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Exprimez-vous ! / Le défouloir
« le: 18 juillet 2022 à 23:04:23 »
2022, un parcours du combattant pour vivre en toute quiétude
Une petite présentation s’impose :
J’ai 50 ans dont 30 ans de tétraplégie, oui je suis presque totalement handicaper des 4 membres mais vivant et sain d’esprit, du coup, je dirais que je me considère comme une personne autonome mais malheureusement, dépendante. Bref, comme toute personne qui connaît Omar Sy, (vu dans une célèbre comédie ou on a pu entrevoir ce qu’était la tétraplégie), je dirais que je suis un mec qui comprend entièrement la blague : Pas de bras, pas de chocolat. Cela fait maintenant 13 ans que j'emploie des aidants à domicile pour me venir en aide, et c’est un travail qui demande un tant soit peu de rigueur, dirai-je. Cesu, salaire, gestion des plannings partagés en ligne, course, soins et papiers administratifs sont un quotidien que j’arrive à appliquer en étant aliter. Locataire d’un havre de paix depuis 2009, au passage, dans un très joli village de 2000 habitants, j’essaie tant bien que mal d’avoir une vie adaptée. En effet, j'ai arrêté de croire aux espoirs adaptés, désolé si cela choc mais la réalité est ainsi. Webmaster de l’Association Libre d’Aide à la Recherche sur la Moelle Épinière (ALARME), mais aussi assez actif dans divers rôles que je m'impose, je suis impliqué dans le monde du handicap depuis que je côtoie ce milieu. Voilou, c’est imagé assez simplement mais grosso modo, c’est un bon résumé. Et pour les personnes qui se demandent si l’autonomie à domicile est importante, vous ne serez pas déçu ! Pour ma part, il s’agit d’une avancée non négociable, tout comme le choix de son mode de vie. Avoir un corps "prison'' est déjà difficile, il n’est donc pas obligatoire de se rajouter des bâtons dans les roues.
Pourquoi aujourd’hui, j’en arrive à dénoncer ce parcours du combattant ?
En fait, après tant d’expérience comme employeur particulier, j’ai comme un goût amer pour le terme “Employeur” Car si on a tendance à penser qu’il est simple de trouver un salarié en déposant une annonce sur pôle-emploi, et bien, ce n’est pas forcément le cas. Tout comme on entend dire “bien souvent” c’est les patrons qui outrepassent leurs droits, ou tout simplement, qu’il est difficile de trouver du travail en France.
Mais qu’en est-il réellement pour nous, les PMR (Personnes à Mobilité Réduite) ?
Comme je l’ai précédemment dit, cela fait plus de 13 ans que j’offre de l’emploi, et cela n’a pas toujours été tout rose. Je ne suis pas non plus une personne toujours facile, mais en termes d’emploi, que ce soit une coiffeuse, un comptable, un charpentier, un ancien militaire ou, une aide de vie diplômées, (ou pas, d'ailleurs), je laisse une chance à tout le monde. Ce qui me pousse à envoyer ce cri d’inquiétude, c’est que depuis maintenant deux ans, je me heurte à des comportements qui dépassent tout entendement dès lors ou on n’est censé être en recherche d’un emploi, et que l’on postule en conséquence : Des réponses de deux mots à des mails, genre : Bien reçu, et cinq jours après on se pointe comme si de rien n’était. On négocie pour X, pour Y, alors que les annonces définissent les horaires, le nombre d’heures, les jours à travaillés, parfois, on me demande de modifier totalement le planning des aidants déjà en place. CDI, CDD, nombre de mois, il n’y a pas de limite, même pas celles des lois en vigueur à respecter. Des personnes s'engagent à venir mais ne donnent plus signe de vie le jour J (cela même après un entretien d’embauche). Des échanges de mails qui deviennent interminables, mais qui n'aboutissent pas : Parfois par la même personne qui a déjà postulé. J’ai comme l’impression que selon l’intérêt de certains, ma paralysie peut être mise de côté, et que les personnes déjà en poste, doivent se plier aux exigences des nouveaux postulants. J’en arrive à me demander comment les entreprises arrivent à embaucher, car si tous les demandeurs d’emploi agissaient ainsi, ce serait un bordel mal organisé, et on appellerait cela : Un service à la carte selon un désirât, et non une offre d’emploi. Est-on pris au sérieux, ou l’aide à domicile est-elle un genre de curatelle ou c’est le salarié qui décide ? Un peu de sérieux, ai-je un discours qui laisse à penser que je suis handicapé mental, ou certaines personnes font-elle un amalgame entre venir en aide et être décisionnaire ?
Un blessé médullaire en recherche d’une aide à domicile doit-il subir, ou a-t-il le choix ?
Tous ces inscrits en recherche d'une rémunération sont pourtant bien en recherche d’un travail. Ayant d'ailleurs l’obligation de fournir le nom des candidats au service entreprise de pôle-emploi, rien que pour les deux dernières annonces qui ont été publiées, je dois en être à plus de 15 demandeurs qui, pour diverses raisons (plus ou moins justifiées), ont des indisponibilités. Ce n’est pas pour autant que le temps perdu à été rentabilisé, il a même plutôt été préjudiciable pour moi, tout autant que pour les deux autres aidants qui ont un contrat de travail, et qui sont bien présents à mes côtés, 12 ans pour le plus fidèles ! Pour amener une petite touche d’humour, dernièrement, 4 personnes ont dit être harcelées par pôle-emploi, non pas à leur conseiller, non, c’est bien moi qui en ai pris plein les oreilles. La dépendance est-elle un frein à l’embauche, ou faut-il dire amène et offrir des CDI à la carte ? Cela, qu’importe le nombre d’heures, les personnes déjà en place, les besoins de chacuns, et/ou la possibilité qu’il en soit ainsi.
Ce qui me heurte dans ceci, c’est que depuis 2021, alors que j’utilise la reconnaissance faciale (ainsi qu'un clavier virtuel) pour utiliser un PC, je passe un temps incroyable à essayer d'être juste, simplement pour que chaque demandeur d’emploi ait sa chance.
Au delà de ceci, en moins d’un an et demi, j’ai par trois fois demandé à ma maman, 71 ans quand même, qui vit à plus de 300 kilomètres de chez moi, de venir compenser un manque que l’on qualifierait anormal dans une autre branche de métier. Je reconnais que devoir venir en aide à une personne en situation de handicap est un travail difficile qui n’est pas très bien rémunéré, et qu’en plus, il faut avoir une certaine délicatesse morale et humaine. Alors effectivement, il y a une pénurie dans le domaine du recrutement au niveau des métiers de la santé, mais cela étant, mes recherches sont ouvertes à tout public, aucune qualification n’est réclamée, si ce n’est une compatibilité entre deux personnes qui se doivent de trouver leur place. Un temps partiel de 100 à 120 heures par mois est-il un obstacle insurmontable ?
Ce qui a changé : Un prestataire à but lucratif qui a beaucoup à gagner, est-ce possible ? Ce n’est pas pour jeter la pierre à ce type de boîte, mais vu le nombre des sites Internet qui ont explosé depuis la mise en place de ce genre de “grossiste” qui, au passage, sous-loue de l’aide pour gagner plus, je ne pense pas que cela soit anodin, mais aussi sans conséquences pour les personnes dans ma situation.
De plus, au vue du nombre d’annonces croissantes sur le site pôle-emploi.fr pour recruter des aides de vie qui seront amenées à travailler pour des commerciaux, qui, par le biais des aident appelés plus communément, PCH, APA, facturent de l’aide à domicile à 22 € de l'heure ??? C’est ce que l’on appel lucratif, mais pour qui exactement ? Perso, je trouve qu’en termes d’aide à la personne, on recule, et cela n’a certainement pas arrangé les choses pour les aidants, tout autant que pour les aider.
Pôle-emploi dans tout ceci :
Alors que depuis des années il était possible de gérer/créer des annonces via une connexion sur : pole-emploi.fr “en tant qu’employeur particulier” voici qu’en 2020, ce service n’est plus accessible aux personnes dans ma situation. Au jour d’aujourd’hui, il faut appeler le service entreprise de pôle-emploi pour déposer une annonce, les rappeler pour la prolonger, ou en diminuer le terme, et même pour mettre fin à l’annonce en cours. Résultat : Du temps perdu, des recherches de candidats impossible pour les employeurs particuliers, et une gestion bien plus difficile par les professionnels du recrutement.
Que faut-il en conclure ?
On parle de discrimination au niveau du handicap, et en voici un bel exemple. Un petit village avec une population de personnes âgées, ou malheureusement beaucoup ont besoin de faire appel à un prestataire de services. Quelques maisons de retraite non loin, une dépendance accrue, et voilà un bon cassoulet d’aide à la personne ou l’alternative à fermer son clapet, n’est réellement pas un choix. Etre ou ne pas être (en bonne santé), là est la question !!!!!!!!
Merci à tous ceux qui ont eu le courage de lire cette partie intime de moi-même, qui malheureusement, a force de me bouffer de l’intérieur aura certainement ma peau.
Une petite présentation s’impose :
J’ai 50 ans dont 30 ans de tétraplégie, oui je suis presque totalement handicaper des 4 membres mais vivant et sain d’esprit, du coup, je dirais que je me considère comme une personne autonome mais malheureusement, dépendante. Bref, comme toute personne qui connaît Omar Sy, (vu dans une célèbre comédie ou on a pu entrevoir ce qu’était la tétraplégie), je dirais que je suis un mec qui comprend entièrement la blague : Pas de bras, pas de chocolat. Cela fait maintenant 13 ans que j'emploie des aidants à domicile pour me venir en aide, et c’est un travail qui demande un tant soit peu de rigueur, dirai-je. Cesu, salaire, gestion des plannings partagés en ligne, course, soins et papiers administratifs sont un quotidien que j’arrive à appliquer en étant aliter. Locataire d’un havre de paix depuis 2009, au passage, dans un très joli village de 2000 habitants, j’essaie tant bien que mal d’avoir une vie adaptée. En effet, j'ai arrêté de croire aux espoirs adaptés, désolé si cela choc mais la réalité est ainsi. Webmaster de l’Association Libre d’Aide à la Recherche sur la Moelle Épinière (ALARME), mais aussi assez actif dans divers rôles que je m'impose, je suis impliqué dans le monde du handicap depuis que je côtoie ce milieu. Voilou, c’est imagé assez simplement mais grosso modo, c’est un bon résumé. Et pour les personnes qui se demandent si l’autonomie à domicile est importante, vous ne serez pas déçu ! Pour ma part, il s’agit d’une avancée non négociable, tout comme le choix de son mode de vie. Avoir un corps "prison'' est déjà difficile, il n’est donc pas obligatoire de se rajouter des bâtons dans les roues.
Pourquoi aujourd’hui, j’en arrive à dénoncer ce parcours du combattant ?
En fait, après tant d’expérience comme employeur particulier, j’ai comme un goût amer pour le terme “Employeur” Car si on a tendance à penser qu’il est simple de trouver un salarié en déposant une annonce sur pôle-emploi, et bien, ce n’est pas forcément le cas. Tout comme on entend dire “bien souvent” c’est les patrons qui outrepassent leurs droits, ou tout simplement, qu’il est difficile de trouver du travail en France.
Mais qu’en est-il réellement pour nous, les PMR (Personnes à Mobilité Réduite) ?
Comme je l’ai précédemment dit, cela fait plus de 13 ans que j’offre de l’emploi, et cela n’a pas toujours été tout rose. Je ne suis pas non plus une personne toujours facile, mais en termes d’emploi, que ce soit une coiffeuse, un comptable, un charpentier, un ancien militaire ou, une aide de vie diplômées, (ou pas, d'ailleurs), je laisse une chance à tout le monde. Ce qui me pousse à envoyer ce cri d’inquiétude, c’est que depuis maintenant deux ans, je me heurte à des comportements qui dépassent tout entendement dès lors ou on n’est censé être en recherche d’un emploi, et que l’on postule en conséquence : Des réponses de deux mots à des mails, genre : Bien reçu, et cinq jours après on se pointe comme si de rien n’était. On négocie pour X, pour Y, alors que les annonces définissent les horaires, le nombre d’heures, les jours à travaillés, parfois, on me demande de modifier totalement le planning des aidants déjà en place. CDI, CDD, nombre de mois, il n’y a pas de limite, même pas celles des lois en vigueur à respecter. Des personnes s'engagent à venir mais ne donnent plus signe de vie le jour J (cela même après un entretien d’embauche). Des échanges de mails qui deviennent interminables, mais qui n'aboutissent pas : Parfois par la même personne qui a déjà postulé. J’ai comme l’impression que selon l’intérêt de certains, ma paralysie peut être mise de côté, et que les personnes déjà en poste, doivent se plier aux exigences des nouveaux postulants. J’en arrive à me demander comment les entreprises arrivent à embaucher, car si tous les demandeurs d’emploi agissaient ainsi, ce serait un bordel mal organisé, et on appellerait cela : Un service à la carte selon un désirât, et non une offre d’emploi. Est-on pris au sérieux, ou l’aide à domicile est-elle un genre de curatelle ou c’est le salarié qui décide ? Un peu de sérieux, ai-je un discours qui laisse à penser que je suis handicapé mental, ou certaines personnes font-elle un amalgame entre venir en aide et être décisionnaire ?
Un blessé médullaire en recherche d’une aide à domicile doit-il subir, ou a-t-il le choix ?
Tous ces inscrits en recherche d'une rémunération sont pourtant bien en recherche d’un travail. Ayant d'ailleurs l’obligation de fournir le nom des candidats au service entreprise de pôle-emploi, rien que pour les deux dernières annonces qui ont été publiées, je dois en être à plus de 15 demandeurs qui, pour diverses raisons (plus ou moins justifiées), ont des indisponibilités. Ce n’est pas pour autant que le temps perdu à été rentabilisé, il a même plutôt été préjudiciable pour moi, tout autant que pour les deux autres aidants qui ont un contrat de travail, et qui sont bien présents à mes côtés, 12 ans pour le plus fidèles ! Pour amener une petite touche d’humour, dernièrement, 4 personnes ont dit être harcelées par pôle-emploi, non pas à leur conseiller, non, c’est bien moi qui en ai pris plein les oreilles. La dépendance est-elle un frein à l’embauche, ou faut-il dire amène et offrir des CDI à la carte ? Cela, qu’importe le nombre d’heures, les personnes déjà en place, les besoins de chacuns, et/ou la possibilité qu’il en soit ainsi.
Ce qui me heurte dans ceci, c’est que depuis 2021, alors que j’utilise la reconnaissance faciale (ainsi qu'un clavier virtuel) pour utiliser un PC, je passe un temps incroyable à essayer d'être juste, simplement pour que chaque demandeur d’emploi ait sa chance.
Au delà de ceci, en moins d’un an et demi, j’ai par trois fois demandé à ma maman, 71 ans quand même, qui vit à plus de 300 kilomètres de chez moi, de venir compenser un manque que l’on qualifierait anormal dans une autre branche de métier. Je reconnais que devoir venir en aide à une personne en situation de handicap est un travail difficile qui n’est pas très bien rémunéré, et qu’en plus, il faut avoir une certaine délicatesse morale et humaine. Alors effectivement, il y a une pénurie dans le domaine du recrutement au niveau des métiers de la santé, mais cela étant, mes recherches sont ouvertes à tout public, aucune qualification n’est réclamée, si ce n’est une compatibilité entre deux personnes qui se doivent de trouver leur place. Un temps partiel de 100 à 120 heures par mois est-il un obstacle insurmontable ?
Ce qui a changé : Un prestataire à but lucratif qui a beaucoup à gagner, est-ce possible ? Ce n’est pas pour jeter la pierre à ce type de boîte, mais vu le nombre des sites Internet qui ont explosé depuis la mise en place de ce genre de “grossiste” qui, au passage, sous-loue de l’aide pour gagner plus, je ne pense pas que cela soit anodin, mais aussi sans conséquences pour les personnes dans ma situation.
De plus, au vue du nombre d’annonces croissantes sur le site pôle-emploi.fr pour recruter des aides de vie qui seront amenées à travailler pour des commerciaux, qui, par le biais des aident appelés plus communément, PCH, APA, facturent de l’aide à domicile à 22 € de l'heure ??? C’est ce que l’on appel lucratif, mais pour qui exactement ? Perso, je trouve qu’en termes d’aide à la personne, on recule, et cela n’a certainement pas arrangé les choses pour les aidants, tout autant que pour les aider.
Pôle-emploi dans tout ceci :
Alors que depuis des années il était possible de gérer/créer des annonces via une connexion sur : pole-emploi.fr “en tant qu’employeur particulier” voici qu’en 2020, ce service n’est plus accessible aux personnes dans ma situation. Au jour d’aujourd’hui, il faut appeler le service entreprise de pôle-emploi pour déposer une annonce, les rappeler pour la prolonger, ou en diminuer le terme, et même pour mettre fin à l’annonce en cours. Résultat : Du temps perdu, des recherches de candidats impossible pour les employeurs particuliers, et une gestion bien plus difficile par les professionnels du recrutement.
Que faut-il en conclure ?
On parle de discrimination au niveau du handicap, et en voici un bel exemple. Un petit village avec une population de personnes âgées, ou malheureusement beaucoup ont besoin de faire appel à un prestataire de services. Quelques maisons de retraite non loin, une dépendance accrue, et voilà un bon cassoulet d’aide à la personne ou l’alternative à fermer son clapet, n’est réellement pas un choix. Etre ou ne pas être (en bonne santé), là est la question !!!!!!!!
Merci à tous ceux qui ont eu le courage de lire cette partie intime de moi-même, qui malheureusement, a force de me bouffer de l’intérieur aura certainement ma peau.
Très intéressant 
Bref ma devise étant "Chaque problème a une solution" J’ai donc cherché... cherché... Et j'ai trouvé la solution que je vous donne ici : 
et si jamais... vous pouvez toujours essayer d'obtenir plus d'informations (sait on jamais, mais ne prenez pas pour argent comptant tous ce qui peux être édité sur Internet) 
Nous, bénévoles & utilisateurs sommes là pour s'exprimer (&/ou partager, essayez d'aider, voir de passage). Faut juste éviter les dérapages qui risquent de faire de cette discussion un point d'exclamation trop réactif 
Quant on cause politiques, c'est une porte ouverte aux "avis et mots" qui peuvent en heurter certain(e)s, et même si ce sondage est anonyme, c'est assez délicat de demander pour qui on va voter. L'équipe d'ALARME anticipe afin d'éviter un quelconque problème qui ferai que cette discussion tourne mal, c'est tout 
Comme les proverbes disent : Point trop n'en faut, tout est bien qui finit bien si la goutte d'eau ne fait pas déborder le vase 
Le social ainsi que la santé est loin d'être une priorité pour nos dirigeants, et même si tel était le cas, les promesses en politique c'est plutôt du genre :
Je n'ai fait qu'informés les personnes de passage (ainsi que nos membres), qu'il y avait mieux en terme de sondage (non urinaire) 
Je profite donc de ce jour joyeux pour remercier les personnes qui ont laisser un message (pour mes cinquante ballais) et envoi un big bizou a la super maman prénommé KATELL 
Profite du beau de ce 22 tout autant que des sourire qui t'entourent 
