Auteur Sujet: Neurostimulation implantée - Pr. Grégoire Courtine (EPFL - Suisse)  (Lu 184202 fois)

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Neurostimulation implantée - Pr. Grégoire Courtine (EPFL - Suisse)
« Réponse #317 le: 29 janvier 2024 à 11:10:51 »
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Onward Medical se prépare à la soumission à la FDA pour la thérapie ARC-EX

La thérapie de neuromodulation non invasive d'Onward, désignée comme dispositif révolutionnaire par la FDA, a donné des résultats positifs dans un essai pivot.

26 janvier 2024

Un modèle de marché réalisé par GlobalData estime que le marché mondial des appareils de neuromodulation vaudra 11,4 milliards de dollars d’ici 2033, contre 6 milliards de dollars en 2022.

Onward Medical reste sur la bonne voie pour envoyer une soumission à la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour l'approbation de sa thérapie de neuromodulation non invasive.

"Nous nous préparons à soumettre une demande De Novo pour la thérapie ARC-EX à la FDA dans un avenir proche", a déclaré Dave Marver, PDG d'Onward. Marver s'exprimait lors de la réunion annuelle 2024 de la North American Neuromodulation Society (ANS) à Las Vegas, Nevada, États-Unis, qui s'est tenue du 18 au 21 janvier.
La soumission devrait avoir lieu au premier semestre 2024, sur la base d’une précédente déclaration du PDG de la société basée aux États-Unis faite lors d’une mise à jour commerciale en novembre dernier.

Onward a reçu la désignation d'appareil révolutionnaire de la FDA pour sa thérapie ARC. La désignation accélère l’évaluation et l’examen des appareils soumis.

La thérapie ARC d’Onward a fait des vagues dans l’espace neuromusculaire grâce à son potentiel à aider les patients atteints de lésions médullaires à bouger leurs membres. La thérapie offre une stimulation ciblée et programmée de la moelle épinière. Onward a développé deux appareils en fonction de la manière dont la stimulation est administrée, soit par des systèmes implantables (ARC-IM), soit externes (ARC-EX).

Onward étudie également sa technologie en combinaison avec les interfaces cerveau-ordinateur (BCI). Les BCI permettent la communication neuronale entre le cerveau et un dispositif de sortie, tel que les stimulateurs de la moelle épinière développés par Onward.

Nous sommes confiants dans la qualité unique de nos profils d’entreprise. Cependant, nous voulons que vous preniez la décision la plus avantageuse pour votre entreprise, c'est pourquoi nous vous proposons un échantillon gratuit que vous pouvez télécharger en soumettant le formulaire ci-dessous.

Un modèle de marché réalisé par GlobalData estime que le marché mondial des appareils de neuromodulation vaudra 11,4 milliards de dollars d’ici 2033, contre 6 milliards de dollars en 2022.

ARC-EX a démontré des résultats positifs dans une étude pivot menée auprès de personnes atteintes de tétraplégie chronique – paralysie des quatre membres. Les données de l’étude Up-LIFT – une étude prospective prospective à un seul bras conçue pour évaluer la sécurité et l’efficacité du dispositif – ont montré un taux de réponse de 72 %. La thérapie a satisfait à tous les critères d’efficacité primaires et de sécurité en matière d’amélioration de la force et de la fonction des membres supérieurs après une lésion de la moelle épinière.

Onward explore également l’utilisation de sa technologie au-delà des seules utilisations neuromusculaires. En janvier 2024, la société a lancé une étude de faisabilité pour évaluer la capacité de son neurostimulateur ARC-IM à améliorer l’instabilité hémodynamique chez les patients atteints de lésions médullaires. L'étude HemON NL, basée aux Pays-Bas, fait suite à l'étude HemON (NCT05111093).

Hors ligne fti

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« Réponse #315 le: 24 janvier 2024 à 10:29:37 »
 :icon_thumleft:
Se victimiser c'est s'inférioriser soi-même.

Hors ligne TDelrieu

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« Réponse #314 le: 23 janvier 2024 à 19:28:20 »
C'est la voie de recherche que nous finançons !  :sm28:

Hors ligne RosenKreutz

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« Réponse #313 le: 23 janvier 2024 à 17:15:17 »
Merci Thierry. Tout ça a l'air prometteur.
Se victimiser c'est s'inférioriser soi-même.

Hors ligne TDelrieu

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Neurostimulation implantée - Pr. Grégoire Courtine (EPFL - Suisse)
« Réponse #312 le: 23 janvier 2024 à 12:45:52 »
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Guider la régénération nerveuse pour traiter la paralysie

22.09.23

Une lésion complète de la moelle épinière provoque aujourd’hui des paralysies irréversibles. Des scientifiques du centre Neurorestore démontrent aujourd’hui dans Science l’efficacité d’une thérapie génique qui, chez les souris, a pu favoriser la repousse des nerfs à travers la lésion et les guider pour qu’ils se reconnectent aux bons endroits afin de restaurer des fonctions motrices.

A l’instar d’autres blessures, celles qui touchent la moelle épinière peuvent elles aussi faire l’objet d’une réparation spontanée de la part de l’organisme. Toutefois, ce processus ne s’observe que lorsque les lésions ne sont que partielles, et non en cas de rupture complète de la moelle épinière. « Nous avions mis en évidence la repousse des nerfs au-travers d’une lésion il y a déjà cinq ans, rappelle Mark Anderson, auteur senior de l’étude, responsable de l’unité Régénération du système nerveux central au centre Neurorestore et chercheur au Wyss Center for Bio and Neuroengineering. Mais nous nous sommes rendus compte que cela ne suffisait pas à restaurer des fonctions motrices, car les nouvelles fibres échouaient à se connecter aux bons endroits de l’autre côté de la lésion. »

Grâce aux équipements de pointe dont ils disposent à Campus Biotech, sur le site genevois de l’EPFL, les chercheurs ont procédé à des analyses poussées afin de comprendre quel type de neurones était impliqué dans ces régénérations naturelles – travaillant pour ce faire avec leurs collègues de l’UCLA et de la Harvard Medical School. « Des observations par séquençage ARN nucléaire à l’échelle de la cellule individuelle ont mis en évidence les axones qui bénéficiaient d’une régénération, mais aussi les cibles sur lesquelles ils doivent se connecter pour restaurer des fonctions motrices », précise Jordan Squair, premier auteur de l’étude qui paraît ce 22 septembre 2023 dans Science.

Vers une combinaison des approches

Cette découverte a suggéré aux scientifiques le développement d’une thérapie génique activant la croissance des neurones les plus pertinents, renforçant par des protéines la repousse des nerfs au travers de la lésion, et les conduisant par des molécules de guidage jusqu’au site de leur implantation de l’autre côté de la lésion. « Nous nous sommes donc basés sur ce que nous avons compris du fonctionnement naturel de la régénération afin de développer une stratégie thérapeutique qui imite la régénération survenant après une lésion partielle », précise Jordan Squair.

Des souris souffrant d’une lésion totale de la moelle épinière ont pu retrouver grâce à ce traitement une mobilité rappelant celle de rongeurs ayant guéri spontanément d’une lésion partielle. Ces résultats mettent en évidence un prérequis jusque-là inconnu pour que ces repousses nerveuses se traduisent par un retour de certaines fonctions motrices.

« Nous pensons que ces thérapies géniques fonctionneront en synergie avec les autres stratégies que nous avons développées, impliquant des stimulations électroniques de la moelle épinière, explique Grégoire Courtine, directeur de Neurorestore avec Jocelyne Bloch. Notre conviction est qu’un traitement complet d’une lésion de la moelle épinière devra à l’avenir faire intervenir en parallèle les deux approches – celle, biologique, qui permet la repousse efficace des fibres nerveuses, et celle, basée sur nos implants souples, qui restaure une communication efficace entre le cerveau et les neurones dédiés à la mobilité. »

Prometteuse, cette approche n’en reste pas moins extrêmement pionnière à ce stade. De nombreuses années de travaux seront encore nécessaires afin de transformer ces résultats de recherche en traitements disponibles pour les patients.


Source : https://actu.epfl.ch/news/guider-la-regeneration-nerveuse-pour-traiter-la-pa/



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Science

Récupération de la marche après paralysie en régénérant les neurones caractérisés vers leur région cible naturelle

Résumé de l'éditeur

Bien que plusieurs approches expérimentales aient montré des résultats positifs dans la régénération axonale après une lésion médullaire (LME), la récupération complète des fonctions motrices reste un objectif difficile à atteindre. Squair et coll. ont émis l'hypothèse que la restauration de la projection axonale complète d'une population neuronale sélectionnée vers sa cible naturelle pourrait favoriser une meilleure récupération fonctionnelle. Après avoir utilisé le séquençage d'ARN unicellulaire pour identifier la population neuronale la plus prometteuse, les auteurs ont montré que la promotion de la croissance axonale et le guidage vers leur cible naturelle dans cette population rétablissaient la marche chez les souris après une LME complète. En revanche, une large restauration axonale à travers la lésion n’a eu aucun effet, ce qui suggère qu’une approche plus ciblée est nécessaire pour la récupération fonctionnelle après une lésion médullaire.

Extrait

La régénération des axones peut être induite en cas de lésion médullaire (LME) anatomiquement complète, mais une restauration fonctionnelle robuste reste difficile à atteindre. On ne sait pas encore si la restauration des fonctions neurologiques nécessite une régénération dirigée des axones de sous-populations neuronales spécifiques vers leurs régions cibles naturelles. Pour répondre à cette question, nous avons appliqué le séquençage d’ARN mononucléaire comparatif et spécifique à la projection pour identifier les sous-populations neuronales qui rétablissent la marche après une LME incomplète. Nous montrons que la chimioattraction et le guidage des axones sectionnés de ces neurones vers leur région cible naturelle ont conduit à une récupération substantielle de la marche après une LME complète chez la souris, alors que la régénération des axones simplement à travers la lésion n'a eu aucun effet. Ainsi, le rétablissement des projections naturelles des neurones caractérisés constitue une partie essentielle des stratégies de régénération axonale visant à restaurer les fonctions neurologiques perdues.


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 TEXTE ORIGINAL EN ANGLAIS
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Recovery of walking after paralysis by regenerating characterized neurons to their natural target region

Editor’s summary

Although several experimental approaches have shown positive results in axonal regeneration after spinal cord injury (SCI), complete recovery of motor functions remains an elusive target. Squair et al. hypothesized that restoration of complete axonal projection of a selected neuronal population to their natural target could promote better functional recovery. After using single-cell RNA sequencing to identify the most promising neuronal population, the authors showed that promoting axonal growth and path guidance to their natural target in this population restored walking in mice after complete SCI. By contrast, broad axonal restoration across the lesion had no effect, suggesting that a more targeted approach is necessary for functional recovery after SCI.

Abstract

Axon regeneration can be induced across anatomically complete spinal cord injury (SCI), but robust functional restoration has been elusive. Whether restoring neurological functions requires directed regeneration of axons from specific neuronal subpopulations to their natural target regions remains unclear. To address this question, we applied projection-specific and comparative single-nucleus RNA sequencing to identify neuronal subpopulations that restore walking after incomplete SCI. We show that chemoattracting and guiding the transected axons of these neurons to their natural target region led to substantial recovery of walking after complete SCI in mice, whereas regeneration of axons simply across the lesion had no effect. Thus, reestablishing the natural projections of characterized neurons forms an essential part of axon regeneration strategies aimed at restoring lost neurological functions.

https://www.science.org/doi/full/10.1126/science.adi6412

Hors ligne gilles

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Neurostimulation implantée - Pr. Grégoire Courtine (EPFL - Suisse)
« Réponse #311 le: 22 janvier 2024 à 11:58:57 »
merci Thierry. :icon_thumleft:
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Paralysé, un Néerlandais remarche grâce à la pensée!
« Réponse #310 le: 22 janvier 2024 à 10:51:19 »
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Paralysé depuis 12 ans, Gert-Jan Oskam, 40 ans, n'a plus qu'à penser à marcher pour faire un pas. Une prouesse possible grâce au couplage de 2 technologies implantées dans le cerveau et la moelle épinière. WIMAGINE est primé au CES de Las Vegas.

10 janvier 2024 • Par Cassandre Rogeret / Handicap.fr

« Lève-toi et marche. » Cette injonction, Gert-Jan Oskam en a rêvé, longtemps. Douze ans exactement. A 28 ans, un accident de vélo brise une partie de sa moelle épinière située dans son cou, paralysant ses jambes et partiellement ses bras. A 40 ans, ce Néerlandais peut désormais se tenir debout et même monter un escalier, grâce à l'association de deux technologies implantées dans le cerveau et la moelle épinière. Du nom de WIMAGINE, il a été conçu par les chercheurs du CEA (Commissariat à l'énergie atomique) de Grenoble, au sein du centre de recherche Clinatec. Les coulisses de cette « première mondiale », fruit du travail de chercheurs français et suisses depuis plus de dix ans, ont été dévoilées dans la revue scientifique Nature le 24 mai 2023.

Marcher grâce à sa pensée

« Je pense donc je marche. » C'est tout l'enjeu de cette « interface cerveau-colonne vertébrale ». « Ce nouveau système utilise l'implant rachidien qu'Oskam possède déjà et l'associe à deux implants en forme de disque insérés dans son crâne, de sorte que deux grilles de 64 électrodes reposent contre la membrane recouvrant le cerveau. Quand Oskam pense à marcher, les implants crâniens détectent l'activité électrique dans le cortex, la couche externe du cerveau. Ce signal est décodé par un ordinateur que le quadragénaire porte dans un sac à dos, qui transmet ensuite les informations au générateur d'impulsions vertébrales », détaille l'hebdomadaire Nature. En effet, des électrodes ont également été implantées dans sa moelle épinière, en-dessous de la zone qui a subi une lésion lors de l'accident. Concrètement, grâce à des algorithmes basés sur des méthodes d'intelligence artificielle, les prédictions de mouvement sont décodées en temps réel à partir des enregistrements du cerveau.
Une démarche moins robotique

Une première étude sur ce dispositif avait été publiée en 2018 mais, à l'époque, il s'agissait plutôt d'une « stimulation préprogrammée » qui générait des mouvements de marche robotique. Ce nouveau « pont numérique », qui relie le cerveau et la moelle épinière, permet de contrôler volontairement ses mouvements et leur amplitude. Résultat : un effort moindre pour une démarche plus naturelle. L'information est transmise en 500 millisecondes à peine, soit une vitesse équivalente au fonctionnement des personnes « valides ».

Pour poser ces deux implants, deux opérations ont été nécessaires, suivies d'un entraînement intensif de six mois. « Un long périple », selon Oskam, qui valait le coup puisqu'il semble avoir récupéré une partie de ses facultés motrices et sensorielles, y compris lorsque le système est désactivé.
Restaurer la fonction des bras

Dans la revue Nature, Antonio Lauto, ingénieur biomédical à la Western sydney university, en Australie, incite toutefois à créer des dispositifs « moins invasifs ». En effet, l'un des implants crâniens d'Oskam a dû être retiré après environ cinq mois en raison d'une infection. Pour Jocelyne Bloch, la neurochirurgienne de l'Ecole polytechnique fédérale de Suisse qui a implanté l'appareil, « il y a toujours un peu de risque d'infection ou d'hémorragie, mais ils sont si petits que la balance penche en leur faveur ».

Prochaine étape : restaurer les mouvements des bras à l'aide de la même technologie. Les chercheurs sont actuellement en train de recruter trois personnes pour ce nouvel essai. Ils espèrent ensuite pouvoir généraliser cette technologie et l'utiliser pour d'autres indications cliniques comme la paralysie causée par un accident vasculaire cérébral.

Hors ligne STEPHANE

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Paralysé, un Néerlandais remarche grâce à la pensée!
« Réponse #309 le: 21 janvier 2024 à 11:06:07 »
Paralysé depuis 12 ans, Gert-Jan Oskam, 40 ans, n'a plus qu'à penser à marcher pour faire un pas. Une prouesse possible grâce au couplage de 2 technologies implantées dans le cerveau et la moelle épinière. WIMAGINE est primé au CES de Las Vegas

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« Réponse #308 le: 19 décembre 2023 à 17:23:43 »
je ne pense pas que les patients soient des leses  complets,voila pourquoi:si la stimulation electrique engendre de nouvelles fibres nerveuses:eles seraient tres peu nombreuses  a pouvoir contourner la lesion ,leur effet sur le mouvement serait quasiment negligeable,,,je crois que les travaux de courtine ne resoudront pas le cas des leses complets,,c'est pour cela que je compte plus sur une therapie differente qui reparerait la lesion

Hors ligne charlieboy

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« Réponse #307 le: 19 décembre 2023 à 15:33:39 »
   Farid, le patient qui était sur le stage l'italien est un patient avec une lésion complète . Du moins, c'est ce qui a été rapporté.

   Joyeuses fêtes à tous ..... :icon_santa: :icon_santa: :icon_santa:

  Charles

   
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« Réponse #306 le: 19 décembre 2023 à 15:32:35 »
thierry,j'ai un probleme avec mon clavier,quand j'appuie sur la touche a c'est la rouche q qui s'affiche et c'est comme ca pour toutes les lettres,tout est desordonne ,,ecrire une phrase me prend enormement de temps,,,je crois que maintenant le probleme est reglè  ,,je m'excuse pour les textes presque   incomprehensibles ,,,ca ne se renouvellera plus

Hors ligne TDelrieu

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« Réponse #305 le: 19 décembre 2023 à 10:51:08 »
Farid, relis-toi quand tu veux publier et corrige les erreurs pour une meilleure lecture pour tout le monde. Merci  :sm28:

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« Réponse #304 le: 19 décembre 2023 à 08:54:26 »
lq ;ethode cpurttine exige bequcoup defforts et lq pose dun electrosti;ulqteur  interne et des pqtients qvec une lesion inco;plete
   loin de noi lintention de critiquer son travail qui est qppreciable
le hic est aue la lesion nest pas reparee et sans cela on ne pourrq  pas pretendre a une guerison reelle;ent efficiente
cest en tpus cas  une voie interessante   qui reste a aneliorer

Hors ligne TDelrieu

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« Réponse #303 le: 18 décembre 2023 à 10:26:42 »
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Remarcher grâce à un implant - L'Esprit Sorcier TV

Et s'il suffisait d'un implant électrique pour stimuler la moelle épinière et faire remarcher des personnes paralysées ? C'est ce que sont en train de réaliser les neuroscientifiques Jocelyne Bloch et Grégoire Courtine, d'abord avec des rats et désormais avec des humains...

Conférence filmée à l'occasion des portes ouvertes de l'EPFL, Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, les 29 et 30 avril 2023


https://youtu.be/1Ht8Kjmdzxc?si=OFNMfvsfMyoDyW6A

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« Réponse #302 le: 08 novembre 2023 à 09:31:47 »
j'ai vu le reportage sur france 2,,les resultats sont impressionnants

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« Réponse #301 le: 07 novembre 2023 à 19:26:10 »
Bonjour

C'est encourageant  :icon_thumleft:

Chris


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« Réponse #300 le: 07 novembre 2023 à 12:04:05 »
un reportage sur le sujet est passé au JT de 20H sur France2 hier 06/11/2023. :icon_wink:
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Hors ligne TDelrieu

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« Réponse #299 le: 06 novembre 2023 à 19:10:27 »
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Percée majeure dans le traitement de la maladie de Parkinson : une neuroprothèse permet de restaurer une marche fluide

06 NOV 2023 | PAR INSERM (SALLE DE PRESSE) | NEUROSCIENCES

Des neuroscientifiques de l’Inserm, du CNRS et de l’université de Bordeaux en France, avec des chercheurs et neurochirurgiens suisses (EPFL/CHUV/UNIL), ont conçu et testé une « neuroprothèse » destinée à corriger les troubles de la marche associés à la maladie de Parkinson. Dans une étude publiée dans Nature Medicine*, les scientifiques détaillent le processus de développement de la neuroprothèse utilisée pour traiter un premier patient atteint de la maladie de Parkinson, lui permettant de marcher avec fluidité, confiance et sans chute.

Des troubles de la marche invalidants surviennent chez environ 90 % des personnes qui présentent un stade avancé de la maladie de Parkinson. Ces troubles de la marche résistent souvent aux traitements actuellement disponibles. Développer de nouvelles stratégies permettant aux patients de remarcher avec fluidité, en écartant le risque de chute, constitue donc une priorité pour les équipes de recherche qui travaillent sur cette maladie depuis de longues années.

C’est le cas d’Erwan Bézard, neuroscientifique à l’Inserm, et de son équipe à l’Institut des maladies neurodégénératives (CNRS/Université de Bordeaux), dont le travail porte notamment sur la compréhension des mécanismes pathogéniques à l’origine de la maladie de Parkinson et sur le développement de stratégies pour rétablir la motricité dans différentes pathologies. Depuis plusieurs années, il collabore avec une équipe suisse dirigée les Pr Grégoire Courtine, neuroscientifique, et Jocelyne Bloch, neurochirurgienne, spécialisés dans le développement de stratégies de neuromodulation de la moelle épinière.

En 2016, l’équipe franco-suisse avait par exemple déjà publié dans Nature des travaux montrant l’efficacité d’une interface cerveau-moelle épinière – dite « neuroprothèse » – pour restaurer le fonctionnement d’un membre paralysé suite à une lésion de la moelle épinière. Les résultats prometteurs avaient incités les scientifiques à poursuivre leurs efforts et laissaient espérer des effets bénéfiques dans la maladie de Parkinson avec un dispositif similaire.

Éviter les chutes et le freezing

Dans cette nouvelle étude, l’équipe a donc mis au point une neuroprothèse comparable pour pallier les chutes et le phénomène de freezing – quand les pieds restent collés au sol pendant la marche – parfois associé à la maladie de Parkinson.

Contrairement aux traitements conventionnels de la maladie de Parkinson, qui ciblent les régions du cerveau directement touchées par la perte des neurones producteurs de dopamine, cette neuroprothèse vise la zone de la moelle épinière responsable de l’activation des muscles des jambes pendant la marche, qui n’est a priori pas directement affectée par la maladie de Parkinson. Néanmoins, la moelle épinière est sous le contrôle volontaire du cortex moteur, dont l’activité est modifiée par la perte des neurones dopaminergiques.

S’appuyant sur leur expertise complémentaire, les équipes française et suisse ont pu développer et tester la neuroprothèse dans un modèle de primate non humain reproduisant les déficits locomoteurs dus à la maladie de Parkinson. Le dispositif a non seulement permis d’atténuer les déficits locomoteurs, mais aussi de rétablir la capacité de marche dans ce modèle en diminuant les phénomènes de freezing.

« L’idée de développer une neuroprothèse stimulant électriquement la moelle épinière pour harmoniser la démarche et corriger les troubles locomoteurs de patients parkinsoniens est le fruit de plusieurs années de recherche sur le traitement de la paralysie due aux lésions médullaires », explique Erwan Bézard, directeur de recherche Inserm à l’Institut des maladies neurodégénératives (université de Bordeaux/CNRS).

« Des tentatives précédentes de stimulation de la moelle ont échoué car elles stimulaient en bloc les centres locomoteurs sans tenir compte de la physiologie. Dans le cas présent, il s’agit d’une stimulation qui se superpose au fonctionnement naturel des neurones de la moelle en stimulant, avec une coordination spatiotemporelle, les différents groupes musculaires responsables de la marche », ajoutent Grégoire Courtine et Jocelyne Bloch, codirecteurs de NeuroRestore, le centre de recherche installé en Suisse romande.

Ces résultats prometteurs ont permis d’ouvrir la voie à un développement clinique, pour tester le dispositif chez un patient.

Une amélioration grâce à la neuroprothèse

Un premier patient, âgé de 62 ans, et vivant avec la maladie depuis trois décennies, a ainsi été opéré il y a deux ans au Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), à Lausanne. Au cours d’une intervention neurochirurgicale de précision, Marc, originaire de Bordeaux, a été équipé de cette nouvelle neuroprothèse, constituée d’un champ d’électrodes placé contre la région de sa moelle épinière qui contrôle la marche et d’un générateur d’impulsions électriques implanté sous la peau de son abdomen.

Grâce à la programmation ciblée des stimulations de la moelle épinière qui s’adaptent en temps réel à ses mouvements, Marc a rapidement vu ses troubles de la marche s’estomper. Après une rééducation de quelques semaines avec la neuroprothèse, il a retrouvé une marche presque normale.

Cette neuroprothèse ouvre donc de nouvelles perspectives pour traiter les troubles de la marche dont souffrent de nombreuses personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Toutefois, à ce stade, ce concept thérapeutique a démontré son efficacité chez une seule personne, avec un implant qui doit encore être optimisé pour un déploiement à grande échelle.

Les scientifiques travaillent donc à la mise au point d’une version commerciale de la neuroprothèse[1] intégrant toutes les fonctionnalités indispensables pour une utilisation quotidienne optimale. Des essais cliniques sur un plus grand nombre de patients doivent également démarrer dès l’année prochaine[2].

« Notre ambition est de généraliser l’accès à cette technologie innovante afin d’améliorer significativement la qualité de vie des patients atteints de la maladie de Parkinson, partout dans le monde », concluent les chercheurs.

*Nature Medicine : https://www.nature.com/articles/s41591-023-02584-1

[1] En partenariat avec la compagnie ONWARD Medical, une entreprise installée en Suisse qui développera ces implants.

[2] Grâce à un don d’un million de dollars de la Michael J. Fox Foundation for Parkinson’s research, le centre NeuroRestore va initier des essais cliniques sur six nouveaux patients dès l’année prochaine. Ces essais visent non seulement à valider la technologie développée en collaboration avec ONWARD, mais aussi à identifier les profils de patients les plus susceptibles de bénéficier de cette thérapie innovante. Fondée par l’acteur Michael J. Fox (Back to the future), lui-même atteint de la maladie de Parkinson, cette fondation est le principal donateur privé dans le domaine de la recherche sur la maladie de Parkinson.


Source : https://presse.inserm.fr/percee-majeure-dans-le-traitement-de-la-maladie-de-parkinson-une-neuroprothese-permet-de-restaurer-une-marche-fluide/67716/


Hors ligne gilles

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Neurostimulation implantée - Pr. Grégoire Courtine (EPFL - Suisse)
« Réponse #298 le: 28 septembre 2023 à 11:54:51 »
c'est une bonne nouvelle pour les futurs handi.
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Hors ligne TDelrieu

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Neurostimulation implantée - Pr. Grégoire Courtine (EPFL - Suisse)
« Réponse #297 le: 28 septembre 2023 à 11:25:35 »
Citer
Après les jambes, des implants testés pour retrouver le contrôle de bras paralysés

Publié 27/09/2023

C’est la première fois qu’un implant cérébral est couplé à un implant dans la moelle épinière afin de stimuler les membres supérieurs.

Pour la première fois, un implant cérébral couplé à un implant stimulant la moelle épinière est testé afin de permettre à un patient tétraplégique d'à nouveau bouger ses bras, mains et doigts par la pensée, a annoncé mercredi l'entreprise néerlandaise Onward.

La combinaison de ces deux technologies avait déjà permis à un patient paraplégique de retrouver un contrôle naturel de la marche par la pensée, une avancée qui avait fait l'objet d'une publication dans la revue scientifique Nature en mai.

Mais c'est la première fois que cette double technique est employée pour les membres supérieurs. «La mobilité du bras est plus complexe», a expliqué à l'AFP la chirurgienne Jocelyne Bloch, qui a réalisé les opérations d'implantation.

Deux opérations le mois dernier

Même si par rapport à la marche, le problème de l'équilibre ne se pose pas ici, «la musculature de la main est assez fine, avec plein de petits muscles différents qui sont activés en même temps pour certains mouvements», a-t-elle ajouté.

Le patient, qui souhaite rester anonyme, est un homme suisse de 46 ans ayant perdu l'usage de ses bras après une chute. Deux opérations ont eu lieu le mois dernier au Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV) de Lausanne, en Suisse.

La première pour placer l'implant cérébral de quelques centimètres de diamètre, développé par l'organisation française CEA-Clinatech, au-dessus du cerveau, à la place d'un petit bout d'os crânien. La deuxième pour placer les électrodes développées par Onward au niveau de la moelle cervicale, reliées à un petit boîtier implanté dans l'abdomen.

L'implant cérébral (ou interface cerveau-machine, ICM) enregistre les régions du cerveau qui s'activent lorsque le patient réfléchit à un mouvement, et les communique aux électrodes. Une sorte de «pont digital». «Ça se passe bien pour l'instant», a décrit Jocelyne Bloch, qui a co-fondé Onward et reste consultante pour l'entreprise. «On arrive à enregistrer l'activité cérébrale, et on sait que la stimulation marche. (...) Mais il est trop tôt pour parler de ce qu'il a fait comme progrès, ce qu'il est capable de faire maintenant.»

Résultats attendus ultérieurement

Le patient est en phase d'entraînement, pour s'assurer que l'implant cérébral reconnaisse bien les différents mouvements souhaités. Les mouvements perdus devront être ensuite maintes fois répétés avant de pouvoir devenir naturels. Le processus prendra «quelques mois», selon Jocelyne Bloch. Deux autres patients doivent participer à cet essai. Les résultats complets seront publiés ultérieurement.

Des stimulations de la moelle épinière ont déjà été utilisées par le passé pour réussir à faire bouger le bras de patients paralysés, mais sans couplage avec un implant cérébral. Et des implants cérébraux ont déjà été utilisés pour qu'un patient puisse commander un exosquelette.

L'organisation Battelle s'est elle servie d'un implant cérébral pour restaurer le mouvement dans le bras d'un patient, mais équipé d'un manchon d'électrodes placé sur l'avant-bras, stimulant directement les muscles concernés. «Onward est unique dans sa volonté de restaurer le mouvement par stimulation de la moelle épinière», couplée à un implant cérébral, a déclaré à l'AFP son patron, Dave Marver.

Selon lui, cette technologie pourrait être commercialisée «d'ici la fin de la décennie». Le domaine des implants cérébraux est en plein essor, avec par ailleurs des sociétés comme Synchron ou Neuralink sur le créneau. Elles travaillent notamment à permettre à des patients paralysés de contrôler des ordinateurs par la pensée, leur redonnant par exemple la capacité d'écrire.


https://www.lefigaro.fr/sciences/apres-les-jambes-des-implants-testes-pour-retrouver-le-controle-de-bras-paralyses-20230927

Hors ligne misterjp

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« Réponse #296 le: 29 mai 2023 à 17:45:17 »
apparemment ca ne concerne que les paras a lesion thoracique ,,et les lesions lOmbaires et cervicales,,est ce qu'on y pense?

Les tétras vont être les prochains concernés.

Hors ligne farid

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« Réponse #295 le: 28 mai 2023 à 17:11:20 »
apparemment ca ne concerne que les paras a lesion thoracique ,,et les lesions lOmbaires et cervicales,,est ce qu'on y pense?

Hors ligne TDelrieu

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« Réponse #294 le: 27 mai 2023 à 14:49:51 »
Je pense que l'association ALARME peut être fière de financer les recherches du professeur Grégoire COURTINE et son équipe à l'EPFL depuis environ 10 ans :sm28:

Hors ligne RosenKreutz

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« Réponse #293 le: 25 mai 2023 à 16:01:40 »
 :icon_thumleft:
Se victimiser c'est s'inférioriser soi-même.

 

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