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En effet, l'essai du Dr. Vaquero est autorisé par le directeur de l'Agence espagnole des médicaments depuis le 22 Février, pour lancer son essai clinique de phase I chez les patients présélectionnées. Les 10 premiers patients de la liste ont été contactés pour des tests, analyses, le consentement et la signature de documents, etc. Maintenant, Cela va suivre son cours fixé pour les protocoles d'essais cliniques. Je suppose que le document de la déclaration officielle de l'hôpital sera publié quand le moment sera jugé le plus approprié pour cela. J'attendais qu'ils le fassent, mais il semble qu'ils n'ont pas fait de communiqué. Alors, avant que vous me demandiez s'ils ont commencé, je n'ai pas pu résister. Le 22 février 2013, cela a été plus tard que prévu et souhaité. L'équipe de recherche, comme les responsables de l'hôpital et de APINME ont fait tout ce qui était humainement possible pour commencer plus tôt, mais cela n'a pas pu l'être. Cependant, cet essai clinique commence avec toutes les garanties de sécurité. C'est tout ce que je peux dire à ce jour, et je n'ai pas la permission d'en dire plus, je vous informerai sur la suite lorsque je serai autorisé, j'espère que vous comprendrez. Salutations=========================== :arrow: TEXTE ORIGINAL EN ESPAGNOL ===========================Word from APINME vice president:Efectivamente, el ensayo del doctor Vaquero tiene autorización de la Agencia Española del Medicamento oficial desde el 22 de Febrero, para dar comienzo a su ensayo clínico en Fase I.De los pacientes preevaluados durante todo este tiempo, ya han sido llamados los 10 primeros para la realización de las pruebas, análisis, etc y firma del documento de consentimiento para someterse al ensayo. Ahora todo seguirá su curso establecido, por los protocolos del Ensayo. Supongo que el hospital estará preparado el documento y llegado el momento que consideren más idóneo para hacer el comunicado oficial. Estaba esperando que esto sucediera, pero como parece que aún no lo comunican, y ante vuestra logica insistencia por saber si habían empezado, no he podido resistirme.22 de Febreo de 2013, más tarde de lo previsto y deseado. Tanto el Equipo de investigación, como los responsables del hospital, como desde APINME hemos hecho todo lo humanamente posible para que empezara antes, pero no ha podido ser. Aunque seguro que empieza con todas las garantías de seguridad y seguro que merecerá la pena.Es lo que puedo decir hasta ahora, y no tengo autorización a decir mucho más, en adelante informare hasta donde se me autorice, espero lo entendáis.Un saludo
Maël,Là, ce sont des cellules souches stromales de la M.O, tandis que C4H (XCell Center) utilise des cellules souches hématopoïétique de la M.O... De plus, cette équipe a procédé à une étude pré-clinique solide... De toute façon, nous verrons les résultats sur l'être humain quand ils publieront les résultats de leur essai clinique !
Le neurochirurgien Jésus Vaquero de l’Hospital Puerta de Hierro va commencer cette année un essai clinique sur douze lésions médullaires avec des cellules souches extraites de leur moelle osseuse 14/03/2011 Après plus de dix années de recherche dans des modèles animaux, le professeur et neurochirurgien Jésus Vaquero va tester la capacité de régénération des cellules souches de la moelle osseuse chez des personnes paraplégiques. Le projet a débuté par le soutien financier de l’Apinme (Asociación Pro Investigación para la reparación medular) et du ministère de la Santé afin de permettre la construction d'un nouveau laboratoire. Les cellules souches stromales, un type de cellules dans l'os, seront isolées et traitées pour être utilisées dans les traitements.- Les résultats encourageants de l'expérimentation animale ont permis de passer l’être humain. Qu'est-ce qui a été réalisé chez les animaux traités ? "Nous avons d'abord vérifié si la greffe fonctionnait chez les rats, des petits animaux que nous pouvions manipuler avec aisance. Nous avons vu qu’après le traitement, les rats blessés médullaires, avaient retrouvé leur mobilité et de la sensation entre les troisième et quatrième mois. À l’intérieur du corps, les cellules souches se transforment en cellules nerveuses et la transplantation favorise la réparation naturelle. Le rat a une espérance de vie moyenne de deux ans, et nous craignions que ces 3-4 mois requis pour la récupération ne deviennent des années d'attente chez une personne. Nous avons donc commencé à expérimenter chez les porcs, de gros mammifères. - Les résultats étaient similaires ? "Oui, nous avons reproduit les résultats obtenus chez le rat. Deux mois après la transplantation, ces animaux qui avaient leur moelle épinière lésée ont commencé à regagner leurs fonctions. Ils ont gagné en sensibilité, ont retrouvé le contrôle intestinal et ont commencé à augmenter et à améliorer leur mobilité de façon très importante. - Ils ont remarché ? "Ils pouvaient remarcher avec des attelles dans les jambes parce qu'ils n'avaient pas une certaine coordination dans le mouvement. Dans l'eau, les animaux se déplaçaient facilement avec leurs quatre membres. Nous ne savons pas comment cela va fonctionner chez les humains, mais ce serait bien si une personne qui se déplace en fauteuil roulant pouvait remarcher avec un peu d'aide (des attelles ou des cannes). En outre, nous espérons que des meilleurs résultats seront obtenus avec la rééducation. Les kinésithérapeutes travaillaient avec les animaux traités, mais les animaux n'avaient pas la motivation que peut avoir une personne avec une lésion de la moelle épinière. - Qui seront choisis pour participer à l'essai clinique ? "Le processus de sélection de départ. Nous recrutons douze personnes avec des paraplégies dorsales et complètes. Nous n’osons pas commencer avec des patients qui ont encore le mouvement dans les mains, parce que nous ne voulons pas perdre cette capacité si quelque chose se passe mal. Une autre exigence est que la lésion soit chronique, vous devez attendre entre 6 mois et 3 ans après l'accident. La limite d'âge pour la participation est de 60 ans et nous commencerons avec des victimes d'accidents. Ne sont pas inclus dans cette première phase des personnes avec des paralysies congénitales ou des séquelles d'infections virales. Avant de recruter des volontaires pour l’essai, ils devront également passer un entretien psychologique pour être sûr qu’ils supporteront un échec possible. - Comment sera la greffe? "Nous allons utiliser des cellules souches extraites de la hanche du patient. Nous sélectionnerons les cellules stromales et les multiplierons en laboratoire. Il y aura une première greffe directement sur le site de la lésion. Nous ferons cette intervention dans le cadre d’une chirurgie. En dehors de la salle d'opération, après, nous leur injecterons davantage de cellules dans le liquide céphalo-rachidien, le liquide dans lequel baigne la moelle épinière. Le traitement sera complété par de la rééducation et une surveillance stricte pendant un an. - Les Etats-Unis ont commencé un essai en utilisant des cellules embryonnaires. Est-il judicieux de recourir à ces cellules ? "Nous avons commencé à travailler avec des cellules embryonnaires, mais nous avons abandonné par l'éthique et le risque de tumeurs qu’elles présentaient. Il faut attendre leurs résultats.=========================== :arrow: TEXTE ORIGINAL EN ANGLAIS ===========================El neurocirujano Jesús Vaquero del Hospital Puerta de Hierro empezará a tratar este año a doce lesionados medulares con células madre extraídas de su médula ósea14/03/2011 Tras más de diez años de investigación en modelos animales, el catedrático y neurocirujano Jesús Vaquero probará la capacidad regenerativa de las células madre de la médula ósea en parapléjicos. Se trata de una investigación pionera que ha despertado las esperanzas de las personas que viven con una lesión medular. El proyecto arranca gracias a la inyección económica de Apinme (Asociación Pro Investigación para la reparación medular) y del Ministerio de Sanidad que permitirán la construcción de una nueva sala blanca de laboratorio. En ella se aislarán y manipularán las células madres estromales, un tipo celular muy especial de la médula que se utilizarán en los tratamientos.—Los resultados en experimentación animal animan a dar el paso en pacientes. ¿Qué se ha conseguido en los animales tratados?—Primero probamos si el trasplante funcionaba en ratas, animales pequeños que nos permitían manipularlos con facilidad. Vimos que tras el tratamiento, las ratas a las que habíamos lesionado la médula, recuperaban su movimiento y sensibilidad entre el tercer y cuarto mes. En el interior de su organismo las células madre se transformaban en células nerviosas y el trasplante favorecía al mismo tiempo la reparación natural. La rata tiene una esperanza media de vida de dos años por lo que nos preocupaba que esos 3-4 meses necesarios para su recuperación se convirtieran en años de espera en una persona. Así que empezamos a experimentar en cerdos, un mamífero de tamaño mayor.—¿Los resultados fueron similares?—Sí, reprodujimos los resultados obtenidos en ratas. A los dos meses del trasplante, esos animales a los que se les había seccionado la médula empezaban a recuperar las funciones perdidas. Ganaban en sensibilidad, recuperaban el control de los esfínteres y empezaban a levantarse y mejorar su movilidad de forma muy notable.—¿Volvían a caminar?—No salían corriendo, aunque podían caminar con unas férulas (prótesis) en sus patas porque les faltaba cierta coordinación en el movimiento. En el agua, los animales movían sin dificultad las cuatro extremidades. No sabemos cómo va a funcionar en humanos, pero sería fantástico que una persona que se desplaza en silla de ruedas pudiera caminar con una pequeña ayuda. Además, tenemos la esperanza de que se logren resultados mejores con una buena rehabilitación. Los fisioterapeutas trabajaban con los animales tratados, pero ellos no tienen la motivación que puede tener una persona con una lesión medular.—¿A quién se elegirá para participar en el ensayo?—El proceso de selección está empezando. Queremos reclutar a doce personas con lesiones totales en la región dorsal y paraplejia completa. No nos arriesgaremos con personas que aún conservan movimiento en las manos porque no queremos que pierdan esa capacidad si surge alguna complicación. Otro requisito es que la lesión sea crónica, deberá transcurrir entre 6 meses y 3 años después del accidente. El límite de edad para participar son los 60 años y empezaremos con víctimas de accidentes. No se incluirá en esta primera fase a personas con enfermedades congénitas ni por secuelas de infecciones víricas. Antes de enrolar a los voluntarios al ensayo también deberán pasar por un estudio psicológico para estar seguros de que soportarán un posible fracaso.—¿Cómo se hará el trasplante?—Utilizaremos células madre que se extraerán de la cadera de los pacientes. Seleccionaremos las células del estroma y las multiplicaremos en el laboratorio. Habrá un primer trasplante directamente a la zona de la lesión. Esta intervención debemos hacerla en el transcurso de una cirugía. Después fuera del quirófano inyectaremos más células en el líquido cefalorraquídeo, el líquido que baña la médula espinal. El tratamiento se completará con rehabilitación y un seguimiento estricto durante un año.—En Estados Unidos hay un ensayo similar que utiliza células embrionarias ¿Tiene sentido recurrir a este tipo de células?—Nosotros empezamos trabajando con células embrionarias pero las abandonamos por los problemas éticos y el riesgo de tumores que tenían. Habrá que esperar a sus resultados.Source : http://www.abc.es/20110314/sociedad/abcm-animales-tratados-salian-corriendo-201103141629.html