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et aussi du point de vue cellules embryonnaire dérivées..pas encore testé pour des raisons éthiques,
Le principal objectif de cet essai clinique dit de phase 1 est d'évaluer la fiabilité et la tolérance à ces cellules chez des personnes paralysées à la suite d'une blessure à la moelle épinière. Les volontaires doivent avoir été blessés récemment et recevoir les GRNOPC1 dans une période de moins de 14 jours.
De plus, il est étonnant que l'intervention ait été effectuée chez un patient porteur d'une lésion ancienne, les chances de succès étant plus minces dans ce cas.
"Le Quotidien du Médecin - Dernière heure - 12/10/2010 Une première mondiale : un patient traité par cellules souches humainesAux États-Unis, les autorisations temporaires ont été délivrées et un homme souffrant des suites d’une blessure de la moelle épinière a reçu des cellules dérivées de cellules souches embryonnaires humaines (SEh) dans le cadre d’un essai de phase 1..."
21 AVRIL 1997- № 6052 "QUOTIDIEN DU MEDECIN"Traumatisme médullaire : des Suédois tentent une greffe de tissu fœtal humainDes Suédois viennent d'effectuer, pour la deuxième fois, une transplantation de tissu médullaire fœtal humain chez un patient présentant des lésions de la moelle épinière. Interrogé par « le Quotidien », le Pr Alain Privât (INSERM U 336, Montpellier), qui, le premier en France, avait réalisé ce type de greffe chez l'animal, confirme l'intérêt de cette technique.Depuis une dizaine d'années, explique le Pr Privat, différentes équipes dans le monde réalisent des greffes de ce type sur des modèles animaux (rat et singe).« En France, explique-t-il, nous avons été les premiers à montrer, dès 1986, que l'on pouvait rétablir une locomotion automatique par la greffe de cellules embryonnaires chez le rat dont, la colonne vertébrale a été sectionnée. Nous nous sommes toutefois orientés vers des autogreffes de cellules génétiquement modifiées parce que, après discussion et réflexion, nous avons estimé que l'utilisation de cellules fœtales humaines pose des problèmes non seulement techniques mais surtout éthiques. Un risque de dérive. Pour le Pr Privat, les dérives sont, en effet, possibles, « car la demande est forte, rien qu'en France ily a chaque année un millier d'accidentés de la moelle quideviennent hémiplégiques ou paraplégiques. Et l'on sait très bien que dans certains pays on n'hésite pas, devant la pression, à déclencher des avortements pour se procurer des cellules embryonnaires de la maturité appropriée ».L'utilisation de cellules non nerveusesL'essai suédois est donc intéressant, estime le chercheur : « Il va permettrede mieux comprendre la physiopathologie de ces lésions. Cependant, nous nous tiendrons à notre programme de recherche. Celui-ci consiste à utiliser des cellules non nerveuses, par exemple des fibroblastes modifiés génétiquement par l'incorporation de fragments de génome clonent. Cette manipulation permet la. Synthèse de neuro transmetteurs ou de facteurs de croissance. » Les travaux réalisés en France sont coordonnés par FIRME (Institut pour la recherche sur la moelle épinière) qui est une fédération de laboratoires de recherche et de laboratoires hospitaliers, indique le Pr Privât. « Il nous ont permis de court-circuiter l'utilisation de matériel embryonnaire huma in. En 1996, en collaboration avec une équipe d'électrophysiologistes parisiens, nous avons montré que la perte neuronale était compensée par la greffe, puisqu'il y avait une réinnervation monoaminergique. »Dr Mara NGUYEN
Un traumatisé médullaire greffé avec des cellules fœtalesUne première mondiale qui soulève des problèmes éthiquesSOURCE Agence France Presse.1997 Un traumatisé médullaire vient de bénéficier d'une transplantation à partir de cellules de moelle épinière d'un fœtus avorté, et l'intervention semble avoir réussi. C'est ce qu'a annoncé l'hôpital universitaire d'Uppsala (Suède), où s'est déroulée la greffe effectuée par le Pr Lennart Persson, secondé par un neurochirurgien américain. Cette même équipe aurait réalisé une intervention comparable, il y a six semaines, chez un autre patient présentant un traumatisme médullaire ancien. Selon les contrôles radiologiques, les cellules fœtales se seraient correctement fixées. «Le recul est insuffisant pour parler de succès»,commente d'emblée le Dr Alain Privât (Inserm U336, Montpellier). De plus, il est étonnant que l'intervention ait été effectuée chez un patient porteur d'une lésion ancienne, les chances de succès étant plus minces dans ce cas. Surtout, cette intervention constitue peut-être une première sur le plan éthique, mais pas un exploit technique. Selon ce spécialiste, les données fondamentales et de précédentes expériences "in les animaux ont largement démontré que des greffes fœtales pouvaient favoriser une repousse neuronale. « Nous étions techniquement prêts pour de telles greffes chez l'homme, mais nous avons reculé pour des raisons éthiques. Notre stratégie, plus prudente, est de mettre au point des auto greffes, à partir de fibroblastes transfectés avec des Adénovirus. »DrS.C
bonne nouvelle si l'on croit certains chercheurs en neuro ,il y aura une therapie contre les lesions medullaires d'ici 4 ans.esperons qu'ils auront raison.
L'animatrice qui a fautè sur la moelle epiniere dans l'emission sur la sante est....medecin!!!enfin nul n'est parfait.
@thierry..tu as pense au rejet et a la cidatrice.comment les eviter?
franchement ,des essais sur de minuscules souris vivant que 2 ou 3 ans avec une moelle epiniere toute rikiki ne m'interpellent pas assez.
c'est vrai que parfois ,les journalistes ecrivent presque n'importe quoi.une fois ,j'ai entendu une animatrice d'1 emission sur la sante connue dire que la moelle epiniere se terminait au niveau de la 12eme vertebre thoracique!!!
Plusieurs millions de dérivés de cellules souches vont être injectés au patient pendant 7 à 14 semaines au niveau des vertèbres à la hauteur du thorax
merci ma patrickAnneso