nerveux de malades victimes de lésions de la moelle épinière.

http://www.lexpress.fr/actualites/2/barack-obama-va-debloquer-la-recherche-sur-les-cellules-souches_741109.html

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Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #240 le: 20 janvier 2009 à 13:54:25 »

Cécité et accident cérébral, des chercheurs vont tester des cellules souches

LONDRES (AFP) — Des scientifiques britanniques comptent lancer dans les prochains mois deux expérimentations distinctes sur l'utilisation de cellules souches, l'une pour soigner une forme de cécité et l'autre pour traiter les victimes d'accident vasculaire cérébral (AVC).

Le professeur Bal Dhillon de la clinique Princesse Alexandra d'Edimbourg, en collaboration avec l'hôpital général Gartnavel de Glasgow, doit débuter d'ici un mois des tests sur un traitement de la cécité cornéenne à partir de cellules souches prélevées sur des donneurs adultes décédés.

Une vingtaine de patients souffrant de cette forme de cécité, affection qui touche plusieurs millions de personnes dans le monde --à 80% des personnes âgées--, vont prendre part à cette expérimentation de deux ans.

"Je constate probablement deux à trois nouveaux cas de cécité cornéenne chaque mois. Sur une grande échelle, c'est un problème très important", a indiqué le professeur Dhillon, précisant que cette recherche "révolutionnaire" était une première mondiale.

Une fois prélevées, les cellules souches sont cultivées avant d'être greffées à la surface de la cornée malade.

Le prélèvement sur des adultes a évité à cette équipe de se heurter aux opposants de l'utilisation de cellules souches de foetus issus d'avortement, écueil que doivent encore surmonter des chercheurs écossais travaillant sur le traitement des personnes ayant été victimes d'AVC.

La société britannique ReNeuron, qui travaille avec le docteur Keith Muir de l'hôpital Southern general de Glasgow, espère lancer en juin son expérimentation mais doit encore obtenir le feu vert d'un comité d'éthique.

"La cellule unique a été multipliée de manière artificielle donc nous pouvons traiter plusieurs milliers de patients", a expliqué le docteur John Sinden, fondateur de la société. "On peut arguer que sinon (la cellule souche) aurait été perdue", a-t-il relevé.

Les tests vont consister à injecter dans le cerveau d'un patient les cellules souches démultipliées en laboratoire, afin de voir si les zones cérébrales endommagées se régénèrent.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gg72Sw1Su15CvAJazKI_XyiQ3sHA

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Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #239 le: 14 janvier 2009 à 13:26:55 »

Cellules souches embryonnaires : le Pr Peschanski pour changer la loi

PARIS - Marc Peschanski, fondateur et directeur scientifique de l'Institut des cellules souches pour le traitement et l'étude des maladies monogéniques (I-Stem), s'est fait l'avocat mercredi d'une évolution de la loi sur la recherche sur les cellules souches embryonnaires.

La recherche sur l'embryon et les cellules souches embryonnaires humaines est, par principe, interdite en France. La loi de bioéthique de 2004 permet seulement, à titre dérogatoire et pour cinq ans, la réalisation de recherches après autorisation de l'Agence de la biomédecine, dans des conditions très contrôlées.

La question de la levée du moratoire est un des thèmes en débat dans le cadre de la révision des lois de bioéthique.

Le Pr Peschanski avait été le premier à être autorisé, en 2005, à importer et utiliser des cellules souches embryonnaires humaines à des fins de recherche.

Devant la mission d'information sur la révision des lois bioéthiques, à l'Assemblée nationale, il a expliqué ne pas avoir été gêné par le moratoire. "Nous avons pu travailler dans le cadre de la loi telle qu'elle était, parce que cette loi a géré une période qui était pour nous une période d'entrée en matière", a-t-il indiqué.

"Nous sentons aujourd'hui le début de la gêne", a-t-il cependant poursuivi, évoquant "les difficultés qui se présentent" au niveau des "applications cliniques de thérapie cellulaire et les applications industrielles".

Pour le Pr Peschanski, un "blocage précis" se voit dans le domaine des applications industrielles, "qui a explosé ces deux dernières années". Il s'agit, a-t-il expliqué, de mettre à disposition des industriels de la pharmacie des cellules pour tester de nouveaux médicaments.

En ce qui concerne la thérapie cellulaire, "nous avons des perspectives à trois ou quatre ans, donc des perspectives pour demain, après-demain", a-t-il souligné.

En juillet 2008, l'Agence de la biomédecine avait délivré 106 autorisations concernant la recherche sur l'embryon, 8 demandes ayant fait l'objet d'un refus.

http://www.romandie.com/ats/news/090114114914.ht6qd8sx.asp

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #238 le: 09 janvier 2009 à 14:45:20 »
est ce que quelqu un pourrait dire une DATE pour savoir quand une therapie sera prette a nous faire remarcher un jour????? MERCI!!! dans combien de temp a peut pré ???? on en est ou ???

Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #237 le: 05 janvier 2009 à 13:46:36 »

Des chercheurs parviennent à distinguer bonnes et mauvaises cellules souches

TORONTO — L'un des principaux problèmes dans l'utilisation de cellules souches, qui doivent permettre, un jour, de faire croître de nouveaux organes et tissus humains dans le but de guérir des maladies, est le risque qu'elles donnent naissance à des tumeurs qui feraient plus de tort que de bien.

Or des chercheurs canadiens viennent de découvrir une façon de distinguer les bonnes cellules souches des mauvaises, soit une série de tests.

Connues comme les cellules maîtresses du corps, les cellules souches ont la capacité d'engendrer ou de se développer en n'importe quel tissu humain, qu'il s'agisse du coeur, du poumon, du foie ou du cerveau, des os ou de la peau.

A la différence des cellules matures, qui demeurent les mêmes tout au long de leur vie, les cellules souches peuvent à la fois se renouveler ou créer de nouvelles cellules du type de tissu auquel elles appartiennent.

Mick Bhatia, de l'institut de recherche sur les cellules souches et le cancer de l'université McMaster, en Ontario, a expliqué que les chercheurs de différents pays, qui tentent d'utiliser des cellules souches pour leurs expériences en laboratoire, constatent souvent que ces cellules ne se comportent pas comme ils l'espéraient. En fait, au lieu de cellules normales, saines, ils obtiennent plutôt une tumeur.

Or il est difficile de distinguer cellules souches normales et cellules souches cancéreuses. La série de tests que son laboratoire a élaborés permettra dorénavant aux scientifiques de faire la différence.

Cela pourrait faciliter le développement de médicaments capables de cibler uniquement les cellules souches cancéreuses, sans toucher aux cellules souches normales.

Les résultats de ces travaux ont été publiés dimanche dans la revue Nature Biotechnology.

http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5hvtVa29RjrPwm6RD9lCRAxOq6GKg

 :smiley:

LOULOU17

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #236 le: 24 décembre 2008 à 15:59:03 »
BONJOUR à vous tous , je vous souhaite un joyeux noel a tous et rester sage avec la bouteil  :lol: aller ciao bonne fête  :wink:

Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #235 le: 24 décembre 2008 à 14:32:02 »

Une nouvelle source de cellules souches

Une équipe française a réussi à obtenir, chez la souris, des cellules germinales, assurant la formation des gamètes, à partir de cellules déjà spécialisées appelées progéniteurs.


Chez l’adulte les cellules germinales fabriquent les spermatozoïdes et les ovocytes qui assureront la reproduction sexuée. Présentes en très petit nombre dans les testicules des mâles, elles se situent dans un microenvironnement particulier, appelé « niche », qui régule en partie leur destinée.

Ainsi, elles se multiplient soit pour s'autorenouveler, soit pour donner naissance à des cellules plus spécialisées, les progéniteurs, qui sont à l'origine de la production des spermatozoïdes.

Ces progéniteurs, pensaient les scientifiques, sont des cellules ayant perdu la capacité de s'autorenouveler et de régénérer le tissu à long terme. Des chercheurs de l'Inserm et du CEA, en collaboration avec des chercheurs du CNRS viennent de démontrer le contraire.

Dans leurs expériences, ils ont transplanté des progéniteurs exprimant une protéine fluorescente dans des testicules de souris mâles stériles et ont observé une régénération de la spermatogenèse. Ils ont également remarqué que ces progéniteurs sont capables de se reprogrammer en cellules souches.

Ces résultats suggèrent que les progéniteurs, présents en plus grand nombre que les cellules souches dans le tissu, pourraient constituer une réserve de « cellules souches potentielles ».

Du traitement du diabète à la restauration de la moelle épinière chez les accidentés, la médecine attend beaucoup de la thérapie cellulaire. La découverte d’une technique de fabrication de cellules souches est donc primordiale.

Outre l’embryon humain, dont l’exploitation pose de nombreux problèmes éthiques, les chercheurs travaillent sur d’autres pistes comme les cellules germinales.

Au début de l’été deux équipes, une japonaise et une américaine, ont également obtenu des cellules pluripotentes à partir de tissus cutanés. D’autres chercheurs explorent aussi la piste du sang de cordon ombilical.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/20081224.OBS7078/une_nouvelle_source_de_cellules_souches.html

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Attention !!
« Réponse #234 le: 06 décembre 2008 à 00:59:17 »
Les traitements aux cellules souches offerts en ligne sont sujets à caution


TORONTO — Les consommateurs devraient se méfier des cliniques étrangères offrant sur Internet des thérapies à base de cellules souches qui prétendent pouvoir guérir de nombreuses maladies, selon une nouvelle étude canadienne.

Réalisée par l'Université de l'Alberta, l'étude démontre que ces cliniques offrent des traitements soi-disant sécuritaires et efficaces, sans présenter de preuve médicale pour étayer ces allégations.

Les chercheurs ont étudié 19 cliniques dans plusieurs pays comme la Chine, la Russie et le Mexique, dont les sites Internet offrent directement aux consommateurs des traitements coûteux à base de cellules souches. Les cliniques prétendent traiter divers problèmes, de la sclérose en plaques à la maladie d'Alzheimer en passant par les lésions à la moelle épinière et les maladies du coeur.

"Si ça paraît trop beau pour être vrai, c'est probablement le cas", affirme un des auteurs de l'étude, le professeur Timothy Caulfield, de l'Université d'Edmonton. Selon lui, les recherches sur les cellules souches sont prometteuses mais plusieurs thérapies offertes par ces cliniques en ligne ne sont pas encore au point et ne devraient pas être offertes à des patients. Il estime que les Canadiens devraient se méfier des services de ces cliniques et parler à leur médecin avant d'entreprendre un tel traitement.

L'universitaire a souligné que le Canada s'est doté d'une réglementation précise concernant le recours aux cellules souches dans le traitement des patients. Seules quelques thérapies se sont avérées sûres et efficaces et ont été approuvées - par exemple, les cellules souches provenant de la moelle osseuse dans le traitement de la leucémie.

Le docteur George Daley, ancien président d'une société internationale de recherche sur les cellules souches, a déclaré que des patients lui ayant parlé de la possibilité de se faire soigner dans des cliniques étrangères ont évoqué des frais de "dizaines de milliers de dollars". Le Dr Dailey a tenu à dire que les patients qui choisiraient de se prévaloir des services de cliniques étrangères pourraient compromettre leur santé.

L'étude est parue dans le numéro de décembre de "Cell Stem Cell".


http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5hLb4PozI-Dw2Be3PviSoGiuN-wRg

Arnaud

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Re : Cellules souches et R&D
« Réponse #233 le: 24 octobre 2008 à 13:23:08 »

Grande - Bretagne : Vers un élargissement des recherches sur les cellules souches

LONDRES — Les parlementaires britanniques ont approuvé mercredi un projet visant à autoriser les scientifiques à utiliser des embryons hybrides humain-animal dans le cadre de leurs recherches sur les cellules souches.

Les membres de la Chambre des communes se sont prononcés par 355 contre 129 en faveur de ce projet.

Ce vote fait suite à plusieurs mois de débats qui ont opposé le gouvernement de Gordon Brown et les scientifiques à des dirigeants religieux, des opposants à l'avortement et d'autres personnalités s'inquiétant des avancées médicales.

Le Premier ministre Gordon Brown a estimé que les scientifiques désireux d'utiliser des embryons hybrides humain-animal dans le cadre de leurs recherches sur les cellules souches à propos du traitement de maladies telles que la maladie de Parkinson allaient contribuer à sauver des millions de vies.

http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5izu_bPT_4pfy6wriZCNMHGhfdUxg

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Nouvelle technique pour les cellules iPS.
« Réponse #232 le: 21 octobre 2008 à 18:03:51 »


Une équipe de chercheurs a réussi à augmenter de l'efficacité de la reprogrammation de cellules tissulaires adultes premières à un état de pluripotent par plus qu'un hundredfol, en réduisant le temps qu'il prend dans la moitié.
             En fait, ils ont produit à plusieurs reprises des cellules souches pluripotentes induite (iPS) des cellules qui proviennent d'un nombre minuscule de kératinocytes (des cellules de peau) attaché aux cheveux seuls pincés au cuir chevelu humain.              La nouvelle méthode, développée par Juan Carlos Izpis Belmonte à l'Institut de Salk pour des Études Biologiques (La Jolla, Californie), fournit une alternative pratique et simple pour une génération de patient - et des maladies spécifiques guéris par des cellules souches.
             La génération des cellules avait été gênée par l'efficacité basse du processus de reprogrammation : seulement une sur 10,000 cellules pourrait revenir à l'état premier.
             Le nouveau processus épargne aussi des patients des procédures envahissantes pour le patient afin de rassembler le matériel approprié de départ, parce qu'il exige seulement des cheveux humains seuls.
             "Ayant d'une façon très efficace et pratique de produire des cellules souches spécifiques pour des patients, et à la différence des cellules souches embryonnaires humaines,qui ne serait pas rejeté par le système immunitaire du patient après que la transplantation, nous apporte une étape tout près de l'application clinique pour des thérapies de cellules souches," a dit Belmonte, le professeur dans le Laboratoire d'Expression de Gène et le directeur du Centre de Médecine Régénératrice à Barcelone en Espagne.
             Les kératinocytes forment la couche supérieure de la peau et produisent la kératine, une protéine dure qui est le constituant primaire des cheveux, des ongles et de la peau.
            Ils sont originaires dans la couche basale de l'épiderme, d'où ils progressent à travers les couches différentes de l'épiderme et sont finalement à l'abri.
             Tandis que les scientifiques ont avec succès reprogrammé les différents types de cellules de souris (des fibroblastes, du foie et des cellules intestinales), les fibroblastes de peau étaient le seul type cellulaire humain qu'ils n'avaient jamais essayé leurs propres mains.
L'aide de fibroblastes aide à faire les tissus connectifs dans l'organisme et elle est la cellule type primaire dans les couches plus profondes de la peau, où ils sont responsables de la cicatrisation et la sécrétion de protéines qui forme le collagène.
             Pour le premier jeu d'expériences, le premier auteur Trond Aasen, le Ph. D, un chercheur post-doctoral au centre de la Médecine Régénératrice à Barcelone, a utilisé des vecteurs viraux pour glisser les gènes pour les régulateurs maître Oct4, Sox2, aussi bien que Klf4 et c-Myc dans des kératinocytes cultivés de peaux humaines explantes (hors de son milieu).
             Après que seulement 10 jours, au lieu des trois à quatre semaines plus couramment, une de 10 000 cellules se sont développés en colonie minuscule avec toute la signalisation d'une colonie de cellule souche embryonnaire humaine typique.
             Les chercheurs ont alors fabriqué ce qu'ils appellent des cellule iPS tiré des kératinocytes ou les cellules de Kips pour les distinguer des cellules iPS tiré de fibroblaste iPS s pour devenir toute les types cellules le corps humain, y compris des cellules de muscle du coeur et des neurones produisant la dopamine, qui sont affectés par la Maladie de Parkinson.
            En profitant de la haute efficacité du processus de reprogrammation des kératinocytes, Aasen a décidé d'évaluer s'il pourrait établir des cellules de Kips en quantités infimes d'échantillons biologiques.
"Nous avons pincé des cheveux seuls du cuir chevelu d'un collaborateur et cultivé les kératinocytes, qui sont trouvés dans le secteur de feuille de racine extérieur," a dit Aasen. Il a alors reprogrammé ces cellules dans des cellules de Kips authentiques.
             Pourquoi les kératinocytes semblent être beaucoup plus malléables que d'autres types de cellules sont est toujours inconnus.
"Nous avons vérifié un panel entier de cellules et avons constaté que des kératinocytes ont été les plus faciles pour être reprogrammé," a dit Belmonte. "Ce n'est toujours pas clair pourquoi c'est exactement ainsi mais ce savoir sera très important pour la technologie et pour qu'elle se développe entièrement."
             Quand ils ont comparé les profils d'expression des gènes liés à l'identité des cellules souches, à la croissance ou la différenciation entre des kératinocytes, à des fibroblastes, à des cellules souches embryonnaires humaines (hESC) et des cellules de Kips, les kératinocytes ont eu plus de commun avec hESCs et des cellules de Kips qu'avec des fibroblastes.
            L'étude a été publiée en tête des caractères du le 17 octobre 2008, l'édition en ligne de Biotechnologie de Nature.


 

New Technology Boosts Production Of iPS Cells From Skin Cells
Saturday, October 18, 2008 -

 

A team of researchers has succeeded in boosting the efficiency of reprogramming of adult tissue cells back to a pluripotent state by more than a hundredfol, while cutting the time it takes in half.
            In fact, they repeatedly generated induced pluripotent stem (iPS) cells from the tiny number of keratinocytes (skin cells) attached to a single hair plucked from a human scalp.
            The new method, developed by Juan Carlos Izpisъa Belmonte at the Salk Institute for Biological Studies (La Jolla, Calif.), provides a practical and simple alternative for the generation of patient- and disease-specific stem cells.
            Generation of the cells had been hampered by the low efficiency of the reprogramming process:  only one out of 10,000 cells could be persuaded to turn back the clock.
            The new process also spares patients invasive procedures to collect suitable starting material, because it only requires a single human hair.
            “Having a very efficient and practical way of generating patient-specific stem cells, which unlike human embryonic stem cells, wouldn’t be rejected by the patient’s immune system after transplantation brings us a step closer to the clinical application of stem cell therapy,” said Belmonte, professor in the Gene Expression Laboratory and director of the Center of Regenerative Medicine in Barcelona, Spain.
            Keratinocytes form the uppermost layer of skin and produce keratin, a tough protein that is the primary constituent of hair, nails and skin.
            They originate in the basal layer of the epidermis, from where they move up through the different layers of the epidermis and are eventually shed.
            While scientists have successfully reprogrammed different types of mouse cells (fibroblasts, liver and intestinal cells), skin fibroblasts were the only human cell type they had ever tried their hands on.
            Fibroblasts help make the connective tissue in the body and are the primary cell type in the deeper layers of the skin, where they are responsible for wound healing and the secretion of proteins that form collagen.
            For the first set of experiments, first author Trond Aasen, Ph.D., a postdoctoral researcher at the Center of Regenerative Medicine in Barcelona, used viral vectors to slip the genes for the master regulators Oct4, Sox2, as well as Klf4 and c-Myc into keratinocytes cultured from human skin explants.
            After only 10 days, instead of the more typical three to four weeks, one out of 100 hundred cells grew into a tiny colony with all the markings of a typical human embryonic stem cell colony.
            The researchers then prodded what they call keratinocyte-derived iPS cells or KiPS cells to distinguish them from fibroblast-derived iPS cells into becoming all the cell types in the human body, including heart muscle cells and dopamine-producing neurons, which are affected by Parkinson’s disease.
            Taking advantage of the high efficiency of the keratinocyte reprogramming process, Aasen decided to test whether he could establish KiPS cells from minute amounts of biological samples.
            “We plucked a single hair from a co-worker’s scalp and cultured the keratinocytes, which are found in the outer root sheet area,” Aasen said.
            He then reprogrammed these cells into bona fide KiPS cells.
            Why keratinocytes appear to be much more malleable than other cell types is still unknown.
            “We checked a whole rainbow of cells and found keratinocytes to be the easiest to be reprogrammed,” Belmonte said. “It is still not clear exactly why that is and knowing it will be very important for the technology to develop fully.”
            When they compared the expression profiles of genes related to stem cell identity, growth or differentiation between keratinocytes, fibroblasts, human embryonic stem cells (hESC) and KiPS cells, keratinocytes had more in common with hESCs and KiPS cells than with fibroblasts.
            The study was published ahead of print in the October 17, 2008, online edition of Nature Biotechnology.
            Contact: Juan Carlos Izpisъa Belmonte, belmonte@salk.edu



Hors ligne Renaud

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Culture tridimentionelle des Cellules souches.
« Réponse #231 le: 18 octobre 2008 à 16:43:40 »
J’ai trouvé un nouvel article sur les avancées scientifiques à Singapour et les moyens d’améliorer la culture et la survie des cellules souches.


Article :

    L'institut de Singapour de Bio ingénierie et la Nanotechnologie (IBN) a inventé un gel accueillant qui peut liquéfier sur demande, avec le potentiel pour révolutionner la culture cellulaire (3D) tridimensionnelle pour la recherche médicale.
Comme annoncé dans Nanotechnologie de Nature (Y.S. Pek, A. C. A. Blême, A. Shekaran, L. Zhuo et J. Y. Ying, "un gel Nano composite pour la Culture Cellulaire Tridimensionnelle"), le nouveau gel de diffusion de l'IBN'S a la capacité de se liquéfier quand il est soumis à une force modérée et se resolidifie dans un gel en une minute lors la suppression de la force. On connaît ce phénomène de retour entre un gel et un état liquide comme la thixotropie.
Le gel de thixotropie de l'IBN'S est synthétisé d'un nano composite de silice et le glycol de polyéthylène sous la température ambiante, sans conditions de stockage spéciales. Cette nouvelle matière facilite la culture sûre et commode de cellules en 3D puisque les cellules peuvent être ajoutées à la matrice en gel sans aucun processus chimique.
Selon le Directeur de l'IBN JACKIE Y. Ying, le Ph. D, "la culture Cellulaire est conventionnellement exécutée sur une surface plate comme des diapositives de verre. C'est un processus essentiel dans la recherche biologique et médicale et elle est largement utilisé pour traiter des cellules, des synthétises biologiques et développer des traitements pour une grande variété de maladies.
"La culture cellulaire dans une matrice 3D imiterait mieux les conditions réelles dans l'organisme en comparaison de la culture cellulaire 2D conventionnelle sur des surfaces plates. La culture cellulaire 3D promet aussi le développement de meilleurs essais cellulaires pour la sélection de médicament," a ajouté docteur Ying.
Une autre caractéristique clef du gel d'IBN'S est la facilité avec lequel les chercheurs peuvent transférer les cellules cultivées de la matrice par pipette et la quantité exigée du gel liquéfié.
À la différence de la culture cellulaire conventionnelle, la trypsine n'est pas exigé pour détacher les cellules cultivées des couvertures solides. Comme le trypsine est une enzyme que l'on connaît pour endommager des cellules, particulièrement dans des cultures de cellule souche, la qualité et la viabilité à long terme des cellules cultivées et utilisées par le gel de thixotropie de l'IBN'S 'améliorerait considérablement sans l'exposition à cette enzyme.
Les chercheurs sont aussi capables de contrôler la rigidité du gel, facilitant ainsi la différenciation de cellules souches dans des types cellulaires spécifiques.
"Les façons de contrôler la différenciation de cellule souche sont importantes comme les cellules souches peuvent être différenciées dans des types cellulaires divers.
Notre gel peut fournir une nouvelle méthode pour étudier la de différenciation des cellules souches, aussi bien que de nouveaux moyens efficaces de présenter des signaux biologiques aux cellules pour examiner leur effet dans des cultures 3D, "a dit Shona Pek, IBN Fait des recherches sur l'Officier.


Reversible 3-D Cell Culture Gel Invented
Date Posted: Tuesday, September 30, 2008

Singapore's Institute of Bioengineering and Nanotechnology (IBN) has invented a user-friendly gel that can liquefy on demand, with the potential to revolutionize three-dimensional (3D) cell culture for medical research.
As reported in Nature Nanotechnology (Y.S. Pek, A. C. A. Wan, A. Shekaran, L. Zhuo and J. Y. Ying, "A Thixotropic Nanocomposite Gel for Three-Dimensional Cell Culture"), IBN's novel gel media has the ability to liquefy when it is subjected to a moderate shear force and resolidifies into a gel within one minute upon removal of the force. This phenomenon of reverting between a gel and a liquid state is known as thixotropy.
IBN's thixotropic gel is synthesized from a nanocomposite of silica and polyethylene glycol (PEG) under room temperature, without special storage conditions. This novel material facilitates the safe and convenient culture of cells in 3D since cells can be added to the gel matrix without any chemical processes.
According to IBN Executive Director Jackie Y. Ying, Ph.D., "Cell culture is conventionally performed on a flat surface such as glass slides. It is an essential process in biological and medical research, and is widely used to process cells, synthesize biologics and develop treatments for a large variety of diseases.
"Cell culture within a 3D matrix would better mimic the actual conditions in the body as compared to the conventional 2D cell culture on flat surfaces. 3D cell culture also promises the development of better cell assays for drug screening," Dr. Ying added.
Another key feature of IBN's gel is the ease with which researchers can transfer the cultured cells from the matrix by pipetting the required amount from the liquefied gel.
Unlike conventional cell culture, trypsin is not required to detach the cultured cells from the solid media. As trypsin is an enzyme that is known to damage cells, especially in stem cell cultures, the long-term quality and viability of cells cultured using IBN's thixotropic gel would improve substantially without the exposure to this enzyme.
Researchers are also able to control the gel's stiffness, thus facilitating the differentiation of stem cells into specific cell types.
"Ways to control stem cell differentiation are important as stem cells can be differentiated into various cell types. Our gel can provide a novel method of studying stem cell differentiation, as well as an effective new means of introducing biological signals to cells to investigate their effect in 3D cultures," said Shona Pek, IBN Research Officer.


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L'ADN ET Cellules souches
« Réponse #230 le: 15 octobre 2008 à 22:44:26 »

Un nouvel article sur les cellules souches et le rôle de l’ADN :


   Les chercheurs de la Floride ont découvert que quand des cellules souches embryonnaires se transforment en des types cellulaires différents, il y a des changements correspondants spectaculaires à l'ordre dans lequel l'ADN est reproduit et réorganisé.
            L'étude révolutionnaire, menée par un biologiste moléculaire à l'Université d'État de Floride (le Tallahassee), remplit un vide de connaissance essentiel pour des biologistes en cellule souche, leur permettant de mieux comprendre le processus énormément complexe par lequel l'ADN est réorganisé pendant la différenciation : quand des cellules souches embryonnaires, l’énorme capacité leurs cellulaires, perdent leur l'attitude multipotente pour devenir les maîtres de fonctions spécialisées. 
            En conséquence, les scientifiques en sont maintenant à une étape significative tout près du but central de la thérapie de cellule souche, qui doit avec succès convertir la cellule adulte à  l'état semblable de l'embryon pour qu'il puisse être utilisé pour régénérer ou remplacer les tissus endommagés. 
            De telles thérapies offrent l'espoir de traitements ou des remèdes pour le cancer, la Maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, des blessures de moelle épinière et d'autres désordres dévastateurs. 
            En utilisant la souris et des cellules souches embryonnaires humaines, les chercheurs d'FSU ont employé des techniques d'image avancées et une technologie du génome dernier cri pour identifier, avec une résolution sans précédent tout le long des bouts de chromosomes, en quels ordres sont reproduits d'abord et qui puis plus tard dans le processus de différenciation.
            "En analysant comment les travaux de reproduction s’effectuent pendant la différenciation des cellules souches embryonnaires nous donnent une poignée de molécules sur comment les informations sont organisée dans les types différents de cellules et le fonctionnement caractéristiques de chaque type de cellules," ont dit David M. Gilbert, l'enquêteur principal de l'étude. "Cette poignée de molécules nous aideront à changer complètement le processus pour réaliser les types différents de cellules pour l'utilisation dans des thérapies pour des maladies." 
           Les résultats de l'étude d' FSU, qui inclut les contributions de chercheurs de trois autres institutions, est décrit dans journal publié le 7 octobre dans l'édition de Biologie PLOS, un journal qui passe en revue et présente la recherche des sciences biologiques qui ont des significations exceptionnelles. 
            Le journal actuel ("la Réorganisation Globale des Domaines de Reproduction Pendant la Différenciation de Cellules souches Embryonnaires") est concentré seulement sur des résultats observés dans des cellules souches embryonnaires de souris.
            Les données sur les cellules humaines seront détaillées dans un rapport futur. 
            "Nous savons que toutes les informations ('ADN) exigé pour prendre l'identité de n'importe quel type de tissus sont présentes dans chaque cellule, parce que nous savons déjà, bien que  très inefficacement, créer des animaux entiers du tissu adulte à la multiplication," a dit Gilbert. "Nous pouvons aussi faire une sorte de cellules souches embryonnaires artificielles, appelées a incité des cellules souches pluripotent, de beaucoup de types de cellules adultes, mais il y a deux d'obstacles majeur.
D'abord, les méthodes actuellement utilisées comptent sur l'insertion rétroviral artificielle de gènes dans les cellules des patients et ces gènes sont capables de se transformer en tumeurs. Deuxièmement, cette méthode est très inefficace aussi parce que seulement une dans 1,000 cellules dans lesquelles les gènes sont insérés deviennent pluripotent. Nous devons apprendre comment les cellules perdent leur pluri potentialité  en premier lieu donc nous avons fait un meilleur travail pour changer complètement le processus sans risques aux patients.
             "Le défi est que ces cellules adultes sont fortement spécialisées et cela pour la durée de leur histoire familiale sur beaucoup de générations ils ont pris des décisions pour être certain des types cellulaires plutôt que d'autres."Le défi est que ces cellules adultes sont fortement spécialisées et pour la durée de leur histoire familiale sur beaucoup de générations ils ont pris des décisions pour être certain des types cellulaires plutôt que d'autres. Les règles qui déterminent comment l'ADN conditionne des cellules est compliqué et ont été difficiles pour des scientifiques à déchiffrer.
"Mais, Gilbert a noté, le moment où la cellule" montre que ses propriétés "sont pendant la reproduction d'ADN.
             "Pendant ce processus, qui était le centre de notre recherche au FSU, ce n'est pas juste l'ADN qui est reproduit," a-t-il dit. "Tout l'organisation doit être reproduit aussi dans chaque cycle de division cellulaire." Des cellules souches embryonnaires ont beaucoup plus, "de domaines"  d'organisation petits que des cellules différenciées et c'est pendant la différenciation qu'ils consolident des informations.
             "En fait, ' la consolidation du domaine ' est ce que nous appelons le nouveau concept que nous avons découvert," a-t-il dit.
Gilbert a assimilé le concept de la consolidation du domaine au collège du non déclaré ou du "non différencié", étudiant consolidant alors ses ressources en littérature en cours devenant un major de sa spécialisation.
             "D'un étudiant avec des livres sur tous les sujets sur toutes ses étagères à livres vient un étudiant qui a placé tous ses textes majeurs se rapportant sur l'étagère au niveau de l'oeil et puis s'est déplacé l’éloignement, en  se distrayant des potentiels textes en bas peu accessible ou aux planches supérieures," a-t-il dit.


 
 
 David Gilbert
 




Florida researchers have discovered that as embryonic stem cells turn into different cell types, there are dramatic corresponding changes to the order in which DNA is replicated and reorganized.
            The groundbreaking study, led by a molecular biologist at Florida State University (Tallahassee), bridges a critical knowledge gap for stem cell biologists, enabling them to better understand the enormously complex process by which DNA is repackaged during differentiation: when embryonic stem cells, jacks of all cellular trades, lose their anything-goes attitude and become masters of specialized functions.
            As a result, scientists now are one significant step closer to the central goal of stem cell therapy, which is to successfully convert adult tissue back to an embryo-like state so that it can be used to regenerate or replace damaged tissue.
            Such therapies hold out hope of treatments or cures for cancer, Parkinson’s disease, multiple sclerosis, spinal cord injuries and a host of other devastating disorders.
            Using mouse and human embryonic stem cells, FSU researchers employed advanced imaging techniques and state-of-the-art genomics technology to demonstrate, with unprecedented resolution along long stretches of chromosomes, which sequences are replicated first, and which occur later in the process of differentiation.
            “Understanding how replication works during embryonic stem cell differentiation gives us a molecular handle on how information is packaged in different types of cells in manners characteristic to each cell type,” said David M. Gilbert, the study’s principal investigator. “That handle will help us reverse the process in order to engineer different types of cells for use in disease therapies.”
            Results from the FSU study, which includes contributions from researchers at three other institutions, are described in a paper published in the October 7 edition of PLoS Biology, a peer-reviewed journal that showcases biological science research of exceptional significance.
            The current paper (“Global Reorganization of Replication Domains During Embryonic Stem Cell Differentiation”) is focused solely on results observed in the mouse embryonic stems cells.
            Data on the human cells will be detailed in a future report.
            “We know that all the information (DNA) required to take on the identity of any tissue type is present in every cell, because we already can, albeit very inefficiently, create whole animals from adult tissue through cloning,” Gilbert said. “We also can make a kind of artificial embryonic stem cells, called induced pluripotent stem cells, out of many adult cell types, but there are two major hurdles remaining. First, the methods currently used rely on the unnatural retroviral insertion of genes into patients’ cells, and these genes are capable of forming tumors. Second, this method is very inefficient as well because only one in 1,000 cells into which the genes are inserted becomes pluripotent. We must learn how cells lose pluripotency in the first place so we can do a better job of reversing the process without risks to patients.
            “The challenge is, adult cells are highly specialized and over the course of their family history over many generations they’ve made decisions to be certain cell types rather than others. In doing so, they have tucked away the information they no longer need on how to become other cell types. Hence, all cells contain the same genetic information in their DNA, but during differentiation they package it with proteins into ‘chromatin’ in characteristic ways that define each cell type. The rules that determine how cells package DNA are complicated and have been difficult for scientists to decipher.”
            But, Gilbert noted, one time that the cell “shows its cards” is during DNA replication.
            “During this process, which was the focus of our FSU research, it’s not just the DNA that replicates,” he said. “All the packaging must be replicated as well in each cell division cycle.”
            Embryonic stem cells have many more, smaller “domains” of organization than differentiated cells, and it is during differentiation that they consolidate information.
            “In fact, ‘domain consolidation’ is what we call the novel concept we discovered,” he said.
            Gilbert likened the concept of domain consolidation to the undeclared or “undifferentiated” college student who then consolidates her literature resources during the course of declaring a major and specialization.
            “From a student with books on all subjects on all of her bookshelves comes a student who has placed all texts pertaining to her major on the eye-level shelf and moved the distantly-related, potentially distracting texts to the hard-to-reach bottom or top shelves,” he said.
            “Now, our challenge as scientists,” said Gilbert, “is to build on what we’ve learned about domain consolidation so that we can efficiently and safely create patient-specific induced pluripotent stem cells or even coax the body’s cells to change their specialization in response to medications.”
         



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Les cellules souches iPS.
« Réponse #229 le: 14 octobre 2008 à 13:57:21 »
Nouvel article sur les cellules Ips.

Article :

Le chercheur en cellule souche  le japonais Shinya Yamanaka, M.D., le PH. D, a franchis une autre étape dans l'amélioration des possibilités pour l'application pratique des cellules souches pluripotentes induite (iPS) à technologie cellulaire.
            Précédemment, le docteur Yamanaka d'Université de Kyoto et l'Institut de Gladstone des Maladies Cardiovasculaires (GICD) a montré que des cellules adultes pouvaient être reprogrammées pour devenir la cellule souche embryonnaire avec  l'utilisation semblable à la cellule oncogène cancérigène comme un des quatre gènes exigés pour reprogrammer les cellules et un virus pour transférer les gènes dans les cellules. L'année dernière, Yamanaka et d'autres laboratoires a montré que l'oncogène, c-Myc, n'est pas nécessaire. 
                      Cependant l'utilisation des virus qui s'intègrent dans le génome interdit l'utilisation de cellules iPS pour la médecine régénératrice pour des soucis de sécurité : son intégration dans le génome des cellules pourrait activer ou inactiver des gènes hôtes dangereux.
            Le laboratoire d'Yamanaka a maintenant éliminé le besoin du virus. Dans un rapport publié dans la Science, lui et des collègues ont montré que les gènes critiques peuvent être efficacement être introduit sans utiliser le virus.
                La capacité de reprogrammer des cellules adultes en des cellules iPS sans intégration virale dans le génome met aussi pour donner fin aux soucis(entreprises) que l'événement de  la reprogrammation pourrait être dépendant de l'intégration virale dans les lieux génomiques spécifiques qui pourraient obtenir par médiation du commutateur génétique.
             "Le domaine de l' iPS et la recherche de cellule souche progressent en général rapidement," a dit le Directeur GICD DEEPAK SRIVASTAVA, M.D.. "Mais, comme Shinya l'a montré, chaque étape en avant révèle un nouveau jeu de défis." L'équipe d'Yamanaka a commencé cette série d'expériences en remplaçant le rétrovirus avec un vecteur adenoviral. Tandis que les transferts avec les gènes sur des vecteurs séparés n 'a pas marché, ils ont vraiment marché quand les gènes ont été arrangés en un ordre spécifique sur un vecteur simple.
La même combinaison a fonctionné quand les gènes ont été incorporés dans un plasmide.
Pour déterminer si les cellules plasmides intermédiaires reprogramment des celles pluripotent, les scientifiques ont transplanté les cellules sous la peau de souris immuno-défaillantes.
Les tumeurs résultantes contenaient une large variété de types de cellules de toutes les trois couches de germes.
             Les cellules IPS ont été injectées dans des embryons a abouti aux souris chimériques avec ces cellules injectées contribuant presque tous les types cellulaires.
Cependant, d'autres problèmes restent à être résolus. L'efficacité du transfert de gène avec le plasmide était inférieure qu'avec le retrovirus
.             Néanmoins, cette étape significative nous place tout près de la compréhension et la promesse de cellules souches et le remède éventuel de maladies.
             Citation : Okita K, Nakagawa le M, Hyenjong H, Ichisada T, Yamanaka S. "la Génération de souris incite des cellules souches pluripotent avec des vecteurs viraux." Science, dans presse.



 

Japanese Researcher Eliminates Viral Vector In Stem Cell Reprogramming
Monday, October 13, 2008

 
 Shinya Yamanaka
 




Japanese stem cell researcher Shinya Yamanaka, M.D., Ph.D., has taken another step forward in improving the possibilities for the practical application of induced pluripotent stem (iPS) cell technology.
            Previously, Dr. Yamanaka of Kyoto University and the Gladstone Institute of Cardiovascular Disease (GICD) showed that adult cells can be reprogrammed to become embryonic stem cell–like using a cancer-causing oncogene as one of the four genes required to reprogram the cells, and a virus to transfer the genes into the cells.
            In the last year, Yamanaka and other labs showed that the oncogene, c-Myc, is not needed.
            However the use of viruses that integrate into the genome prohibit use of iPS cells for regenerative medicine because of safety concerns: its integration into the cell’s genome might activate or inactivate critical host genes.
            Yamanaka’s laboratory has now eliminated the need for the virus.
            In a report published in Science, he and colleagues showed that the critical genes can be effectively introduced without using a virus.
            The ability to reprogram adult cells into iPS cells without viral integration into the genome also lays to rest concerns that the reprogramming event might be dependent upon viral integration into specific genomic loci that could mediate the genetic switch.
            “The iPS field and stem cell research in general is progressing rapidly,” said GICD Director Deepak Srivastava, M.D.. “But, as Shinya has shown, each step forward reveals a new set of challenges.”
            Yamanaka’s team began this series of experiments by replacing the retrovirus with an adenoviral vector.
            While transfections with the genes on separate vectors didn’t work, they did work when the genes were arranged in a specific order on a single vector.
            The same arrangement worked when the genes were incorporated into a plasmid.
            To determine if the plasmid-mediated reprogrammed cells were pluripotent, the scientists transplanted the cells under the skin of immunocompromised mice.
            The resulting tumors contained a wide variety of cell types from all three germ layers. iPS cells injected into embryos resulted in chimeric mice with the injected cells contributing to almost all cell types.
            Still, other problems remain to be solved.
            The efficiency of the gene transfer with the plasmid was lower than with the retrovirus.
            Nevertheless, this significant step moves us closer to realizing the promise of stem cells in the understanding and eventual cure of diseases.
            Citation: Okita K, Nakagawa M, Hyenjong H, Ichisada T, Yamanaka S. “Generation of mouse induces pluripotent stem cells with viral vectors.” Science, in press.
            Contact: Shinya Yamanaka, yamanaka@frontier.kyoto-u.ac.jp


 

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