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Mon cher Vincent, je ne réponds que sur le 1er aspect de ton post car je ne sais pas, sur cette nouvelle interface, surligné en gris.Pas de soucis pour ta procédure.Si tu avais pris la peine de parcourir le site qui me soutient tu saurais tout.Pour aller en Cassation ton escroc doit purger ( je souligne ) le jugement d'appel, c'est-à-dire te payer ( je souligne deux fois ).La cassation n'est pas suspensive.Si tu veux plus d'infos., en privé, mais sache que tu le tiens.
Je n'ai jamais rencontré moi-même cet avocat, et là j'ai sans doute fait une erreur.
Je me pose toujours la question de savoir si c'est vraiment foutu pour moi, et j'enrage de savoir qu'à très peu de temps près j'aurais pu, très légalement, obtenir réparation.
Peut-être ça vaudrait-il le coup, perdu pour perdu, que j'aille quand même soumettre ma situation à un avocat, mais pas question que ce soit n'importe quel avocat
Peut-être pourriez-vous me donner des idées ?
Oui marc c'est exactement ça, 180 000 euros. Mais il ne s'agit que de ce que j'ai reçu en provisions, j'espère bien obtenir une "rallonge" conséquente une fois l'indemnisation globale définie.
Pour ce qui est de choisir un avocat indépendant des assurances, ca n'est malheureusement pas marqué sur leur carte de visite. Quant à ceux qui sont "spécialisés" dans la réparation juridique du dommage corporel, il y a des bons et des escrocs.
L'APF m'avait conseillé maitre L.. Je l'ai rencontré et j'ai senti une embrouille car il ne demandait rien pour l'ouverture du dossier, ne demandait qu'un 10% à la fin et sentait fortement le copinage avec les assureurs. Dans le doute, j'ai préféré ne rien commencer avec lui.
Cela dit, un état des lieux d'octobre 2004 montre que 90% des paratétra préfèrent le chèque misérable de leur assureur plutôt que d'attaquer en justice et d'obtenir 30 à 50 % de mieux.
L'assureur fait trainer en ne présentant pas aux audiences ou en demandant des reports.
Voilà, tout est dit.
Conclusion : ATTAQUEZ VOS ASSUREURS AU TRIBUNAL MEME CEUX QUI VOUS EXPLIQUENT QUE VOUS N'AVEZ DROIT A RIEN !
Car à mon avis et à celui de mon avocat, ce problème risque fort de faire jurisprudence pour vous tous pour que les avocats arrêtent de profiter de notre méconnaissance du milieu juridique, de notre effondrement psychologique pour nous faire signer n'importe quoi et nous sucer jusqu'au sang en enrobant le tout de bonnes paroles.
Les événements ci-dessous sont couverts par la garantie socle. Les contrats peuvent proposer des garanties plus larges.Les accidents de la vie privée (hors accidents de la route)Ce sont les événements soudains et imprévus, individuels ou collectifs, survenant hors de l'activité professionnelle de l'assuré et dus à des causes extérieures. Sont donc couverts les dommages corporels consécutifs à un accident domestique (chute, brûlure...), à un accident dans le cadre des loisirs (sport, voyage...), mais aussi ceux subis lors d'une catastrophe naturelle (tempête, avalanche, tremblement de terre...) ou technologique (effondrement d'un magasin, intoxication alimentaire...).Les accidents médicaux On considère qu'il y a accident médical lorsqu'une opération, un examen de prévention ou de diagnostic ou encore un traitement a entraîné chez le patient assuré une détérioration de sa santé exceptionnelle et anormale, indépendante de l'évolution de l'affection en cause et de l'état antérieur.Les accidents dus à des attentats ou à des infractionsIl s'agit des dommages corporels causés par une bombe, une voiture piégée... mais aussi des conséquences d'une agression physique dans la mesure où la victime n'avait pas participé à un attentat ou à une rixe.Les personnes assuréesLa garantie des accidents de la vie est un contrat familial. Elle couvre le souscripteur, son conjoint, son concubin (y compris dans le cadre du Pacs) jusqu'à l'âge de 65 ans et leurs enfants fiscalement à charge.Les préjudices indemnisésLes indemnités sont déterminées par référence au droit commun. Elles prennent en compte le taux d'incapacité et les conséquences de l'accident sur la vie professionnelle de l'assuré.En cas de blessures graves :l'incapacité permanente partielle, dans la mesure où elle est au moins égale à 30 % ;le remboursement du coût d'une tierce personne si l'état de santé de la victime rend sa présence nécessaire ;la réparation des souffrances, appelée pretium doloris ;le préjudice esthétique ;le préjudice d'agrément (impossibilité de se livrer à un sport, par exemple).L'importance des séquelles est déterminée par un médecin expert, par référence au droit commun (c'est-à-dire comme un médecin expert le ferait devant un tribunal pour un recours contre un responsable).En cas de décès : le préjudice économique et le préjudice moral, subis par les ayants droit.Les délais d'indemnisationLes indemnités doivent être proposées dans des délais inspirés de la loi Badinter (indemnisation des accidents corporels de la circulation) et au plus tard dans les cinq mois qui suivent la date à laquelle l'assureur a eu connaissance de la consolidation ou du décès de l'assuré. Le règlement des sommes convenues doit intervenir dans un délai d'un mois à partir de l'accord de la victime.
conscernant les avocats maitre collard est aussi tres specialisée :)