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Le CRN, l'Institut national de biostructure et de bio-ingénierie (INBB) et l'Hôpital de S. Orsola de Bologne ont permis de découvrir une nouvelle molécule, HBR, capable de déterminer dans les cellules souches du placenta une différenciation "pilotée". Ces cellules sont naturellement capables de se transformer en n'importe quel type de cellules humaines. Les résultats ont été publiés dans le Journal de Chimie Biologique américain.Pour Carlo Ventura, directeur du laboratoire de biologie moléculaire et de bio-ingénierie des cellules souches de l'INBB, ces résultats sont prometteurs : "Jusqu'à présent les cellules souches introduites dans un tissu malade avaient tendance, à cause de leur grande capacité imitative, à copier les cellules qu'elles rencontraient par exemple des situations inflammatoires et devenant par conséquent inutiles à la guérison". Le traitement des cellules souches du placenta avec la molécule HBR a révélé que "les cellules transplantées créaient de nouveaux vaisseaux coronaires qui se développaient en cellules cardiaques, entre autres, sans être à l'origine de phénomènes de rejet"."Ces résultats pourraient ouvrir la voie aux transplantations hétérologues, c'est-à-dire entre donneurs et destinataires différents, de cellules souches", explique Carlo Ventura. © genethique.org
d'autres paralysés bénéficieraient de traitements visant à reconstituer la myéline ou palier à sa disparition : ceux qui ont été affectés par une Myélite Transverse !
Cellules souchesDeux équipes américaines de chercheurs associées à une équipe japonaise ont produit chez la souris, en insérant quatre gènes dans les cellules de la peau et sans détruire d'embryons, l'équivalent de cellules souches embryonnaires. Ce résultat a été rendu public par les revues Cell Stem Cell et Nature. Toutefois, les chercheurs ne savent pas si la procédure expérimentale suivie au cours de ces travaux pourrait être reproduite avec succès sur des cellules humaines. La Croix, 07/06
Des lignées de cellules souches spécifique à chaque patient IRVINE, Californie, 16 mai (UPI) -- Des scientifiques des Etats-Unis ont lancé un projet pour développer des lignées de cellules souches génétiquement compatibles pour les patients humains.Le neurobiologiste Hans Keirstead de l’University of California-Irvine et son équipe emploient une technique de transfert nucléaire pour poursuivre le but qui permettra aux scientifiques de mieux étudier des affections allant du diabète à la maladie de Parkinson et de fournir la base pour des traitements potentiels de cellules souches spécifique à chaque patient.Keirstead emploie une technique appelée transfert nucléaire de cellules somatiques dans lequel l'ADN d'un patient est transplantée dans un ovocyte non-fertilisé d’une donneuse afin de produire des lignées de cellules souches ayant la même composition génétique du patient. Les chercheurs disent que de telles lignées cellulaires ont un potentiel thérapeutique énorme parce que le système immunitaire humain est moins susceptible d’attaquer des cellules génétiquement identiques."Cette technique tient la promesse énorme de faire avancer notre connaissance des cellules souches et de leur potentiel à traiter la maladie", a dit Keirstead, co-directeur du Gross Stem Cell Research Center. "Je suis enthousiaste de me lancer dans la recherche sur ces lignées cellulaires et j’attends avec intérêt le jour où des cellules souches spécifique à chaque patient seront utilisées pour traiter des personnes souffrant de lésions et d’états de santé handicapants."=========================== :arrow: TEXTE ORIGINAL EN ANGLAIS ===========================Patient-specific stem cell lines soughtIRVINE, Calif., May 16 (UPI) -- U.S. scientists have launched a project to develop stem cell lines that genetically match human patients.University of California-Irvine neurobiologist Hans Keirstead and his team are using a nuclear transfer technique to pursue the goal that will allow scientists to better study conditions ranging from diabetes to Parkinson's disease and provide the basis for potential patient-specific stem cell treatments.Keirstead uses a technique called somatic cell nuclear transfer in which a patient's DNA is transplanted into a donated unfertilized egg cell in order to generate stem cell lines with the same genetic makeup of the patient. The researchers said such lines have tremendous therapy potential because the human immune system is less likely to attack genetically identical cells."This technique holds tremendous promise to advance our knowledge of stem cells and their potential to cure disease," said Keirstead, co-director of the university's Gross Stem Cell Research Center. "I am excited to embark on this line of research and look forward to the day when patient-specific stem cells are utilized to treat people suffering from debilitating injuries and health conditions."Source : http://www.sciencedaily.com/upi/index.php?feed=Science&article=UPI-1-20070516-10201700-bc-us-stemcells.xml