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Conseils films et séries
RosenKreutz:
:lol:
Moi le problème c'est la somnolence. J'essaye de lutter, mais il n'y a rien à faire. Et c'est quand je déclare forfait que je n'ai plus sommeil.
gilles:
je voulais le regarder, et il y a eu comme un trou noir jusqu'à 2 h du matin... :reflechis: me suis réveillé avec la télécommande dans les mains, pour finalement éteindre
sans avoir vu quoique ce soit! :wobble: :icon_eek: :icon_evil:
RosenKreutz:
Hier soir sur Canal+ : Riders of Justice avec Mads Mikkelsen. Une sorte de film des frères Coen version scandinave. J'ai adoré !
Il vaut mieux ne pas chercher des noises à Markus. Quand ce militaire déployé en Afghanistan apprend que la mort de sa femme dans un accident ferroviaire n’est peut-être pas si fortuite que cela, il se transforme en une sorte d’ange exterminateur digne des héros de vigilante movies des années 1970. Incarné par un Mads Mikkelsen plus flippant que jamais – boule à zéro et barbe fournie qui surplombent un physique d’armoire à glace – ce personnage à la gâchette facile se retrouve secondé dans sa mission par une bande de geeks pas vraiment enclins à faire usage de la violence. L’un d’entre eux, Otto (Nikolaj Lie Kaas, avec lui aussi un look impayable de scientifique) est en fait un rescapé du drame, et c’est ce statisticien qui convainc Markus de la possibilité d’un attentat.
Il fait appel aux services de deux autres nerds aussi peu habitués que lui aux armes à feu, et avec l’aide de Mathilde, la fille endeuillée de Markus, ce quintet hétéroclite se lance sur la trace des « Riders of Justice », un gang qui semble bien impliqué dans cet attentat. Mais en dépit des apparences, le long-métrage d’Anders Thomas Jensen est bien plus qu’un simple revenge movie. Bourré d’humour noir digne du meilleur des frères Coen, RIDERS OF JUSTICE lorgne parfois aussi du côté d’une certaine violence tarantinesque, même si le rappel à la réalité du drame n’est jamais loin. Markus et Mathilde affrontent une perte brutale et indicible, et tous les personnages semblent lutter contre une forme de mal-être dont on devine le sérieux derrière les dialogues drolatiques dont Anders Thomas Jensen a toujours été coutumier.
RosenKreutz:
Peur primale hier soir sur Arte. Incroyable prestation d'Edward Norton ! :1427:
RosenKreutz:
Si vous aimez les séries feel good et le jazz, vous devez absolument regarder Treme ! :1427:
« Antoine Batiste est un joueur de trombone professionnel qui va de représentation en représentation afin de gagner tant bien que mal sa vie pour faire vivre son épouse, Desiree, qui travaille comme institutrice, et sa petite fille. Sa première femme, LaDonna, tient un bar en ville qui a souffert de l'ouragan, au cours duquel son frère Daymo a disparu. Elle se lance à sa recherche, et est aidée par sa courageuse avocate, Toni Bernette, dont le mari, Cray, mélancolique prof de lettres à l'Université Tulane, déprime à cause du roman qu'il n'arrive pas à écrire et de la situation catastrophique de la ville. Leur fille, Sofia, prend des cours de piano dispensés par le passionné Davis McAlary, DJ et musicien touche-à-tout, nonchalant et un brin illuminé qui entretient une relation plus ou moins régulière avec Janette Desautel, chef-cuisinier dont les activités périclitent, les affaires ayant grandement souffert à la suite du passage de Katrina. Parallèlement à cela, on suit le cheminement d'Albert Lambreaux, Chef Indien de Mardi Gras qui essaye contre vents et marées de reformer son groupe. Il est épaulé par sa fille Davina et son fils Delmond, musicien de jazz new-yorkais reconnu dans le milieu, à qui son père reproche de s'être éloigné de ses racines. Nous assistons aussi au destin de Sonny et d'Annie, deux musiciens de rue en couple qui officient au quartier français de La Nouvelle-Orléans. »
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