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Cannabis et douleur neuropathique - Sativex |
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Alex J.:
Ci-joint ici le lien vers le premier livre qui traite des cannabinoides en médecine, traduction d'un ouvrage allemand : Cannabis en Médecine - Dr F Grotenhermen (Editions Indica - 2009). J'ai pu rencontrer au Congrès IACM en octobre dernier le Dr Russo qui pilote les essais sur le SAtivex. La mise sur le marché européen est très proche, avec AMM en angleterre pour fin d'année. Ainsi le médicament sera bientot disponible aussi pour les français. Amicalement Alex, Membre IACM, ICRS CCIC |
lotus28:
Bonjour j'ai trouver ceci si sa peu aider j'ai assayer le canabis et sa fonctionne mais il faut pas en abuser!! Positif: Appétit: Les consommateurs ont souvent (mais pas toujours) une stimulation de l'appétit. Ce qui fait du cannabis un excellent médicament contre l'anorexie. Fumer de la marijuana peut rendre la bouche plus sèche. C'est la meilleure manière de s'assécher le palais de façon non toxique. Cet usage pourrait remplacer les composés hautement toxiques de Probathine (médicament contre l'hyper salivation). Le cannabis pourrait aussi se montrer utile dans le traitement des ulcères peptiques. Sommeil et relaxation: Le cannabis abaisse la pression sanguine, dilate les artères, et réduit la température corporelle d'un quart de degré, ce qui contribue à atténuer le stress. Les personnes qui fument du cannabis le soir disent en général mieux dormir ensuite. Contrairement au Valium, le cannabis ne potentialise pas les effets de l'alcool. On estime que le cannabis pourrait remplacer plus de 50% du Valium, Librium, Thorazine et autres somnifères. Ces neurotoxines délivrées sur ordonnance sont des produits chimiquement voisins des pesticides et du gaz neurotoxique "sarin". Douleur (analgésique): Il n'existe que quelques études cliniques sur les cannabinoädes dans le traitement de la douleur. Dans un essai, le THC administré par voie orale s'est révélé efficace pour les douleur du cancer à des doses de l'ordre de 15mg et 20 mg. Cependant, chez certains patients, des effets secondaires non tolérés ont été observés. Dans une étude de cas individuel en double aveugle, un patient atteint de la fièvre méditerranéenne a pu diminuer la dose des opiacés alors qu'il était sous traitement avec du THC en comparaison avec le placebo. Le cannabis a été utilisé avec succès dans la médecine populaire moderne pour une multitude de douleurs, parmi lesquelles la migraine et autres formes de maux de tête, les déréglements musculo-squelettiques, les névralgies, les neuropathies, les règles douloureuses, la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn, etc. Effets désinfectants, antibiotiques et antibactériens: Les jeunes plants de chanvre, avant bourgeonnement, permettent l'extraction du CBD (acide cannabidiolique). Il existe de nombreuses application antibiotiques des cannabidiols, y compris dans le traitement de la blennorragie (maladie sexuellement transmissible, due au gonocoque). Une étude en Floride en 1900 semble aussi indiquer leur utilité dans le traitement de l'herpès. Eléments acides du tétrahydrocannabinol, les cannabidiols sont inversément proportionnels, en quantité, au THC présent dans la plante, et donc plus acceptables pour les prohibitionnistes parce qu'ils ne permettent pas de "planer". Pour presque chaque affection susceptible d'être soignée à la téramycine, les dérivés du cannabis ont fait mieux, d'après une étude tchèque conduite en 1952-1955. En 1989, les Tchèques publiaient encore des rapports sur les techniques de culture du chanvre pour obtenir une plante riche en cannabidiols. Nausées (dans le cas de chimios): Les traitements de chimiothérapie contribuent à influencer sur le cancer et le sida, mais ils présentent des effets secondaires pénibles, notamment des nausées. "La marijuana est le meilleur agent pour contrôler les nausées dans la chimiothérapie cancéreuse" d'après le Dr. T. Ungerleider, responsable du programme de recherche sur la marijuana et le cancer de 1979 à 1984. C'est également vrai dans le cas du sida et des nausées dues au mal de mer ou de l'air. Traitement du glaucome: Aux Etats-Unis, 14% des cas de cécité sont la conséquence du glaucome, une perte progressive de la vision. Le cannabis serait deux à trois fois plus efficace que tous les médicaments actuels dans la réduction de la pression oculaire. Il est sans effets secondaires toxiques pour les reins et le foi, et ne fait courir aucun risque de "mort soudaine" au contraire des syndromes associés aux préparations pharmaceutiques oculaires légales (en goutte) contre le glaucome. La plupart des ophtalmologues de Californie conseillent à leurs patients atteint de glaucome de consommer de la "marijuana de la rue" en sus des médicaments légaux, mais toxiques, qu'ils leurs prescrivent, soit pour ses propres vertus, soit pour en atténuer l'effet des premiers. Epilespsie, sclérose en plaques, douleurs dorsales, spasmes musculaires: Le cannabis est bénéfique à environ 60% des épileptiques. L'extrait de cannabis se montre encore plus efficace que le Dilantin (anti-épileptique fréquement prescrit, mais dont les effets secondaires peuvent être graves). "Le cannabis est propbablement l'anti-épileptique le plus puissant connu à nos jours en médecine et peut servir de traitement pour de nombreuses formes d'épilepsie (mais pas toutes)" pouvait-on lire dans Medical World News en 1971. Les crises sont alors moins fréquentes et moins fortes que chez les patients prenant des produits pharmaceutiques. Fumer de la marijuana soulage profondément les personnes souffrant de sclérose en plaques, maladie qui affecte le système nerveux et se traduit par une faiblesse du tonus musculaire, des tremblements, etc. Enfin, le cannabis, fumé ou même appliqué en cataplasme, est aussi le meilleur relaxant musculaire, le meilleur antispasmodique et le meilleur traitement des douleurs dorsales, si l'on excepte la morphine. Sida, dépression et autres usages médicaux fondamentaux: L'un des effet bien connu du THC est son côté euphorisant. Les utilisateurs jamaicains reconnaissent ses effets bénéfiques pour la méditation, la concentration, l'élévation de la conscience et la création d'un état de bien-être et d'affirmation de soi. Ce mode d'ajustement des attitudes, renforcé par un meilleur appétit et un meilleur repos représente parfois toute la différence entre "mourir du sida" et "vivre" avec le sida. Le cannabis soulage les petites douleurs, et aussi certaines des grandes et pourrait contribuer au mieux-être des gens âgés, affligés de maux comme l'arthrite, l'insomnie et les infirmités débilitantes. Il leur permettrait de profiter de la vie avec à la fois plus de dignité et de confort. Asthme: Fumer du cannabis (ce que l'AMA appèle la "drogue brute") serait bénéfique à 80% des asthmatiques et prolongerait considérablement leur longévité, par rapport aux médications actuelles toxiques comme par exemple la Théophylline que l'on prescrit aux enfants. Le Dr. D. Tashkin déclara le 12 décembre 1989 qu'"il est connu que prendre quelques bouffées de marijuana peut arrêter une crise d'asthme majeure". L'utilisation du cannabis par les asthmatiques remonte à des milliers d'années. Les lésions liées au THC pouvant être provoquées par la fumée du cannabis dans les poumons, ne contiennent pas de radioactivité contrairement aux lésions provoquées par le tabac. Expectorant: Le cannabis est le meilleur expectorant naturel pour nettoyer les poumons des goudrons, poussières et phlegmes associés à l'usage du tabac. La fumée de la marijuana dilate effectivement les voies aériennes, les bronches et permet l'admission de davantage d'oxygène dans les poumons. Le cannabis est également le meilleur dilatateur naturel des minuscules conduits menant aux alvéoles pulmonaires, et il peut convenir pour cet usage à environ 80% de la population (les 20% restant manifestant parfois des réactions négatives mineures). Beaucoup de coureurs de fond estiment que l'usage du cannabis nettoie leurs poumons et leur donne une meilleure endurance. Emphysème: Le Dr Tashkin a utilisé de la marijuana sur des patients souffrant d'emphysème et a admis que cela leur faisait du bien à cause de l'ouverture et de la dilatation des passages. Tumeurs: Prolifération anormale de cellules, aboutissant à une surproduction tissulaire. Des chercheurs de la faculté de Médecine de Virginie ont découvert que le cannabis était un produit d'une grande efficacité dans la réduction de nombreux types de tumeurs, soit bénignes, soit malignes (cancéreuses). Arthrite, herpès, fibrose kystique et rhumatismes: Le cannabis est un analgésique local. Jusqu'en 1937, presque tous les emplâtres, les cataplasmes de moutarde ou autres, et les onguents musculaires, comportaient des extraits de cannabis. Jusque dans les années 1960, en Amérique du Sud, on traitait les rhumatismes avec des feuilles de chanvre et/ou avec des terminaisons florales chauffées dans de l'eau ou de l'alcool et placées sur les articulations douloureuses. En fait, cette forme de traitement par les simples herbes est encore largement utilisée dans le Mexique rural, en Amérique centrale et en Amérique du Sud, ainsi que par les latinos de Californie, afin de soulager les douleurs de l'arthrite. Le contact direct avec le THC tue le virus de l'herpès, d'après une étude de l'Université de Floride du Sud (Tampa) menée en 1990 par le Dr. G. Lancz, qui avertit néanmoins que "fumer de la marijuana ne guérira pas un herpès". Cependant, des rapports semblent indiquer une plus grande rapidité de dessiccation et de guérison des lésions après application locale d'inflorescences "fortes" trempées dans de l'alcool à friction et broyées en pâte. Stress et migraines: Le cannabis est le meilleur traitement pour lutter contre le stress. La réaction la plus courante à une "intoxication au cannabis" est un état calme, légèrement euphorique, dans lequel le temps ralentit et où la sensibilité à la vue, aux sons et au toucher est exaltée. Contrairement à l'abus des benzodiazépines, il n'y a pas de danger d'accoutumance maladive. Alors que le tabac contracte les artères, le cannabis les dilate. Les migraines étant le résultat de spasmes artériels combinés avec un état trop détendu des veines, les changements vasculaires induits dans les méninges par le cannabis les font en général disparaître. Anorexie et cachexie: L'effet stimulant de l'appétit du THC peut déjà être observé à partir d'une dose de 5 mg de THC répartie quotidiennement. Le dosage peut être augmenté jusqu'à 20 mg par jour si nécessaire. Lors d'une étude de longue durée chez 94 patients atteints du sida, l'effet stimulant de l'appétit de THC a pu être conservé pendant des mois, ce qui confirme la stimulation de l'appétit observée lors d'une étude plus courte de six semaines. Comparé au placebo, le THC a doublé l'appétit sur une échelle visuelle analogue. Les patients ont plutôt conservé un poids stable pendant sept mois. Une influence positive sur le poids a également été rapportée chez 15 patients atteints de la maladie d'Alzheimer, qui auparavant refusaient de s'alimenter. Troubles du mouvement: Il existe des expériences positives dans le traitement du syndrome de la Tourette, des dystonies et des dyskinésies tardives avec du cannabis. L'utilisation dans le syndrome de la Tourette est actuellement étudiée dans le cadre d'études cliniques. La plupart des patients bénéficient d'une légère amélioration, quelques-uns cependant font l'objet d'une amélioration remarquable, voire même un contrôle total des symptômes. Chez des patients atteints de sclérose en plaques, on a pu observer des effets anti-ataxiques après l'administration de THC, ainsi qu'une diminution des tremblements. Malgré quelques rapports positifs, les effets bénéfiques n'ont pas été observés dans le cas de la maladie de Parkinson et de chorée de Huntington. Cependant, des produits à base de cannabis pourraient éventuellement être utilisés contre la dyskinésie déclenchée par l'administration de L-Dopa dans la maladie de Parkinson, sans aggraver les symptômes de base. Dépendance et état de manque: D'après des rapports historiques et modernes, le cannabis est un moyen approprié pour combattre l'état de manque dans la dépendance aux benzodiazépines, aux opiacés et à l'alcool. C'est pour cette raison que certains l'appellent drogue d'abandon. Dans ce contexte, non seulement la diminution des symptômes physiques du manque, mais aussi la réduction du stress lié à l'abandon de la consommation de stupéfiants pourraient jouer un rôle dans les effets positifs observés. Symptômes psychiatriques: Dans différentes études cliniques sur le THC, on a observé une amélioration de l'humeur dans des dépressions réactives. Il existe d'autres rapports de cas indiquant les bénéfices des cannabinoädes dans le traitement d'autres maladies ou symptômes psychiatriques, tels que les troubles du sommeil, l'anxiété, les troubles bipolaires et les états dépressifs. Différents auteurs ont formulé différents points de vue concernant les syndromes psychiatriques et le cannabis. Tandis que certains mettent plutôt l'accent sur les problèmes causés par le cannabis, d'autres soulignent les possibilités thérapeutiques. Il est possible que les produits à base de cannabis soient bénéfiques ou nocifs. Il appartient au médecin et au patient d'être ouverts à un examen critique du sujet et sensibles aux deux possibilités. Maladies auto-immunes et inflammations: Pour un certain nombre de syndrômes douloureux et inflammatoires (par ex. colite ulcéreuse, arthrite) les produits à base de cannabis sont non seulement analgésiques, mais démontrent également un potentiel anti-inflammatoire. Par exemple, certains patients qui utilisent du cannabis rapportent une diminution de leur besoin en médicaments anti-inflammatoires stéroädiens et non-stéroädiens. De plus, il existe des rapport sur les effets positifs d'une automédication avec du cannabis en cas d'allergie. On ne sait pas encore si les produits à base de cannabis peuvent avoir des effets en rapport avec les processus responsables de certaines maladies auto-immunes. Divers, syndromes variés: Parmi les rapports d'expériences positives chez les patients, qui ne peuvent pas être classées dans les catégories précédentes, on note l'acouphène, la fatigue chronique, le syndrome d'impatience musculaire et autres. Des centaines d'indications possibles du cannabis et du THC ont été rapportées par différents auteurs. Les produits à base de cannabis montrent souvent de très bons résultats dans le traitement des maladies à symptômes multiples qui correspondent à la diversité des effets du THC, par exemple contre les douleurs d'origine inflammatoire (par ex. l'arthrite), ou qui s'accompagnent d'une augmentation du tonus musculaire (par ex. règles douloureuses, lésions de la moelle épinière), ou pour les maladies qui s'accompagnent de nausée et d'anorexie en combinaison avec des douleurs, des états d'anxiété ou de dépression (par ex., sida, cancer, hépatite C). Negatif: Effets secondaires aigus: Parmi les effets secondaires psychiques connus, on note : sédation, euphorie ("High"), dépression anxieuse, peur de la mort, sentiment de perte de contrôle, altération de la mémoire, perception du temps altérée, dépression et hallucinations. Dans le cas d'effets secondaires psychiques importants, il est conseillé d'emmener la personne affectée dans un endroit tranquille et de la rassurer. La faculté de penser et les performances psychomotrices sont réduites. Une réduction discrète de la capacité psychomotrice peut être observée jusqu'à 24 heures après l'administration de THC. Parmi les effets secondaires physiques aigus, on compte souvent sécheresse de la bouche, troubles des mouvements, faiblesse musculaire, troubles de l'élocution, accélération de la fréquence cardiaque, diminution de la tension artérielle en position debout, parfois accompagnée d'une sensation de vertige. En cas de vertige, la personne affectée devrait s'allonger. En position allongée, la tension artérielle est légèrement élevée. Nausées et maux de tête ont rarement été rapportés. Tous les effets secondaires aigus sont fonction de la dose et s'estompent généralement en quelques heures, ou en 1 à 3 jours sans traitement spécifique. Effets secondaires d'une thérapie de longue durée: Le développement d'une tolérance a été décrit pour une multitude d'effets, dont les effets psychiques, la diminution psychomotrice, les effets sur le cÅur et la circulation, les effets sur le système hormonal, la pression oculaire, les effets antiémétiques. Ici, le mot tolérance signifie une diminution de l'effet sur la durée d'un traitement au cannabis. La tolérance peut apparaître avec des doses répétées lors d'un traitement de plusieurs semaines, de manière différente pour différents effets. Le cannabis possède un potentiel de toxicomanie. La dépendance ne pose pas de problème dans le traitement des maladies, mais les symptômes de l'état de manque peuvent être indésirables. Les symptômes du manque n'ont jusqu'à maintenant pas encore été décrits chez les patients traités à long terme avec du THC. Par contre, les symptômes du manque ont été observés chez les usagers récréatifs. Ainsi, des symptômes psychiques (anxiété, nervosité, insomnie) et des symptômes physiques (salivation, diarrhée) peuvent apparaître. Une influence néfaste sur l'évolution ultérieure d'une psychose est possible. L'apparition d'une psychose peut éventuellement être avancée ou déclenchée chez les personnes prédisposées. Les cannabinoädes produisent des effets complexes sur les hormones sexuelles féminines et masculines, dont l'importance clinique dans un dosage thérapeutique est minime. Parfois, des cycles féminins sans ovulation et une altération de la production des spermatozoädes ont été observés. Dans des études chez l'animal, le THC inhibe plusieurs aspects du système immunitaire. A faibles doses, non seulement des effets immunosuppresseurs, mais aussi des effets immunostimulants sur le système immunitaire ont été démontrés. La consommation de cannabis n'accélère pas l'évolution de la maladie du sida, cependant l'administration chronique de THC pourrait néanmoins produire des effets défavorables chez des personnes ayant d'autres problèmes du système immunitaire. La fumée du cannabis: Tout comme la fumée du tabac, la fumée du cannabis contient des toxines nocives. Cest la combustion des matières végétales qui provoque ces toxines dont certaines sont cancérigènes comme les hydrocarbonés aromatiques polycycliques (HAP). Ces HAP, responsables de cancers du fumeur (gorge, poumons), sont, pour le même poids, plus nombreux et plus cancérigènes dans le cannabis que dans le tabac. On trouve aussi dans la fumée du cannabis, en plus des goudrons solides, des cyan ides hydrogènes, du monoxyde de carbone, des oxydes nitrogènes, des phénols et des aldéhydes volatiles, qui sont des toxines gazeuses nuisibles pour le système respiratoire et pour le c½ur. Des bronchites, des ulcérations de la gorge et dautres infections de la gorge et des poumons sont plus fréquemment rencontrées chez les gros usagers de fumée de cannabis. Des médecins ont relaté des cancers de la gorge chez des usagers de cannabis fumé. Le risque de cancer est aggravé par la consommation conjointe dalcool ou de tabac. Les risques augmentent au fur et à mesure de la consommation tout au long de la vie. Les personnes devant utiliser le cannabis à des fins médicales (ou récréatives) et ne voulant pas inhaler de fumée, devraient le faire en utilisant un vaporisateur (système de consommation du THC par évaporation sans brûler la matière végétale et donc sans fumée) ou en recourant à des recettes culinaires. La marijuana et les jeunes: Sans vouloir trop m'avancer sur le sujet, je tiens à dire qu'il est nocif de fumer pour les jeunes dont leur cerveau n'est pas encore totalement développé. |
fanchon:
Bonjour à tous, J'ai 2 p'tites questions, à la suite de la lecture (rapide) de ce fil de discussion : - le Canada qui a terminé l'expérimentation en a-t-il fait l'évaluation ou est-ce encore trop tôt ? - Y a-t-il des personnes sur ce forum qui ont pu obtenir une ATU nominative sur ce produit ? Merci d'avance pour vos réponses, si vous avez.... |
topend:
hello éric nan mes attend ne croit pas que je suis OQP de planer 24/24 :lol: les effet dure +/- 2/3H donc comme je fume un peut juste du soir et bien il na aucun problemme (mes je suis + au cannabis) j'ai eu un peut de mal au debut a fumer car je ne suporter pas tres bien les effet secondaire mes bon maintenant ca va mieux en + je ne fume que tres peut en quantité! comparer a quelqun qui fume en recreative il Fumera 2/3/5G en 2J moi je fume 5 G en 2 mois et c largement sufisant !!!ATENTION!!!! ce que j'ai dit la c juste a titre informatif je nest nulement lintetion de poussez quelqun a fumer ou a faire des chose ilegale FUMER ET NOCIF POUR LA SANTEE |
éric:
--- Citation de: topend le 09 août 2008 à 21:33:57 ---pourtant gt contre le cannabis a 100% avant cela ma femme a 200% elle a vu mon caractère changer du fait que au moins je sait calmer mes douleur neurologique aujourdhuit ATENTION!! FUMER ET NEFASTE ET TRES DANGEREUX POUR LA SANTEE j'ai juste fait par de mes constatation le cannabis naura certainement pas le memme effet sur tout le monde --- Fin de citation --- merci top end pour ton témoignage le seul probléme, et pas des moindres a mes yeux, comment fait on pour conduire? je souffre énormément de ces douleurs ,mais je conduis beaucoup pour mes activités, et la vie de toute ma petite famille (mon épouse n a pas le permis) je me vois mal prendre le volant ,me faire pincer par un controle ,et expliquer aux flics que je souffre de douleur ! je vais vous paraitre has been, mais avec ce produit ou les médocs qui en sont dérivé on" plane "? ( c est une question j ai jamais touché a cela) si oui ,je me vois mal risquer la vie des autres sur la route, aprés leur prise quand pense tu ?? on plane avec tous ca ? si non : l avis médicale nous couvre pour la prise ,et la conduite de véhicule ? merci pour vos réponses eric le ch' ti ps : dans le nord on a la biere du ch' ti pour planer lol!! (a boire avec modération!) |
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