TOUT SUR LA RECHERCHE > Essais cliniques en cours |
cellules souches AST-OPC1 - Asterias Biotherapeutics (ex-Geron Corp.) |
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Gyzmo34:
2020 - 2025 est une date approximative assez juste pour certain essais déjà concluant (thérapie en phase II) Comme je le disais préalablement chacun preche pour sa paroisse mais les chercheurs font leur maximum pour arriver aux meilleurr resultats. Le temps joue en notre faveur et l'éphémère de la vie fait que l'on voudrais un traitement de suite. Mais en 24 ans de tétraplégie je me réjouit qu'un essai clinique tel que celui-ci* qui, dans quelques temps, permettra d'éviter à des blessés médullaires de subir la para/tétraplégie toutes leur vie. Au passage : A 19 ans, j'ai eu une contusion à la moelle épinière et j'ai aujourd'hui 44 ans *(lisez l'article et vous comprendrez mieux) |
Gyzmo34:
--- Citation de: mick 74 le 27 octobre 2015 à 18:37:04 --- si cela est la solution pourquoi ne pas l'appliquer --- Citation de: patrickp le 27 octobre 2015 à 17:33:49 --- Si il y a une chose de sure c'est qu'il y a un potentiel financier énorme !! Les cellules souches seules ne suffiront pas car il faudra réparer la cicatrice gliale .... Avec un implant neurogel et une stimulation électrique le résultat sera plus sur !!! --- Fin de citation --- --- Fin de citation --- --- Citation de: patrickp le 27 octobre 2015 à 19:05:32 ---il manque le financement --- Fin de citation --- La France dans le monde est très très loin en terme de financement de recherche sur la moelle épinière :rolleyes: Les grosses fondations de recherche ont les moyens parce que leur pays soutien la recherch +les GROS donateurs. En comparaison : Les effort de la France à multiplier ce type de recherche ressemble à l'accessibilité en France !!!!!!! CA N'AVANCE PAS !!! Et mis à par "le téléthon" ou la France ce mobilise pour des personnes handicapés ... enfin, un peu beaucoup par média d'enfant handicapés, de cas exceptionnels, malheureux, ou, entre parenthèse, le handicap est festif et aucunement tabou :rolleyes: les grands groupes Français sont ou ? Que soutienne les grands groupes en France ? Des fondation qui permettent de défalqué quelques euro (aux impôts) :confused: Chacun preche pour sa paroisse, nous pour trouver un remède rapidement, la France pour les dépenses de santé, les millionnaires en veulent toujours plus et il reste les dons des millions de Français qui on du coeur :sm6: ou qui paie trop d'impot :sad: C'est ça, la richesse de la France (qui n'est pas un cas unique) :cool: Si Grégoire Coutine fait ses recherches en Suisse, ce n'est pas un hasard !!! Mais ça, c'est une autre histoire ... :wink: ... ...Garder la santé, c'est important !!! Sur cette belle conclusion :evil: Bonne nuit aux tardifs :evil: Marc :sm5: :sm5: :sm5: |
patrickp:
Soyons clairs, je n'ai jamais dit que le neurogel serait utile pour le Pr Courtine , lui a choisi de court ciircuiter la cicatrice , pour le Neurogel il faudra la supprimer , elle a été testée sur des animaux donc il y a un potentiel. Le Pr a les moyens de l'EPFL tant mieux pour lui. |
Gyzmo34:
Les cellules souche sont utiliser dans diverses thérapie mais elles sont très complexe et certainement pas magique. Le Pr Courtine exploite les cellules souches +un cocktail de molécules +de l'électrostimulation implanté Le 10 janvier 2015 l'article ci-joint à été édité sur le site ALARME : Un nouvel implant neuronal permet à des rats paralysés de remarcher ! Telle est la prouesse technologique qu’ont réalisé des scientifiques de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne. L’annonce, publiée dans la dernière édition du magazine Science, est la suite – logique- des travaux de l’équipe suisse qui avait déjà beaucoup fait parler d’elle. En effet, en 2012 l’équipe du chercheur Grégoire Courtine de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) parvenait à rétablir la locomotion de rats paraplégiques, en stimulant leur moelle épinière lésée de manière à la fois chimique et électrique et en les soumettant à un entraînement physique soutenu. Pour s’intégrer parfaitement au tissu vivant, il en imite presque les propriétés mécaniques – Stéphanie Lacour « Pour espérer appliquer cette technique à l’humain, il fallait imaginer un implant multifonctionnel, capable d’assurer ces stimulations chimique et électrique et pouvant être installé à long-terme sur la moelle épinière sans l’endommager», expose Stéphanie Lacour, chercheuse en neurotechnologies au Centre de Neuroprotheses de l’EPFL co-auteure de l’étude. Aujourd’hui, mission accomplie ! L’implant baptisé e-Dura est conçu pour s’appliquer précisément à la surface de la moelle ou du cerveau. « Pour s’intégrer parfaitement au tissu vivant, il en imite presque à l’identique les propriétés mécaniques, poursuit-elle. DURE-MÈRE. « Il mime la dure-mère, c’est à dire cette membrane élastique et souple qui recouvre l’intérieur du crâne et de la colonne vertébrale pour protéger les neurones qu’ils contiennent. C’est tout à fait nouveau». Jusqu’à présent, en effet, les implants neuronaux existant étaient plus rigides. « Les frottements contre les tissus nerveux entraînaient des inflammations, des tissus cicatriciels, des réactions immunes ou des rejets. » D’après la publication de Science, rien de tout cela n’arrive avec le nouvel implant. L’implant accompagne les mouvements de la moelle épinière Composé de différentes couches de silicone – matériau élastique tout comme la dure-mère – l’e-dura accompagne les mouvements naturels de la moelle épinière et reste en place. Testé deux mois sur des rats, il n’a pas été altéré et a maintenu son efficacité : « La stimulation chimique est assurée par des canaux microfluidiques qui délivrent des substances. Les stimulations électriques sont, elles, réalisées par des pistes électroniques étirables, faites d’or craquelé et des électrodes souples de 100 micromètres de diamètre d’un matériau nouveau (silicone et microbilles de platine). » Et les rats récupèrent la marche tout comme dans les expériences précédentes. L’objectif est à présent d’adapter cet implant à l’homme. Mais les matériaux étant nouveaux, leur autorisation d’utilisation pour des essais cliniques peut prendre plusieurs années. --- Citation de: patrickp le 27 octobre 2015 à 17:33:49 ---Si il y a une chose de sure c'est qu'il y a un potentiel financier énorme !! Les cellules souches seules ne suffiront pas car il faudra réparer la cicatrice gliale .... Avec un implant neurogel et une stimulation électrique le résultat sera plus sur !!! --- Fin de citation --- Patrick, Le Pr Courtine à travailler des années sur le cocktail de molécules qui donne des résultats (perpétuellement en évolution). Le neurogel n'est, et d'une, pas tester cliniquement et sans doute pas compatible avec la procédure du Pr Courtine. Entre le réelle et l'improbable les chercheurs ne vont pas mettre des années de travail en l'air pour reprendre à zéro leurs propre avancées !!! Et cela pour un neurogel dont l'association veut conserver le brevet malgré le manque de financement ! Tu as totalement raisons en disant : Si il y a une chose de sure c'est qu'il y a un potentiel financier énorme !! La recherche sur le neurogel dont l'association alarme à participer au financement (Thierry précisera l'année) a eu sa chance mais il n'a jamais été prouvé quelle était efficace a travers la cicatrice gigale. Des plans sur la comète je peu en envisagé aussi et dans 3 mois les blessés médullaires auront des thérapies à porter de mains |
patrickp:
super |
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