SANTE ET SOINS > Les vessies neurologiques & l'appareil digestif |
sondage intermitant et longue séance d'activité sportive |
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terryfrogger:
c'est sur que les activités ambulancières ne sont pas, normalement, des plus agitées… c'est sur aussi que le système dont je te parle est moins fiable a priori, qu'une sonde à ballonet… Maintenant, au niveau "décollement" (décollaaaaage…!!) de Pénilex, t'as déja plus le problème de l'humidité, et même si tout se barre dans ton fute, y a pas de drame, vu que ton sphincter en acier cémenté prend le relais naturellement… pas d'inondation. (vérifié !) A la limite, si ça ne "tient" que la matinée… ben t'as déja skié la matinée !! (de quoi on se plaint ?) Ce ne sont que des eléments supplémentaires de reflexion, mais tu fais bien de le signaler, le mieux serait un retour d'expérience… Que tu nous donneras peut etre, du coup ? En cas de difficultés, oublie moi s'il te plait… :wink: |
pikinette:
Non non pas du tout, moi non plus je ne bois pas quand je suis au boulot ... pas pratique chez les patients. Les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés ^^ |
Quiquotte:
Bonjour Carreau, Ma solution au ski, qui je le sais n'est pas à utiliser mais qui fonctionne très bien pour ma part... J'ai un stimulateur de Brindley et donc une vessie complètement continente, donc pas de fuite par trop plein possible mais un risque de globe vésical si je ne fais pas attention. Au ski, afin d'éviter les contraintes de quitter la coque, aller aux toilettes, rentrer dans la coque et donc solliciter un max les accompagnateurs et perdre de longs moments sur les pistes et bien je restreins énormément la quantité de liquide que j'absorbe à partir de la veille au soir. Je bois beaucoup avant et beaucoup après. Entre la veille au soir au coucher et jusqu'à ce que je retrouve mon fauteuil après la journée de ski. Je bois en tout et pour tout 50 cl, et évite tout aliment diurétique, puis je me rue sur la bouteille après la journée de ski. Pikinette va hurler, je le sais, mais j'assume. :shocked: Je fais comme ça depuis 1992 et n'ai jamais eu de souci quel qu'il soit du côté de la vessie ou des reins en hiver. Tu parles de sphincters bloqués, donc cette "méthode" marchera peut être pour toi aussi... |
carreau:
1 - merci caro23 pour ton avis, effectivement, on peut toujours interrompre son activité sportive mais c'est pas toujours très cool pour l'entourage et le problème réside surtout dans le fait que j'ai du mal à maîtriser le moment du sondage car la vitesse de remplissage de ma vessie peut être très rapide. Dans le cas du ski alpin, à peine sanglé dans le matériel de ski et effectué la première descente qu'il me faut déjà sortir de mon matériel pour éliminer les boissons du petit déjeuner ------ 2 - merci Thierry pour ton expérience, le cas de l'activité "ambulance" est qu'il est facile de visualiser et contrôler les choses. pour ce qui est des activités plus contraigantes et sans contrôle facile, la question est : y a t il des personnes qui pratiquent habituellement ce bricolage et avec sureté Personnellement, j'ai toujours eu à batailler avec les penilex qui se décollent la plus pard du temps assez rapidement (car ma peau ne supporte pas bien ? à cause de la chaleur ?) et mon sphincter est bloqué comme la porte d'un coffre fort suisse A+ |
terryfrogger:
Y a la solution "de base" Pénilex et poche sur la jambe, mais faut bien entendu avoir le sphincter qui va avec… Sinon, perso sur les longs trajets ambulanciers, on utilisait une sonde classique, mais "sèche", avec de la xilocaïne comme lubrifiant, coincée dans le pénilex et donc fonctionnant comme une sonde à demeure. Comme y a pas de ballonet, faut bien la scotcher sur ta cuisse, mais si tu danse pas le jerk ça doit tenir. A part ça je vois pas… |
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