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cellules souches AST-OPC1 - Asterias Biotherapeutics (ex-Geron Corp.) |
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farid:
Les aigus et subaigus sont la cible prioritaire des recherches en lesion medullaire. Car on se base surtout sur la prevention :prevention de la lesion secondaire et de la cicatrice gliale. Deja ,le fait qu'on puisse empecher la lesion secondaire serait un pas important vers une quasi guerison car il ne faut pas oublier que cette lesion s'etend sur plusieurs heures,Imaginez les degats!! Empecher la cicatrisation faciliterait une quelconque therapie par des cellules souches.D'ou un plus grand interet des chercheurs sur les lesions aigues(sub)aigues.Logique. En ce qui concerne les chroniques,faudra attendre un peu plus. Les disputes et les avis contradictoires des chercheurs sur therapies a envisager sont normales .Il faut savoir que la recherche medicale ne repose pas sur une science exacte. Reste,et je l'ai deja dit,les exosquelettes.Plus legers et moins chers ,ils nous conviendraient assez.faute de mieux. Probleme:est ce qu'ils conviendraient aux tetras? quand on a pas ce qu'on aime ,il faut aimer ce qu'on a.et on a les exoquelettes.A partir de 2011,ils seront commercialises. |
send:
Le Prof Peschanski et Privat ne sont pas d'accord,ils font pourtant partie tous deux de l'INSERM !!!! D'où certainement les avancées de la recherche en France. Send |
dardaran:
Désolé pour la taille des caractères. G. |
dardaran:
--- Citer --- Le Figaro revient sur les débats suscités par l'annonce de la firme de biotechnologie américaine Geron corporation qui a débuté un essai clinique sur l'homme utilisant des cellules souches embryonnaires humaines (Cf. Synthèse de presse du 12/10/10 et du 15/10/10). Cet essai vise à traiter un patient souffrant d'une paralysie partielle après des lésions de la moelle épinière. Dans le monde, nombre d'équipes recherchent des traitements pour guérir les personnes handicapées après un traumatisme de la moelle épinière. L'idée est d'intervenir le plus rapidement possible, pour tenter d'activer une repousse des fibres nerveuses abîmées, laquelle est impossible lorsque la cicatrisation définitive est faite. L'essai de Geron, qui avait été interdit sous la présidence de George Bush, puis autorisé par Barack Obama, vise à évaluer la tolérance des patients aux cellules souches embryonnaires humaines, appelées GRNOPC1, qui leur sont injectées au niveau de la moelle épinière, dans les quatorze jours après l'apparition de la lésion. Très médiatisé, l'essai provoque des controverses, certains experts suspectant Geron d'avoir communiqué de façon très précoce, avant tout résultat, afin de "redorer son blason en bourse". D'autres chercheurs récusent l'intérêt même du protocole lancé par Geron. En France, le Pr. Marc Peschanski, directeur de l'unité Inserm 861, explique que "ces recherches reposent sur une publication de Hans Keirstead qui a montré chez le rat adulte ayant subi des lésions de la moelle épinière au niveau cervical qu'une injection de cellules souches embryonnaires humaines pouvait améliorer la mobilité [...] L'objectif d'un tel traitement serait d'éviter l'extension des lésions lors de la phase initiale du traumatisme et de réduire au maximum le risque de séquelles". A l'inverse, le Pr. Alain Privat, directeur de l'unité 583 de l'Inserm, ne cache pas sa réserve sur la pertinence de cet essai : "à ce jour, ces cellules souches embryonnaires humaines sont encore suspectées d'induire des risques de cancérisation non maîtrisées. Par ailleurs, l'efficacité de ce type de greffe n'a pas été démontrée sur d'autres modèles que le rat. Or, les cellules embryonnaires se transforment en oligodendrocytes qui sont des cellules de soutien, mais pas des cellules nerveuses. La possibilité de reprise de la mobilité paraît impossible avec un tel protocole". Le Pr. Privat travaille sur un essai de thérapie génique sur le porc, avec injection d'ARN au niveau d'une lésion incomplète de la moelle épinière. Le but est d'empêcher la cicatrisation de la lésion pour favoriser la repousse des cellules nerveuses. Un autre chercheur français, le Pr. Jean Chazal, chef du service de neurochirurgie du centre hospitalier universitaire de Clermond-Ferrand, travaille sur un protocole utilisant des cellules souches adultes du patient qui sont réinjectées au niveau de la lésion. Le Figaro 25 octobre 2010 --- Fin de citation --- source: http://www.genethique.org/revues/revues/2010/octobre/25_10_10.html G. |
patrickp:
C'est la que ça se passe et nulle part ailleurs : http://www.shepherdtv.org/ ici l'annonce du premier essai !!! http://www.shepherd.org/news/releases/2010/10/shepherd-center-patient-treated-in-geron-clinical Et aussi l'annonce d'un essai sérieux sur l'influence de la réhabilitation sur la guérison !! Mais Neuf heures par semaine il faut le vouloir !!! http://www.shepherd.org/news/releases/2010/09/researchers-study-effects-of-intensive-exercise-on Je n'ai pas traduit le texte sur le premier essai car Thierry a déjà dit tout ce qu'il y avait à dire sur le sujet. Même sans comprendre l'anglais ( américain en l'occurrence ) on voit que c'est une organisation de rêve pour les blessés de la moelle épinière !!! |
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