Auteur Sujet: Un poème que ma petite nièce m'a écrit (Lu 8559 fois)

nicnac · « **Réponse #8 le:** 19 septembre 2005 à 10:44:03 »

tres tres beau ce poeme il m as beaucoup émue ;-)
au plaisire de te lire

fanchon · « **Réponse #7 le:** 13 juin 2005 à 21:32:23 »

Quel âge a-t-elle cette petite Fanny ?

C'est adorable, et tellement juste ce regard d'enfant .....

Gros bisous à vous 2, et à bientôt parmi nous.

Amitiés
fanchon :)

nico · « **Réponse #6 le:** 12 juin 2005 à 14:14:44 »

Bonjour Christian,

Le poème de Fanny est touchant, rempli d'amour...
J'imagine que c'est une énorme bouffée d'air en ces moments douloureux, alors respire à fond, à pleins poumons :!:

Avec toute mon amitié...une immense pensée pour Virgil, et pour ta famille.

A+
Nicolas

sylvia · « **Réponse #5 le:** 12 juin 2005 à 13:42:13 »

Très, très joli

à vous deux

TDelrieu · « **Réponse #4 le:** 12 juin 2005 à 12:07:37 »

Christian,

C'est mignon comme tout... :D

@+
Thierry

Tony25 · « **Réponse #3 le:** 12 juin 2005 à 00:56:21 »

Salut,
Merci de nous avoir fait partager ce moment, fais de gros

de ma part à ta nièce.
En espérant vous lire bientôt.

chris26 · « **Réponse #2 le:** 12 juin 2005 à 00:48:23 »

Bonsoir Fanny et salut Christian

Christian tu peux dire à ta nièse un grand Bravo

Tu peux la féliciter y a pas de doute :ok: et même lui faire la

En espérant te revoir trés bientôt avec Fanny :D

Amicalement

christ701 · « **Réponse #1 le:** 11 juin 2005 à 21:38:45 »

Voila ma petite nièce m'a dédié ce petit poème.
Je l'ai trouvé tellement touchant que j'ai voulu vous le faire partager.
..............A très bientôt..........Christian

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Mon oncle,

Quand tu t’es réveillé
Tu étais allongé
Après un long coma
L’endroit te semblait froid
Tu voulus bouger
Tes jambes refusaient de remuer
Alors, tu t’es vraiment affolé

Tes cheveux raides avaient tellement poussé
Qu’un coiffeur est venu te les couper
Quand nous sommes tous venus à Dijon te voir
Tu semblais enjoué, tu avais de l’espoir

Tu parlais de ton futur
Et au fur et à mesure
Ta nouvelle maison se construisait
Sur ton ordinateur tu suivais
Son évolution de très très près

Deux ans se sont écoulés
Et là avec ton fauteuil
Seul, tu peux te déplacer
Certains regards des gens
Te laisse indifférents

Parfois le week-end nous te rendons visite,
Tu nous fais voyager à travers des sites
J’aime venir te voir, la santé recouvrée
Souriant, débordant de vitalité.

Fanny