LA VIE QUOTIDIENNE > Exprimez-vous ! |
Le défouloir |
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Breizhfenua:
Stef : je trouve au contraire que quand on parle de handicap c'est la majorité du temps des para et tetra qu'on voit ... mais pas les autres . J'ai jamais surfé avant donc moi ça me plait cette pratique , je n'envie pas les surfeurs debout de ce fait , je n'ai pas de perte face a ce type de loisir . En fait j'ai très vite cessé de regarder derrière et donc de constater tout ce que je ne pouvais plus faire pour me concentrer sur tout ce qui m'était possible de faire ou même de découvrir . Edit :Comme l'an dernier je suis la seule femme tétra des mondiaux de parasurf (la plus handi en terme de capacités physiques pour schématiser ) j'ai 2 choix : me lamenter sur cette injustice ou le prendre comme un défi et tenter de les niquer ... j'ai fais le choix de me battre avec mes moyens , et je suis encore en finale , fière de moi . Je n'ai pas besoin de dire quoique ce soit : les autres concurrents me voient et savent que je ne me bats pas avec les mêmes armes (mes concurrentes sont paras avec ou sans abdos et IMC marchantes ) , parfois l'image marque bien plus que les paroles . 20100 : je pense que ma Blumil va demeurer un certain temps bloquée en douane aux USA vu le bordel actuel ! |
20100:
--- Citation de: Anaïs Moutot ---Jean Twenge, professeur en psychologie à l'université de San Diego, étudie les différences de santé mentale entre générations depuis vingt-cinq ans. Il y a deux ans, elle a remarqué que les courbes de plusieurs paramètres qu'elle surveille régulièrement s'étaient effondrées depuis 2012 : la fréquence des rencontres entre jeunes, la proportion de lycéens possédant un permis de conduire, ayant déjà eu des relations sexuelles ou un simple rendez-vous. Dans le même temps, le pourcentage d'adolescents dépressifs, déclarant se sentir seuls et commettant des tentatives de suicide a atteint des sommets, explique-t-elle dans son livre « iGen », le surnom qu'elle donne à la génération née entre 1995 et 2012. Celle-ci souffre de « la pire crise de santé mentale depuis des décennies », estime Jean Twenge. Et le coupable serait le smartphone. Les adolescents « scrolleraient » infiniment sur les réseaux sociaux, se renfermant sur eux-mêmes et souffrant de la comparaison avec leurs pairs qui mettent en scène leur quotidien sur Facebook ou Instagram. Ils n'arriveraient même plus à se séparer de leurs portables la nuit, certains chercheurs parlant de « nomophobia » - pour « no mobile phobia ». Un problème qui n'épargne pas les adultes, mais qui touche encore plus les jeunes ayant grandi avec un téléphone dans les mains. Des peurs similaires sur l'effet des télévisions, des ordinateurs et des consoles de jeux vidéo ont été exprimées lors de leur arrivée dans les foyers. Et si la corrélation entre-temps passé sur son smartphone et dépression existe, la causalité reste difficile à prouver : est-ce sa consultation qui affecte la santé mentale, ou les personnes déjà fragiles qui passent plus de temps en ligne ? Ce que les chercheurs commencent à pouvoir affirmer, c'est que les réseaux sociaux ont un effet sur le cerveau proche de certaines substances addictives, comme la cigarette. Ofir Turel, professeur en systèmes d'information à l'université de Californie, a prouvé que « l'usage excessif de Facebook est associé à des changements dans le circuit de la récompense ». Car, contrairement à la télévision, les réseaux sociaux offrent des « récompenses variables » : l'utilisateur ne sait jamais combien de likes il va récolter ou sur quelles vidéos il va tomber. « C'est comme si on plaçait des gourmandises différentes chaque jour dans votre frigo : vous auriez beaucoup de mal à résister à l'envie de l'ouvrir », explique-t-il. Le National Institute on Drug Abuse, un institut de recherche public américain, se demande même si la baisse de la consommation d'alcool et de drogues dures chez les adolescents est liée à l'usage des smartphones - une addiction en remplaçant une autre. D'autres chercheurs pointent l'influence négative des smartphones sur les capacités cognitives : une récente étude de l'université de Chicago montre que leur simple présence diminue la faculté à mémoriser, raisonner et résoudre de nouveaux problèmes. --- Fin de citation --- Les chercheurs préfèrent travailler sur ce qui impacte un maximum de monde. On n'en fait pas partie. (Mais ça vous le saviez tous déjà ! :undecided: ) |
system64:
Moi ma cam,c'est de dire la vérité, celle qui donne envie à la science d'avancer, n'oublies pas breith qu'on ne parle jamais du raz le bol des blessés médullaires, à croire qu'ils sont biens dans ce putain de fauteuil!, alors à quoi bon! qu'ils roulent!, qu'ils fassent du surf , du moins de la planche (et c'est déjà bien), car du vrai surf , non ce sera impossible.Entreparenthèse, les gars et nanas de ce forum en font certainement mille fois plus que ces gugus de FB ci-joint, un des tâbleaux que j'ai fait |
20100:
Et sinon Breizh, tu es partie avec ton blumil go ? Un petit retour d'expérience à nous faire peut-être ? (c'était ici => http://alarme.asso.fr/forum/index.php/topic,10138.50.html ) :wink: |
Breizhfenua:
Ecoute stefane , si tu parles de moi en évoquant la condescendance , je ne me sens bizarrement pas concernée mais a la fois tu n'as nommé personne pour le coup ? Mon avis est différent du tien , visiblement ça provoque des propos assez violents chez toi , je trouve dommage que le débat ne soit pas constructif et que ça tourne au règlement de compte . J'ai pas envie de parler de TR ou de me montrer en difficulté sur les réseaux sociaux et je pense que pour Martinc'est pareil ...mais si c'est ça que tu veux montrer je t'en prie lâche toi ! quand j'interviens auprès de pros de la santé ou même récemment pour informer ma team sportive du pourquoi et du comment je monopolise les toilettes alors qu'on est 20 a en avoir besoin ...je suis cash , j'explique les choses très clairement mais de là a exposer mon intimité au grand public... euh non merci ! Il y a plein de pathos différentes , j'ai pas envie de m'autocentrer , le telethon ça me gave parce que justement on ne parle que de la maladie , là idem , pour moi ma vie ne s'arrête pas au handicap . Ou alors sur les réseaux sociaux il faudrait parler de SLA , de Myopathie , de cancer ...ect ...au moins autant que de blessés médullaires parce que chacun ses merdes du quotidien avec sa patho. Bref j'arrête là , je regrette juste qu'en place du dialogue il y ai de la haine , ensuite chacun sa façon de fonctionner et de déverser sa douleur , ce n'est pas ma cam' perso. |
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